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Le poète et écrivain syrien, Mohamed El Maghouth s'est éteint lundi à l'âgé de 72 ans des suites d'une longue maladie.
Né en 1943 à Hamat (Syrie), El Maghouth est l'une des figures littéraires la plus prolixe sur la scène culturelle arabe. Nombreux de ses poèmes et pièces de théâtre ont fait l'objet d'études et de thèmes de recherche universitaires.
Le défunt avait écrit plusieurs poèmes dont les plus célèbres sont «Houzn Fi Daoue El Kamar» (1959), «Ghourfat Bi Mallayine El Jidrane» (1960), «El Farah Layssa Mihnati» (1970). La contribution d'El Maghouth au domaine théâtrale n'était pas des moindres puisqu'il avait écrit plusieurs textes notamment «El Ousfour El Ahdab», «El Mihraj», «Wadiaât Tchirine», «Ghourba», «Wa Kaessouk Ya Watan», «Kharij Assirb».
En matière audiovisuelle, sa contribution s'est faite riche par la réalisation de plusieurs travaux et télé-feuilletons dont «Hikayat El Laïl», «Win El Ghalat», «Wadi El Misk», outre deux films «Atakrir» et «El Houdoud».
Né en 1943 à Hamat (Syrie), El Maghouth est l'une des figures littéraires la plus prolixe sur la scène culturelle arabe. Nombreux de ses poèmes et pièces de théâtre ont fait l'objet d'études et de thèmes de recherche universitaires.
Le défunt avait écrit plusieurs poèmes dont les plus célèbres sont «Houzn Fi Daoue El Kamar» (1959), «Ghourfat Bi Mallayine El Jidrane» (1960), «El Farah Layssa Mihnati» (1970). La contribution d'El Maghouth au domaine théâtrale n'était pas des moindres puisqu'il avait écrit plusieurs textes notamment «El Ousfour El Ahdab», «El Mihraj», «Wadiaât Tchirine», «Ghourba», «Wa Kaessouk Ya Watan», «Kharij Assirb».
En matière audiovisuelle, sa contribution s'est faite riche par la réalisation de plusieurs travaux et télé-feuilletons dont «Hikayat El Laïl», «Win El Ghalat», «Wadi El Misk», outre deux films «Atakrir» et «El Houdoud».
