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Né à Casablanca vers les années soixante, Rachid Saâdini s'entiche du ballon rond dès son jeune âge. Il ouvre d'ailleurs ses yeux à Derb Soltane, et plus précisément à Bouchentouf, l'un des quartiers casablancais qui ont produit bon nombre de grands techniciens tels que Tatum, Petchou et Bakili. Et ce sont ces mêmes noms qui représentaient tout pour Rachid : Dolmy, Shaita, Andaloussi, Omar faisaient tous rêver la jeune génération de l'époque. Une génération qui a fait du football son sport favori.
C'est ainsi que Rachid commence à pratiquer le foot au parc de l'Hermitage et au terrain d'El Fida, deux endroits qui représentaient une bouffée d'air pour les enfants des quartiers avoisinants. Parmi ses coéquipiers de l'époque, on peut citer entre autres Fathi Jamal, Haddaoui, Hirs et Bahlioui.
Plus tard, Saâdini rejoint l'équipe de la Chabiba Jadida. Une équipe formée essentiellement des jeunes du Derb Soltane. Et c'est Najdaoui qui a pris la responsabilité d'entraîner ces footballeurs talentueux. « On avait une chance inouïe d'être encadrés par Najdaoui. C'était quelqu'un qui avait de l'expérience puisqu'il était l'entraîneur d'Al Ahram et de l'équipe du quartier de Derb Ghallef », nous confie Rachid.
Une fois avec la Chabiba Jadida, une nouvelle page commence pour le jeune Rachid qui occupait le poste de milieu du terrain.
Sa technique du jeu, ses feintes et son fair-play ont attiré l'attention des responsables du Raja de Casablanca, qui ont décidé sans aucune hésitation de lui proposer de rejoindre leur équipe. « J'ai joué avec la Chabiba Jadida un match contre les pupilles du Raja. Boudali, Marhoum et Aziz Khoro ont suivi ce match…Juste après la rencontre, ils sont venus me voir pour me proposer de rejoindre le Raja de Casablanca. Je n'oublierai jamais ce jour… », se rappelle Rachid.
En 1974, l'année où le Raja remportera la Coupe du Trône devant le MAS, Saâdini rallie le club vert où il évoluera successivement chez les pupilles, les minimes, les cadets et les juniors sous la direction technique de Boudali, Kaâza et Driss Marhoum. Au cours de cette période d'apprentissage, il côtoiera les Breija, Fennani, Driss Acha, Souadi, Haddaoui, Bahlioui, Hassan Mouhid et Hakani.
En 1979, l'entraîneur Mohammed Tibari fera appel à ses services et l'inclura au sein de l'effectif face au Chabab de Mohammedia. « Cette rencontre restera à jamais gravée dans ma mémoire, puisque j'ai été à l'origine de la victoire de mon équipe en transformant un penalty face au gardien Raâd », se rappelle Rachid avec fierté.
Cette année-là, arrivera le célèbre entraîneur Orotz qui le fera jouer épisodiquement. En 1980, Saâdini, rejoindra l'Olympique de Casablanca, entraîné alors par Belkheir. Ainsi, il jouera aux côtés de Tatum, Jalbate, Jawad Belkbir, Boumlik et Omar, et ce durant deux saisons avant
d'aller porter les couleurs du RAC en 1983 sous la conduite de Mendoça.
Par la suite, Saâdini reviendra une nouvelle fois au Raja où il retrouvera ses anciens coéquipiers Haddaoui, Dolmy, Seddiki, Acha, Fathi, Fennani, Sibouss, Fettah, Bachir, Nejmi, Bahlioui, Ougadi, Tijani et Bilal.
Fidèle à son tempérament de vadrouilleur, Rachid retournera à l'OC dont il défendra les couleurs deux saisons (1984/1985 et 1985/1986).
« Taoufik, Chiba, Zitouni, Moumarise, Harit, Boumlik, Ouzougat, Deghaye, Oulhaj, Kadmiri et Omar étaient mes principaux coéquipiers sous la direction technique de Domergue ». Ensuite, il embrassera le professionnalisme et principalement à Ajaccio où il jouera une saison au côté natamment de Makanaky.
L'année 1988/1989, marquera son retour au Maroc et précisément à Tanger, entraîné alors par Abdelkhalek Louzani et où évoluaient Mjidou, Shassahe, Chouh, Lemrabet, Sifedinne, Nehru, Hmidouche, Said Baddou.
Après la Coupe du monde de 1994, Rachid rejoindra les Etats-Unis où il prendra part à plusieurs championnats locaux avant de suivre des stages d'entraîneurs notamment à Sao Paulo où il sera dirigé par Luxembougoo et Mazi ex-manager de Pelé et ex- entraîneur du Cosmos. En 2003, Rachid Saâdni suivra un stage d'entraîneur à Leipzig en Allemagne.
Père de deux fillettes (Myriam et Lina), Rachid est actuellement installé aux Etats-Unis, mais il ne manque jamais l'occasion de venir assister aux rencontres du Onze national.
C'est ainsi que Rachid commence à pratiquer le foot au parc de l'Hermitage et au terrain d'El Fida, deux endroits qui représentaient une bouffée d'air pour les enfants des quartiers avoisinants. Parmi ses coéquipiers de l'époque, on peut citer entre autres Fathi Jamal, Haddaoui, Hirs et Bahlioui.
Plus tard, Saâdini rejoint l'équipe de la Chabiba Jadida. Une équipe formée essentiellement des jeunes du Derb Soltane. Et c'est Najdaoui qui a pris la responsabilité d'entraîner ces footballeurs talentueux. « On avait une chance inouïe d'être encadrés par Najdaoui. C'était quelqu'un qui avait de l'expérience puisqu'il était l'entraîneur d'Al Ahram et de l'équipe du quartier de Derb Ghallef », nous confie Rachid.
Une fois avec la Chabiba Jadida, une nouvelle page commence pour le jeune Rachid qui occupait le poste de milieu du terrain.
Sa technique du jeu, ses feintes et son fair-play ont attiré l'attention des responsables du Raja de Casablanca, qui ont décidé sans aucune hésitation de lui proposer de rejoindre leur équipe. « J'ai joué avec la Chabiba Jadida un match contre les pupilles du Raja. Boudali, Marhoum et Aziz Khoro ont suivi ce match…Juste après la rencontre, ils sont venus me voir pour me proposer de rejoindre le Raja de Casablanca. Je n'oublierai jamais ce jour… », se rappelle Rachid.
En 1974, l'année où le Raja remportera la Coupe du Trône devant le MAS, Saâdini rallie le club vert où il évoluera successivement chez les pupilles, les minimes, les cadets et les juniors sous la direction technique de Boudali, Kaâza et Driss Marhoum. Au cours de cette période d'apprentissage, il côtoiera les Breija, Fennani, Driss Acha, Souadi, Haddaoui, Bahlioui, Hassan Mouhid et Hakani.
En 1979, l'entraîneur Mohammed Tibari fera appel à ses services et l'inclura au sein de l'effectif face au Chabab de Mohammedia. « Cette rencontre restera à jamais gravée dans ma mémoire, puisque j'ai été à l'origine de la victoire de mon équipe en transformant un penalty face au gardien Raâd », se rappelle Rachid avec fierté.
Cette année-là, arrivera le célèbre entraîneur Orotz qui le fera jouer épisodiquement. En 1980, Saâdini, rejoindra l'Olympique de Casablanca, entraîné alors par Belkheir. Ainsi, il jouera aux côtés de Tatum, Jalbate, Jawad Belkbir, Boumlik et Omar, et ce durant deux saisons avant
d'aller porter les couleurs du RAC en 1983 sous la conduite de Mendoça.
Par la suite, Saâdini reviendra une nouvelle fois au Raja où il retrouvera ses anciens coéquipiers Haddaoui, Dolmy, Seddiki, Acha, Fathi, Fennani, Sibouss, Fettah, Bachir, Nejmi, Bahlioui, Ougadi, Tijani et Bilal.
Fidèle à son tempérament de vadrouilleur, Rachid retournera à l'OC dont il défendra les couleurs deux saisons (1984/1985 et 1985/1986).
« Taoufik, Chiba, Zitouni, Moumarise, Harit, Boumlik, Ouzougat, Deghaye, Oulhaj, Kadmiri et Omar étaient mes principaux coéquipiers sous la direction technique de Domergue ». Ensuite, il embrassera le professionnalisme et principalement à Ajaccio où il jouera une saison au côté natamment de Makanaky.
L'année 1988/1989, marquera son retour au Maroc et précisément à Tanger, entraîné alors par Abdelkhalek Louzani et où évoluaient Mjidou, Shassahe, Chouh, Lemrabet, Sifedinne, Nehru, Hmidouche, Said Baddou.
Après la Coupe du monde de 1994, Rachid rejoindra les Etats-Unis où il prendra part à plusieurs championnats locaux avant de suivre des stages d'entraîneurs notamment à Sao Paulo où il sera dirigé par Luxembougoo et Mazi ex-manager de Pelé et ex- entraîneur du Cosmos. En 2003, Rachid Saâdni suivra un stage d'entraîneur à Leipzig en Allemagne.
Père de deux fillettes (Myriam et Lina), Rachid est actuellement installé aux Etats-Unis, mais il ne manque jamais l'occasion de venir assister aux rencontres du Onze national.
