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Né le 5 mars 1964, au quartier Bourgogne à Casablanca, Redouane Hajri a appris à taper dans un ballon dans les ruelles proches du domicile paternel (rue Jaafar Ibnou Atya) avant d'intéresser le Nahda de Bourgone aux côtés de Hassan Benabicha, Hassan Nadir et Nazih avant de rallier les rangs du Raja de Casablanca.
«C'est Nazih qui jouait au sein des “Verts” qui fut à l'origine de mon départ au Raja», se souvient Hajri.
En effet, lors d'un match amical conclu par Nazih entre le Nahda et les jeunes du Raja, Marhoum, le célèbre encadreur des «Verts», remarqua Hajri.
« Il dira à Nazih que le N° 10 était très bon, en parlant de moi », se rappelle Redouane.
Et c'est ainsi qu'en 1975, le futur médian du Raja, fera toutes ses classes (minimes, cadets, juniors) sous la conduite de Marhoum et de Hamid Bahij.
«Je dois beaucoup à cet homme qui a été à l'origine de ma progression», avoue Hajri.
Aux côtés des Hamraoui Abderrahim, Kharbouch, Benderouich et Hakani notamment, le jeune Redouane gravira les échelons avant d'imposer son talent et son style chez l'équipe des seniors.
«C'est Houmane qui fit appel à moi contre le MAS que nous avions gagné sur le score de 2 – 0 dont un penalty que j'ai transformé et dont se rappelle toujours Hazzaz. Lequel, à chaque fois que je le rencontre, m'en parle avec amusement», dit Redouane.
Malgré son très jeune âge, Hajri gagnera sa place aux côtés des Dolmy, Driss Acha, Hassan Mouahid, Abdelhaq, Souadi, Fathi, Said Seddiki, Breja, Ougadi, Rachid Hariri, Fennani, Bachir et Abderrahim entre autres.
Malheureusement, aucun titre n'est venu enrichir le palmarès de Redouane Hajri avec le Raja.
«Je fus convoqué par Houmane lors de la finale de la Coupe du Trône perdue contre Centrale Laitière, mais je n'ai guère joué», se souvient Hajri.
Cet exceptionnel joueur sera entraîné par Houmane, Tachkov, Ammari et Tibari. Abdallah Blinda fera appel à lui pour endosser les couleurs de l'équipe nationale juniors aux côtés de Chliha, Azmi, Khaïri, et Tamoud notamment.
Avec les juniors, il prendra part à la Coupe de la Palestine à Rabat, ainsi qu'à deux tournois au Qatar et en France (Vieux Condé).
Mehdi Faria remarquera également ce talentueux joueur et fera appel à ses services lors des éliminatoires du Mondial 86 et de la CAN 1986.
«Mais le hasard a voulu que je n'aille pas à ces deux rendez-vous puisque Abdallah Malaga m'a sollicité pour participer avec l'équipe nationale des espoirs au tournoi de Toulon», confie Hajri.
Lors de ce tournoi, Redouane sera sacré meilleur joueur, et attirera l'attention des recruteurs de Benfica qui s'employèrent à l'engager auprès du Raja.
Redouane passera deux saisons au Benfica de Lisbonne avec lequel il disputera une finale de la Coupe de l'UEFA en 1987 face au PS.V Endhoven, finale perdue à l'issue des tirs de penalties. Avec cette même équipe Hajri disputera une demi-finale de la Coupe du Portugal et terminera deuxième du championnat lusitanien.
Redouane Hajri sera par la suite prêté six mois à Farence avant de porter les couleurs de Madère durant une saison.
Mais ce fut avec Farense que Hajri passera la plus longue période en endossant, quinze saisons durant, le maillot de cette équipe.
«Je fus successivement joueur, directeur sportif, entraîneur adjoint et entraîneur durant une saison», confie Hajri.
Avec Farence, Redouane portera le brassard de capitaine d'équipe durant 12 saisons, sera élu meilleur joueur étranger à quatre reprises et établira le record non encore égalé par un étranger, à savoir disputer 300 matches avec l'équipe. Par ailleurs, Hajri a disputé, en 1994, un match éliminatoire de la coupe de l'UEFA face à Lyon.
Enfin il a été entraîneur, pendant une saison, de la formation d'IMOCARTAL (2e division).
Titulaire de diplomes d'entraîneur de premier, deuxième et troisième niveau, Hajri vient d'être sollicité par le Raja, qui l'a engagé comme entraîneur adjoint d'Oscar Fullone.
«Les conditions de travail au Raja sont idéales et les dirigeants sont animés d'une farouche volonté d'aller avec le Raja vers une grande dimension continentale. Cela me convient et j'ai d'autant plus plaisir à travailler ici que je suis un enfant du Raja», conclut Hajri. Lequel est père de deux charmantes fillettes, Marianna et Nadia, restées au Portugal pour cause de scolarité.
«C'est Nazih qui jouait au sein des “Verts” qui fut à l'origine de mon départ au Raja», se souvient Hajri.
En effet, lors d'un match amical conclu par Nazih entre le Nahda et les jeunes du Raja, Marhoum, le célèbre encadreur des «Verts», remarqua Hajri.
« Il dira à Nazih que le N° 10 était très bon, en parlant de moi », se rappelle Redouane.
Et c'est ainsi qu'en 1975, le futur médian du Raja, fera toutes ses classes (minimes, cadets, juniors) sous la conduite de Marhoum et de Hamid Bahij.
«Je dois beaucoup à cet homme qui a été à l'origine de ma progression», avoue Hajri.
Aux côtés des Hamraoui Abderrahim, Kharbouch, Benderouich et Hakani notamment, le jeune Redouane gravira les échelons avant d'imposer son talent et son style chez l'équipe des seniors.
«C'est Houmane qui fit appel à moi contre le MAS que nous avions gagné sur le score de 2 – 0 dont un penalty que j'ai transformé et dont se rappelle toujours Hazzaz. Lequel, à chaque fois que je le rencontre, m'en parle avec amusement», dit Redouane.
Malgré son très jeune âge, Hajri gagnera sa place aux côtés des Dolmy, Driss Acha, Hassan Mouahid, Abdelhaq, Souadi, Fathi, Said Seddiki, Breja, Ougadi, Rachid Hariri, Fennani, Bachir et Abderrahim entre autres.
Malheureusement, aucun titre n'est venu enrichir le palmarès de Redouane Hajri avec le Raja.
«Je fus convoqué par Houmane lors de la finale de la Coupe du Trône perdue contre Centrale Laitière, mais je n'ai guère joué», se souvient Hajri.
Cet exceptionnel joueur sera entraîné par Houmane, Tachkov, Ammari et Tibari. Abdallah Blinda fera appel à lui pour endosser les couleurs de l'équipe nationale juniors aux côtés de Chliha, Azmi, Khaïri, et Tamoud notamment.
Avec les juniors, il prendra part à la Coupe de la Palestine à Rabat, ainsi qu'à deux tournois au Qatar et en France (Vieux Condé).
Mehdi Faria remarquera également ce talentueux joueur et fera appel à ses services lors des éliminatoires du Mondial 86 et de la CAN 1986.
«Mais le hasard a voulu que je n'aille pas à ces deux rendez-vous puisque Abdallah Malaga m'a sollicité pour participer avec l'équipe nationale des espoirs au tournoi de Toulon», confie Hajri.
Lors de ce tournoi, Redouane sera sacré meilleur joueur, et attirera l'attention des recruteurs de Benfica qui s'employèrent à l'engager auprès du Raja.
Redouane passera deux saisons au Benfica de Lisbonne avec lequel il disputera une finale de la Coupe de l'UEFA en 1987 face au PS.V Endhoven, finale perdue à l'issue des tirs de penalties. Avec cette même équipe Hajri disputera une demi-finale de la Coupe du Portugal et terminera deuxième du championnat lusitanien.
Redouane Hajri sera par la suite prêté six mois à Farence avant de porter les couleurs de Madère durant une saison.
Mais ce fut avec Farense que Hajri passera la plus longue période en endossant, quinze saisons durant, le maillot de cette équipe.
«Je fus successivement joueur, directeur sportif, entraîneur adjoint et entraîneur durant une saison», confie Hajri.
Avec Farence, Redouane portera le brassard de capitaine d'équipe durant 12 saisons, sera élu meilleur joueur étranger à quatre reprises et établira le record non encore égalé par un étranger, à savoir disputer 300 matches avec l'équipe. Par ailleurs, Hajri a disputé, en 1994, un match éliminatoire de la coupe de l'UEFA face à Lyon.
Enfin il a été entraîneur, pendant une saison, de la formation d'IMOCARTAL (2e division).
Titulaire de diplomes d'entraîneur de premier, deuxième et troisième niveau, Hajri vient d'être sollicité par le Raja, qui l'a engagé comme entraîneur adjoint d'Oscar Fullone.
«Les conditions de travail au Raja sont idéales et les dirigeants sont animés d'une farouche volonté d'aller avec le Raja vers une grande dimension continentale. Cela me convient et j'ai d'autant plus plaisir à travailler ici que je suis un enfant du Raja», conclut Hajri. Lequel est père de deux charmantes fillettes, Marianna et Nadia, restées au Portugal pour cause de scolarité.
