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Comme tous les jeunes joueurs de son âge, ce talentueux milieu offensif qui s'avèrera un grand espoir du football national, Ahmed Ajeddou, s'est adonné au ballon rond de quartier avant d'être repéré par le KACM de Marrakech, l'un des plus anciens clubs de la ville ocre où il passa par toutes les catégories.
Après plusieurs saisons dans ces classes de jeunes où il se fit remarquer par tous les entraîneurs qui se sont succédés à la tête de la direction technique, Ahmed Ajeddou commença à gagner des galons.
C'est donc au KACM qu'il entame sa carrière. Il faut savoir que le KACM disposait à cette époque de sa propre école de formation, et ce n'est pas par hasard si ces jeunes du club marrakchi se distinguaient dans différentes compétitions.
C'est donc au sein de cette «prestigieuse école» que Ajeddou a appris à jouer et, encore junior, il fut lancé dans le bain en évoluant en équipe A de seconde division. Le Nejm le recruta.
En effet, après avoir passé seulement une année chez les juniors, Ajeddou dispute son premier match contre des équipes chevronnées de division 2.
Le milieu de terrain offensif, très fin dans son jeu, s'imposera en véritable maître d'un dimanche à l'autre.
Devenu l'élément essentiel de l'attaque de son club, Ajeddou fut tout naturellement sollicité par plusieurs clubs qui souhaitaient s'assurer ses services. Après plusieurs tractations, c'est à l'équipe des FAR qu'il poursuivra sa carrière.
En effet, le talentueux milieu de terrain, très apprécié par les observateurs, notamment les recruteurs et superviseurs de l'équipe militaire, rejoint l'effectif lors de la saison 2003-2004. Le Marrakchi, qui s'est vite adapté, intégra l'équipe seniors sans éprouver de difficultés.
Le jeune Ajeddou, nullement impressionné par la présence de grands joueurs, gagna sa place de titulaire.
Il disputa son premier match avec l'équipe seniors contre la Renaissance de Settat. Aligné au poste de milieu offensif, Ajeddou se retrouve face à des joueurs expérimentés.
Le public l'apprécia pour l'intelligence de son jeu et son efficacité. Ajeddou se souviendra encore du premier but de sa carrière dans l'équipe des FAR. Il l'avait marqué contre le Chabab Mohammedia lors de la saison 2003-2004.
Devenu l'élément majeur de l'équipe, Ajeddou aura marqué de son empreinte l'attaque militaire au sein de laquelle il a réalisé une bonne performance, réussissant 9 réalisations au cours de sa première année de présence.
Ajeddou, par ce parcours prometteur, fut tout naturellement appelé en sélection espoirs, avec comme entraîneur Mustapha Madih.
L'équipe était invitée dans le tournoi de Qatar, Ajeddou y a figuré et a fourmi une bonne prestation.
Son talent lui valut de figurer dans la nationale A. Les Lions de l'Atlas, qui préparaient les échéances internationales, notamment le Coupe d'Afrique 2004 en Tunisie, étaient engagés dans deux matchs amicaux, contre l'Angola et la Suisse ; le jeune Ajeddou y était parmi les sélectionnés. Mais il n'a que peu joué.
Et par voie de conséquence, il ne fut pas retenu dans le groupe qui a pris part aux compétitions officielles.
Après le départ de Zaki, et l'arrivée de Philippe Troussier, Ahmed Ajeddou fut rappelé parmi une soixantaine de joueurs pour une concentration de courte durée.
On connaît la suite.
Le sociétaire des FAR, est devenu rapidement l'un des meilleurs joueurs du club et du championnat national par des débordements à base de dribbles et de changements de direction. Ses services précis et sa mobilité font merveille. Il est difficile à déséquilibrer quand il part balle au pied. Il conserve bien le ballon ; comme de sucroît, il cultive un opportunisme de bon aloi, Ajeddou est un médian fort précieux
Lors de la finale de la super coupe disputée entre Al Ahly et les FAR, Ajeddou a été sacré meilleur joueur de la compétition. Il a été fêté comme il se doit au stade international du Caire et vivement félicité par M. Issa Hayatou, président de la CAF.
Maintenant qu'il est devenu l'un des grands espoirs du football national, Ajeddou souhaite gagner une place dans l'équipe nationale qu'entraîne M'hamed Fakhir et atteindre la dimension qu'a connue son idole, Mohamed Timoumi, le ballon d'or 85.
En attendant, Ajeddou est considéré désormais comme le meilleur milieu de terrain de la trempe des grands artistes que furent Bamous, Timoumi, Hamid, Faras, Maâroufi, entre autres.
Après plusieurs saisons dans ces classes de jeunes où il se fit remarquer par tous les entraîneurs qui se sont succédés à la tête de la direction technique, Ahmed Ajeddou commença à gagner des galons.
C'est donc au KACM qu'il entame sa carrière. Il faut savoir que le KACM disposait à cette époque de sa propre école de formation, et ce n'est pas par hasard si ces jeunes du club marrakchi se distinguaient dans différentes compétitions.
C'est donc au sein de cette «prestigieuse école» que Ajeddou a appris à jouer et, encore junior, il fut lancé dans le bain en évoluant en équipe A de seconde division. Le Nejm le recruta.
En effet, après avoir passé seulement une année chez les juniors, Ajeddou dispute son premier match contre des équipes chevronnées de division 2.
Le milieu de terrain offensif, très fin dans son jeu, s'imposera en véritable maître d'un dimanche à l'autre.
Devenu l'élément essentiel de l'attaque de son club, Ajeddou fut tout naturellement sollicité par plusieurs clubs qui souhaitaient s'assurer ses services. Après plusieurs tractations, c'est à l'équipe des FAR qu'il poursuivra sa carrière.
En effet, le talentueux milieu de terrain, très apprécié par les observateurs, notamment les recruteurs et superviseurs de l'équipe militaire, rejoint l'effectif lors de la saison 2003-2004. Le Marrakchi, qui s'est vite adapté, intégra l'équipe seniors sans éprouver de difficultés.
Le jeune Ajeddou, nullement impressionné par la présence de grands joueurs, gagna sa place de titulaire.
Il disputa son premier match avec l'équipe seniors contre la Renaissance de Settat. Aligné au poste de milieu offensif, Ajeddou se retrouve face à des joueurs expérimentés.
Le public l'apprécia pour l'intelligence de son jeu et son efficacité. Ajeddou se souviendra encore du premier but de sa carrière dans l'équipe des FAR. Il l'avait marqué contre le Chabab Mohammedia lors de la saison 2003-2004.
Devenu l'élément majeur de l'équipe, Ajeddou aura marqué de son empreinte l'attaque militaire au sein de laquelle il a réalisé une bonne performance, réussissant 9 réalisations au cours de sa première année de présence.
Ajeddou, par ce parcours prometteur, fut tout naturellement appelé en sélection espoirs, avec comme entraîneur Mustapha Madih.
L'équipe était invitée dans le tournoi de Qatar, Ajeddou y a figuré et a fourmi une bonne prestation.
Son talent lui valut de figurer dans la nationale A. Les Lions de l'Atlas, qui préparaient les échéances internationales, notamment le Coupe d'Afrique 2004 en Tunisie, étaient engagés dans deux matchs amicaux, contre l'Angola et la Suisse ; le jeune Ajeddou y était parmi les sélectionnés. Mais il n'a que peu joué.
Et par voie de conséquence, il ne fut pas retenu dans le groupe qui a pris part aux compétitions officielles.
Après le départ de Zaki, et l'arrivée de Philippe Troussier, Ahmed Ajeddou fut rappelé parmi une soixantaine de joueurs pour une concentration de courte durée.
On connaît la suite.
Le sociétaire des FAR, est devenu rapidement l'un des meilleurs joueurs du club et du championnat national par des débordements à base de dribbles et de changements de direction. Ses services précis et sa mobilité font merveille. Il est difficile à déséquilibrer quand il part balle au pied. Il conserve bien le ballon ; comme de sucroît, il cultive un opportunisme de bon aloi, Ajeddou est un médian fort précieux
Lors de la finale de la super coupe disputée entre Al Ahly et les FAR, Ajeddou a été sacré meilleur joueur de la compétition. Il a été fêté comme il se doit au stade international du Caire et vivement félicité par M. Issa Hayatou, président de la CAF.
Maintenant qu'il est devenu l'un des grands espoirs du football national, Ajeddou souhaite gagner une place dans l'équipe nationale qu'entraîne M'hamed Fakhir et atteindre la dimension qu'a connue son idole, Mohamed Timoumi, le ballon d'or 85.
En attendant, Ajeddou est considéré désormais comme le meilleur milieu de terrain de la trempe des grands artistes que furent Bamous, Timoumi, Hamid, Faras, Maâroufi, entre autres.
