Son archet à la main, il donne vie à l'instrument, tout en introduisant l'audience dans un monde magique guidé par les notes et habité par les mélodies. Original par ses compositions qui puisent dans la world music, il se distingue sur scène par des improvisations inédites qu'il offre exclusivement à ses spectateurs du moment. Tour à tour improvisateur et compositeur, l'artiste a marqué d'un son personnel et unique la scène internationale du jazz.
C'est avec les gènes de la musique que Didier Lockwood vient au monde, il y a 51 ans. Son père, violoniste, lui transmet sa passion de l'instrument qu'il manie depuis son plus jeune âge. Mais ce n'est qu'après un enseignement classique au conservatoire qu'il découvre l'improvisation et oriente son jeu dans le sens d'une plus grande liberté musicale.
En 1972, il remporte le premier prix du conservatoire national de Calais puis dans la même année, il gagne, grâce à une composition au violon, le prix de la Sacem dans la catégorie musique contemporaine. A 17 ans, il entre sur la scène du rock progressif en devenant membre du groupe mythique Magma.
Quatre ans plus tard, il fait un virage en épingle et se passionne pour le jazz. C'est là qu'il fut remarqué par Stéphane Grappelli qui lui propose de l'accompagner en tournée. Mais son véritable rêve ne se réalise que lorsqu'il entame une carrière solo après sa rencontre avec le pianiste Dave Brubeck. En 1996, il crée son premier concerto « Les Mouettes ». Après avoir réalisé deux albums « Storyboard » et « Round about silence », il compose un opéra jazz sur un livret de Georges Perec intitulé «Journal d'un usager de l'espace II», représenté à l'Opéra-Bastille en 1999. Au fil des années, les albums s'enchaînent, les collaborations aussi.
Didier Lockwood partage alors la scène avec quelques uns des grands noms du jazz, dont Martial Solal, Gordon Beck, Marcus Miller, Elvin Jones ou encore Barbara , Claude Nougaro. Des duos dont le succès l'aide à remporter de nombreuses récompenses, dont une victoire de la musique, un disque d'or, le prix Charles Cros, le Blue Note Award, 3 étoiles au Down Beat, choc Jazzman, Diapason d'or, sélection FIP…Il a par ailleurs été décoré du titre d'Officier des Arts et des Lettres, puis élevé au grade de chevalier de la Légion d'honneur en 2003.
Une année après, il est couronné par le prix Maurice Yvain 2004 (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) pour l'ensemble de son ?uvre symphonique (concertos pour violon, pour piano, deux opéras et un cycle de mélodies pour voix et orchestre symphonique). Didier Lockwood ne se contente pas de ses compositions de jazz, mais se met à l'?uvre également dans le cinéma et la danse contemporaine. En effet, l'artiste compose la musique du film «Les enfants de la pluie», de Phillippe Leclerc.
Enfin, il transmet sa passion pour l'improvisation en créant le Centre international des musiques improvisées de Dammarie-les-Lys (CMDL), la seule école internationale qui permet aux professionnels du monde entier de se perfectionner dans la pratique de l'improvisation musicale. Derrière son talent de musicien, Didier Lockwood cache un excellent pédagogue. Il publie une méthode d'improvisation intitulée «Cordes et âmes». Malgré ses grandes compétences, le secret de Didier Lockwood se trouve dans son envie sans limite d'explorer tous les horizons. C'est sa curiosité naturelle qui lui permet d'obtenir une ovation pour le spectacle «Om kara» qu'il réalise avec le danseur indien Raghunath Maner.
Avec ses 30 années de carrière qui débordent de rencontres inoubliables, Didier Lockwood a à son actif près de 30 albums en Europe et aux Etats-Unis, et a donné plus de 3.000 concerts à travers le monde, dans les salles et festivals les plus prestigieux. Inspiré par la musique au sens large, Didier Lockwood reste aujourd'hui fidèle au jazz, qu'il colore de milles sonorités pluriethniques.
C'est avec les gènes de la musique que Didier Lockwood vient au monde, il y a 51 ans. Son père, violoniste, lui transmet sa passion de l'instrument qu'il manie depuis son plus jeune âge. Mais ce n'est qu'après un enseignement classique au conservatoire qu'il découvre l'improvisation et oriente son jeu dans le sens d'une plus grande liberté musicale.
En 1972, il remporte le premier prix du conservatoire national de Calais puis dans la même année, il gagne, grâce à une composition au violon, le prix de la Sacem dans la catégorie musique contemporaine. A 17 ans, il entre sur la scène du rock progressif en devenant membre du groupe mythique Magma.
Quatre ans plus tard, il fait un virage en épingle et se passionne pour le jazz. C'est là qu'il fut remarqué par Stéphane Grappelli qui lui propose de l'accompagner en tournée. Mais son véritable rêve ne se réalise que lorsqu'il entame une carrière solo après sa rencontre avec le pianiste Dave Brubeck. En 1996, il crée son premier concerto « Les Mouettes ». Après avoir réalisé deux albums « Storyboard » et « Round about silence », il compose un opéra jazz sur un livret de Georges Perec intitulé «Journal d'un usager de l'espace II», représenté à l'Opéra-Bastille en 1999. Au fil des années, les albums s'enchaînent, les collaborations aussi.
Didier Lockwood partage alors la scène avec quelques uns des grands noms du jazz, dont Martial Solal, Gordon Beck, Marcus Miller, Elvin Jones ou encore Barbara , Claude Nougaro. Des duos dont le succès l'aide à remporter de nombreuses récompenses, dont une victoire de la musique, un disque d'or, le prix Charles Cros, le Blue Note Award, 3 étoiles au Down Beat, choc Jazzman, Diapason d'or, sélection FIP…Il a par ailleurs été décoré du titre d'Officier des Arts et des Lettres, puis élevé au grade de chevalier de la Légion d'honneur en 2003.
Une année après, il est couronné par le prix Maurice Yvain 2004 (Société des auteurs et compositeurs dramatiques) pour l'ensemble de son ?uvre symphonique (concertos pour violon, pour piano, deux opéras et un cycle de mélodies pour voix et orchestre symphonique). Didier Lockwood ne se contente pas de ses compositions de jazz, mais se met à l'?uvre également dans le cinéma et la danse contemporaine. En effet, l'artiste compose la musique du film «Les enfants de la pluie», de Phillippe Leclerc.
Enfin, il transmet sa passion pour l'improvisation en créant le Centre international des musiques improvisées de Dammarie-les-Lys (CMDL), la seule école internationale qui permet aux professionnels du monde entier de se perfectionner dans la pratique de l'improvisation musicale. Derrière son talent de musicien, Didier Lockwood cache un excellent pédagogue. Il publie une méthode d'improvisation intitulée «Cordes et âmes». Malgré ses grandes compétences, le secret de Didier Lockwood se trouve dans son envie sans limite d'explorer tous les horizons. C'est sa curiosité naturelle qui lui permet d'obtenir une ovation pour le spectacle «Om kara» qu'il réalise avec le danseur indien Raghunath Maner.
Avec ses 30 années de carrière qui débordent de rencontres inoubliables, Didier Lockwood a à son actif près de 30 albums en Europe et aux Etats-Unis, et a donné plus de 3.000 concerts à travers le monde, dans les salles et festivals les plus prestigieux. Inspiré par la musique au sens large, Didier Lockwood reste aujourd'hui fidèle au jazz, qu'il colore de milles sonorités pluriethniques.
