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Les entraîneurs du CAFC, Hizaz et Saber, se rappelleront longtemps d'un jeune joueur qui venait taquiner la petite balle jaune sur les courts du célèbre club français. Il s'agit de Hicham Khaddari, qui, à 18 ans, espère toujours suivre les traces de son idole, en l'occurrence Younès El Aynaoui avec lequel il a échangé quelques balles à Barcelone à l'occasion d'une tournée en terre catalane.
Le n°1 national voit en lui l'un des futures espoirs capables de frapper à la grande porte de l'équipe de Coupe Davis. « C'est vrai qu'il m'a donné une forte impression, avoue Younès El Aynaoui. Je souhaite le prendre sous ma coupe.
Il a de bons gestes techniques et une bonne vision du jeu. Mais il faut qu'il s'entraîne beaucoup plus pour prétendre à une carrière professionnelle».
El Aynaoui nous a fait la confidence au lendemain d'un certain Maroc-Danemark, comptant pour la Coupe Davis. Il avait entendu parler de ce jeune garçon et il l'avait rencontré à Barcelone.
Le maître et l'élève ont bien voulu prendre plus de temps pour mieux s'entendre, mais le programme chargé du champion marocain ne le
permettait pas.
Il est évident que le message d'El Aynaoui est bien passé. Khaddari sait que pour percer à un haut niveau, il faut nécessairement des moyens financiers, bien sûr, pour sillonner le monde et disputer le plus de tournois possible.
Avec ces moyens et ceux d'un sponsor, le joueur peut se payer au moins un coach, pour lui concocter un programme lui permettant de gagner des points.
«Je suis allé en Espagne et en Suède, explique Hicham, et j'ai vu comment les jeunes espoirs de ces pays étaient pris en charge par des sponsors qui les soutiennent dans leur parcours. Ma foi, j'ai été subjugué par leur motivation et leur passion pour le tennis.
Chaque joueur rêve de devenir une star du tennis mondial.
Mais sans grands moyens, il est difficile d'intégrer le circuit professionnel.» Hicham Khaddari a eu la chance d'être l'enfant d'un grand technicien qui n'est autre que son père, Abdelaziz, bien connu dans le giron des entraîneurs.
Puis il fut pris en charge par un autre fin technicien, en l'occurrence Mokhtar Allami, devenu coach à l'ACSA.
Le jeune garçon a souvent suivi les conseils de l'un et de l'autre. Il a remporté un certain nombre de tournois nationaux et réalisé quelques performances à l'étranger.
Ce fut le cas à Paris quand il avait 14 ans, à Barcelone lors d'un tournoi ITF où il remporte 6 points.
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Le père, qui est entraîneur au club de l'OCPC, souhaite plus d'égard à l'attention de son fils Hicham qui fait partie de la graine des champions. «Beaucoup de jeunes ont bénéficié du soutien de sponsors, ce qui est une bonne chose pour nos joueurs et nos joueuses, reconnaît le père Khaddari.
Aujourd'hui, je lance un appel aux éventuels opérateurs économiques pour soutenir Hicham dans son parcours car il le mérite bien». Vice-champion d'Afrique cette saison au Bostwana, Hicham continue à espérer et à donner le meilleur de lui-même pour honorer son pays et son club.
Le n°1 national voit en lui l'un des futures espoirs capables de frapper à la grande porte de l'équipe de Coupe Davis. « C'est vrai qu'il m'a donné une forte impression, avoue Younès El Aynaoui. Je souhaite le prendre sous ma coupe.
Il a de bons gestes techniques et une bonne vision du jeu. Mais il faut qu'il s'entraîne beaucoup plus pour prétendre à une carrière professionnelle».
El Aynaoui nous a fait la confidence au lendemain d'un certain Maroc-Danemark, comptant pour la Coupe Davis. Il avait entendu parler de ce jeune garçon et il l'avait rencontré à Barcelone.
Le maître et l'élève ont bien voulu prendre plus de temps pour mieux s'entendre, mais le programme chargé du champion marocain ne le
permettait pas.
Il est évident que le message d'El Aynaoui est bien passé. Khaddari sait que pour percer à un haut niveau, il faut nécessairement des moyens financiers, bien sûr, pour sillonner le monde et disputer le plus de tournois possible.
Avec ces moyens et ceux d'un sponsor, le joueur peut se payer au moins un coach, pour lui concocter un programme lui permettant de gagner des points.
«Je suis allé en Espagne et en Suède, explique Hicham, et j'ai vu comment les jeunes espoirs de ces pays étaient pris en charge par des sponsors qui les soutiennent dans leur parcours. Ma foi, j'ai été subjugué par leur motivation et leur passion pour le tennis.
Chaque joueur rêve de devenir une star du tennis mondial.
Mais sans grands moyens, il est difficile d'intégrer le circuit professionnel.» Hicham Khaddari a eu la chance d'être l'enfant d'un grand technicien qui n'est autre que son père, Abdelaziz, bien connu dans le giron des entraîneurs.
Puis il fut pris en charge par un autre fin technicien, en l'occurrence Mokhtar Allami, devenu coach à l'ACSA.
Le jeune garçon a souvent suivi les conseils de l'un et de l'autre. Il a remporté un certain nombre de tournois nationaux et réalisé quelques performances à l'étranger.
Ce fut le cas à Paris quand il avait 14 ans, à Barcelone lors d'un tournoi ITF où il remporte 6 points.
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Parcours
Toujours dans la capitale catalane, au Championnat du monde, il gagne quelques champions étrangers comme le n°1 américain. L'an dernier, il a remporté le championnat du Maroc cadet. En Suède, il est parvenu en demi-finale d'un ITF. Cette année, il a remporté le National.Le père, qui est entraîneur au club de l'OCPC, souhaite plus d'égard à l'attention de son fils Hicham qui fait partie de la graine des champions. «Beaucoup de jeunes ont bénéficié du soutien de sponsors, ce qui est une bonne chose pour nos joueurs et nos joueuses, reconnaît le père Khaddari.
Aujourd'hui, je lance un appel aux éventuels opérateurs économiques pour soutenir Hicham dans son parcours car il le mérite bien». Vice-champion d'Afrique cette saison au Bostwana, Hicham continue à espérer et à donner le meilleur de lui-même pour honorer son pays et son club.
