Rachid Berriah est invité à «La Nuit du Raï», programmée pour la première fois au Festival national des Arts populaires de Marrakech qui se déroulera du 10 au 15 juillet prochain. Deux soirées seront, donc, à l'honneur de ce genre musical très apprécié par beaucoup de mélomanes, tous âges confondus. Ainsi, le chanteur marocain du Raï, qui nous promet un répertoire des plus percutants, se produira aux côtés du compositeur-interprète Hassan Megri et sa formation de musiciens virtuoses.
Deux prestations qui feront, sans aucun doute, vibrer les nuits féeriques de la ville ocre, réputée par sa convivialité et sa magie. Cette magie qui ne sera qu'accentuée grâce à la voix hindoue de Rachid Berriah. Un artiste qui a tant donné à la chanson Raï depuis qu'il est rentré dans le domaine du professionnalisme en 1985, en offrant un remarquable show au festival de Saïdia (Oujda).
C'est à ce moment-là, à l'âge de 23 ans, qu'il a commencé sa vraie carrière artistique en faisant une recherche très approfondie dans le patrimoine musical populaire de la région orientale, dont la source se trouve à Oujda. Celle-ci est connue pour ses rythmes «âlaoui» joués auparavant uniquement avec «Al gasba», « Al bendir» et «Al gallal», accompagnés de paroles issus du vécu quotidien. C'est avec cette musique que Rachid Berriah a été bercé depuis son jeune âge au sein de la capitale de l'Orient.
Elle fut ainsi enracinée en lui. « Je suis vraiment passionné par la musique Raï que j'ai toujours désirée et la faire évoluer pour la présenter avec un fond musical riche et des paroles adéquates». Telle est la devise de Rachid Berriah, dont le travail acharné a donné ses fruits durant ces vingt années d'expérience et de recherches continues.
Ainsi, ses prestations ne sont plus à compter, tant au Maroc qu'à l'étranger et ses albums ont dépassé la dizaine, dont des succès très prisés par ses fans, car ils renferment des paroles simples, faciles à chanter, et un rythme chaud et fluide. Chose pas très simple et qui n'est pas donnée à tout le monde. C'est ce qui a renforcé la célébrité et le respect de ce chanteur né.
Quant à sa participation, au mois de juillet, au Festival national des Arts populaires dans sa 41e édition, Rachid Berriah en est très content et lui réserve un beau répertoire avec de belles surprises.
«Se produire dans le FNAP de Marrakech est un grand honneur pour moi, surtout aux côtés d'un grand artiste du calibre de Hassan Megri. Ce sera l'occasion pour nous deux de chanter ensemble sur notre ville natale Oujda. Je remercie le festival de me permettre de vivre ce moment historique et très appréciable. J'espère séduire le beau public marrakchi».
D'autres surprises seront au rendez-vous de l'édition 2006 du FNAP, dont celle de voir danser des troupes chorégraphiques professionnelles sur les rythmes du Raï, au cours de «La Nuit du Raï». Une initiative que l'on doit à l'Association «Grand Atlas» et son partenaire, le Comité national de la Musique du Maroc, membre du CIM/UNESCO.
«C'est une idée que nous voulons lancer ensemble pour donner à cette musique plus d'ampleur et une dimension universelle. C'est la première fois que le Raï sera dansé avec une chorégraphie scientifique et des danseurs professionnels. Ce sera donc à la 41e édition du FNAP de Marrakech», nous précise le professeur Knidiri, président du Festival.
Deux prestations qui feront, sans aucun doute, vibrer les nuits féeriques de la ville ocre, réputée par sa convivialité et sa magie. Cette magie qui ne sera qu'accentuée grâce à la voix hindoue de Rachid Berriah. Un artiste qui a tant donné à la chanson Raï depuis qu'il est rentré dans le domaine du professionnalisme en 1985, en offrant un remarquable show au festival de Saïdia (Oujda).
C'est à ce moment-là, à l'âge de 23 ans, qu'il a commencé sa vraie carrière artistique en faisant une recherche très approfondie dans le patrimoine musical populaire de la région orientale, dont la source se trouve à Oujda. Celle-ci est connue pour ses rythmes «âlaoui» joués auparavant uniquement avec «Al gasba», « Al bendir» et «Al gallal», accompagnés de paroles issus du vécu quotidien. C'est avec cette musique que Rachid Berriah a été bercé depuis son jeune âge au sein de la capitale de l'Orient.
Elle fut ainsi enracinée en lui. « Je suis vraiment passionné par la musique Raï que j'ai toujours désirée et la faire évoluer pour la présenter avec un fond musical riche et des paroles adéquates». Telle est la devise de Rachid Berriah, dont le travail acharné a donné ses fruits durant ces vingt années d'expérience et de recherches continues.
Ainsi, ses prestations ne sont plus à compter, tant au Maroc qu'à l'étranger et ses albums ont dépassé la dizaine, dont des succès très prisés par ses fans, car ils renferment des paroles simples, faciles à chanter, et un rythme chaud et fluide. Chose pas très simple et qui n'est pas donnée à tout le monde. C'est ce qui a renforcé la célébrité et le respect de ce chanteur né.
Quant à sa participation, au mois de juillet, au Festival national des Arts populaires dans sa 41e édition, Rachid Berriah en est très content et lui réserve un beau répertoire avec de belles surprises.
«Se produire dans le FNAP de Marrakech est un grand honneur pour moi, surtout aux côtés d'un grand artiste du calibre de Hassan Megri. Ce sera l'occasion pour nous deux de chanter ensemble sur notre ville natale Oujda. Je remercie le festival de me permettre de vivre ce moment historique et très appréciable. J'espère séduire le beau public marrakchi».
D'autres surprises seront au rendez-vous de l'édition 2006 du FNAP, dont celle de voir danser des troupes chorégraphiques professionnelles sur les rythmes du Raï, au cours de «La Nuit du Raï». Une initiative que l'on doit à l'Association «Grand Atlas» et son partenaire, le Comité national de la Musique du Maroc, membre du CIM/UNESCO.
«C'est une idée que nous voulons lancer ensemble pour donner à cette musique plus d'ampleur et une dimension universelle. C'est la première fois que le Raï sera dansé avec une chorégraphie scientifique et des danseurs professionnels. Ce sera donc à la 41e édition du FNAP de Marrakech», nous précise le professeur Knidiri, président du Festival.
