Le parti Baas irakien dissous a affirmé qu'il poursuivrait la résistance contre l'occupation américaine, rejetant un plan de réconciliation du Premier ministre Nouri Al-Maliki, selon un communiqué publié sur un site arabe qui publie généralement les communiqués du parti dissous. «Ce plan est une tentative américano-iranienne de sortir de l'impasse après une série de victoire obtenue par la résistance», a dit ce parti, dissous après la chute du Président irakien Saddam Hussein en avril 2003, appelant ses partisans à ne pas déposer les armes.
«Abandonner la résistance armée sera une grande trahison et nous avertissons les Irakiens qu'ils ne doivent faire aucune concession à l'occupation», souligne encore le communiqué. Dans son plan de réconciliation nationale présenté devant le Parlement, M. Maliki propose notamment une amnistie aux détenus qui n'ont pas commis de crimes de sang. Il exclut les auteurs d'actes terroristes et les fidèles du Président déchu. M. Maliki a précisé a précisé que son offre d'amnistie excluait les auteurs d'attaque contre les soldats étrangers et affirmé avoir été approché par des insurgés voulant jeter les armes.
Les principaux groupes armés en Irak, dont la branche irakienne d'Al-Qaïda, ont affirmé sur des sites Internet qu'ils poursuivraient le jihad après l'annonce de ce plan. Huit groupes, réunis au sein du «Conseil consultatif des moudjahidine», dominé par l'"Organisation d'Al-Qaïda en Mésopotamie», ont notamment qualifié le plan de M. Maliki de «nouveau projet pernicieux visant à sauver ses maîtres croisés et les apostats, leurs valets».
«Abandonner la résistance armée sera une grande trahison et nous avertissons les Irakiens qu'ils ne doivent faire aucune concession à l'occupation», souligne encore le communiqué. Dans son plan de réconciliation nationale présenté devant le Parlement, M. Maliki propose notamment une amnistie aux détenus qui n'ont pas commis de crimes de sang. Il exclut les auteurs d'actes terroristes et les fidèles du Président déchu. M. Maliki a précisé a précisé que son offre d'amnistie excluait les auteurs d'attaque contre les soldats étrangers et affirmé avoir été approché par des insurgés voulant jeter les armes.
Les principaux groupes armés en Irak, dont la branche irakienne d'Al-Qaïda, ont affirmé sur des sites Internet qu'ils poursuivraient le jihad après l'annonce de ce plan. Huit groupes, réunis au sein du «Conseil consultatif des moudjahidine», dominé par l'"Organisation d'Al-Qaïda en Mésopotamie», ont notamment qualifié le plan de M. Maliki de «nouveau projet pernicieux visant à sauver ses maîtres croisés et les apostats, leurs valets».
