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En effet, Sa Majesté le Roi Mohammed VI s'est rendu en personne aux deux établissements hospitaliers pour apporter réconfort et soutien aux victimes des forfaits terroristes, et s'enquérir de visu de l'évolution de leur état de convalescence.
L'émotion était à son comble, les uns et les autres n'avaient pas assez de mots pour exprimer leur joie et leur admiration devant une si grande et tendre sollicitude royale. Médecins, infirmiers, aide-soignants étaient mobilisés, lorsqu'ils ont appris que le Souverain s'était rendu au chevet des blessés.
Et de fait, cette visite royale avait pris une dimension quasi familiale parce que S.M. le Roi s'est entretenu longuement avec eux, a patiemment interrogé chacun d'entre eux sur les attentats, posé des questions sur leur état physique et psychologique, et ordonné de nouveau que les meilleures dispositions soient prises pour leur prodiguer les meilleurs soins.
C'est peu de dire que les rescapés des attentats, tous émus et enchantés à la fois, étaient profondément touchés par la sollicitude d'un Roi qui, interrompant immédiatement et reportant une série d'activités importantes prévues mercredi dans la province d'Essaouira, bousculant également un calendrier de travail chargé, exprimant enfin une solidarité nécessaire à toute épreuve, a décidé de se rendre sur les lieux, dans la ville éprouvée qu'est Casablanca, dans les départements d'orthopédie et de traumatologie où sont pris en charge ses fidèles citoyens, victimes des explosions criminelles de mardi.
Sur l'avenue Nador, après avoir quitté l'hôpital Médecin Lieutenant Bouafi, à hauteur de l'avenue 2 Mars et d'Al Fida, le Souverain s'est arrêté à trois reprises, quittant le cortège officiel pour saluer la population casablancaise venue nombreuse le saluer.
Là encore, il a bousculé le protocole et pris de court les uns et les autres, redonnant à cette notion de proximité réelle son sens concret, son poids et sa portée populaire.
On peut imaginer que dans l'esprit de S.M. le Roi les choses devant continuer, il convient de renforcer la symbiose avec le peuple, à plus forte raison dans l'épreuve qui, en ces circonstances précises, doit générer force et endurance face à l'adversité.
Or, S.M. le Roi s'inscrit forcément dans cette optique de défi qu'autant les événements malheureux peuvent éprouver la nation, autant il faut les affronter et ne jamais perdre le sens de la continuité. Son déplacement d'Essaouira à Casablanca dans les deux hôpitaux, quelques heures seulement après les forfaits commis, a valeur de symbole. C'est l'expression d'un engagement concret auprès de son peuple dont la quiétude, la sécurité et le bien-être lui tiennent irréductiblement à cœur.
Ensuite, celle d'une volonté tout aussi réaffirmée et irréversible de lutter contre la barbarie, de ne ménager aucun effort pour consolider intactes nos valeurs musulmanes de tolérance et d'ouverture.
La visite royale aux victimes blessées des explosions vient illustrer un souci de présence effective auprès d'eux, le Souverain leur avait auparavant adressé des messages de compassion ainsi qu'un autre message de condoléances et de compassion aux membres de la famille de feu Mohamed Zinbiba, mort sur le champ du devoir après l'explosion.
L'émotion était à son comble, les uns et les autres n'avaient pas assez de mots pour exprimer leur joie et leur admiration devant une si grande et tendre sollicitude royale. Médecins, infirmiers, aide-soignants étaient mobilisés, lorsqu'ils ont appris que le Souverain s'était rendu au chevet des blessés.
Et de fait, cette visite royale avait pris une dimension quasi familiale parce que S.M. le Roi s'est entretenu longuement avec eux, a patiemment interrogé chacun d'entre eux sur les attentats, posé des questions sur leur état physique et psychologique, et ordonné de nouveau que les meilleures dispositions soient prises pour leur prodiguer les meilleurs soins.
C'est peu de dire que les rescapés des attentats, tous émus et enchantés à la fois, étaient profondément touchés par la sollicitude d'un Roi qui, interrompant immédiatement et reportant une série d'activités importantes prévues mercredi dans la province d'Essaouira, bousculant également un calendrier de travail chargé, exprimant enfin une solidarité nécessaire à toute épreuve, a décidé de se rendre sur les lieux, dans la ville éprouvée qu'est Casablanca, dans les départements d'orthopédie et de traumatologie où sont pris en charge ses fidèles citoyens, victimes des explosions criminelles de mardi.
Sur l'avenue Nador, après avoir quitté l'hôpital Médecin Lieutenant Bouafi, à hauteur de l'avenue 2 Mars et d'Al Fida, le Souverain s'est arrêté à trois reprises, quittant le cortège officiel pour saluer la population casablancaise venue nombreuse le saluer.
Là encore, il a bousculé le protocole et pris de court les uns et les autres, redonnant à cette notion de proximité réelle son sens concret, son poids et sa portée populaire.
On peut imaginer que dans l'esprit de S.M. le Roi les choses devant continuer, il convient de renforcer la symbiose avec le peuple, à plus forte raison dans l'épreuve qui, en ces circonstances précises, doit générer force et endurance face à l'adversité.
Or, S.M. le Roi s'inscrit forcément dans cette optique de défi qu'autant les événements malheureux peuvent éprouver la nation, autant il faut les affronter et ne jamais perdre le sens de la continuité. Son déplacement d'Essaouira à Casablanca dans les deux hôpitaux, quelques heures seulement après les forfaits commis, a valeur de symbole. C'est l'expression d'un engagement concret auprès de son peuple dont la quiétude, la sécurité et le bien-être lui tiennent irréductiblement à cœur.
Ensuite, celle d'une volonté tout aussi réaffirmée et irréversible de lutter contre la barbarie, de ne ménager aucun effort pour consolider intactes nos valeurs musulmanes de tolérance et d'ouverture.
La visite royale aux victimes blessées des explosions vient illustrer un souci de présence effective auprès d'eux, le Souverain leur avait auparavant adressé des messages de compassion ainsi qu'un autre message de condoléances et de compassion aux membres de la famille de feu Mohamed Zinbiba, mort sur le champ du devoir après l'explosion.
