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C'est le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'Eau et de l'Environnement Mohamed El Yazghi qui a présidé les travaux de la première session du Conseil d'administration de l'Agence du bassin hydraulique du Loukkos pour l'année 2007, en présence du wali de Tétouan, Driss Khazani, des présidents des communes urbaines et autres personnalités.
Le débat national de l'eau tenu les 12 et 13 février dernier à Tétouan préconisait des recommandations se rapportant au plan directeur de l'Aménagement intégré des ressources en eau (PDAIRE) et qui est à sa ultime retouche, a dit le ministre.
En dépit des fortes pluviométries enregistrées au Nord du Royaume (700 mm/an), les ressources hydrauliques sont en nette rétrocession et que quelques nappes phréatiques sont polluées par les infiltrations des décharges publiques. M. El Yazghi devait aussi aborder le plan national de l'assainissement liquide et la réutilisation des eaux usées, plan destiné à faire passer le taux de pollution de 60% à 8O% en 2015.
Le directeur de l'Agence du bassin hydraulique du Loukkos a rappelé que cette institution publique couvre 3 wilaya et 9 provinces avec une population dépassant les trois millions d'habitants avec une moyenne de 2.783 litres par an par habitant alors que les inondations enregistrées au Nord ont laissé 56 points noirs.
Pour ce qui est de l'utilisation des eaux souterraines, l'Agence a opéré 28 forages avec un débit de 25,2 litres/sec en 2006. La loi 10/95 donne plein droit à la protection des ressources hydrauliques contre tout genre de pollution. Pour cela le plan directeur des ressources en eau prévoit l'exploitation de 3.600 milliards des eaux souterraines en plus de 480 milliards des eaux de surface, soit un total de 4.080 milliards à l'horizon 2030.
Lors de cette session il a été rappelé le rôle des barrages quant à la réalisation de grands projets socio-économiques dans la région surtout dans les domaines de l'agriculture et du tourisme. Ainsi il a été rappelé le désenvasement du barrage Abdelkrim Khattabi d'Alhoceima, la proche construction des barrages de Martil, Loukkos et Khroufa de Ksar Kebir.
Les membres du conseil d'administration de l'Agence du bassin hydraulique du Loukkos ont abordé la problématique de l'environnement, la protection du domaine hydraulique, l'approvisionnement des centres ruraux en eau potable, la gestion intégrée des ressources et autres points intéressant le traitement de cette importante énergie qu'est l'eau potable.
Le débat national de l'eau tenu les 12 et 13 février dernier à Tétouan préconisait des recommandations se rapportant au plan directeur de l'Aménagement intégré des ressources en eau (PDAIRE) et qui est à sa ultime retouche, a dit le ministre.
En dépit des fortes pluviométries enregistrées au Nord du Royaume (700 mm/an), les ressources hydrauliques sont en nette rétrocession et que quelques nappes phréatiques sont polluées par les infiltrations des décharges publiques. M. El Yazghi devait aussi aborder le plan national de l'assainissement liquide et la réutilisation des eaux usées, plan destiné à faire passer le taux de pollution de 60% à 8O% en 2015.
Le directeur de l'Agence du bassin hydraulique du Loukkos a rappelé que cette institution publique couvre 3 wilaya et 9 provinces avec une population dépassant les trois millions d'habitants avec une moyenne de 2.783 litres par an par habitant alors que les inondations enregistrées au Nord ont laissé 56 points noirs.
Pour ce qui est de l'utilisation des eaux souterraines, l'Agence a opéré 28 forages avec un débit de 25,2 litres/sec en 2006. La loi 10/95 donne plein droit à la protection des ressources hydrauliques contre tout genre de pollution. Pour cela le plan directeur des ressources en eau prévoit l'exploitation de 3.600 milliards des eaux souterraines en plus de 480 milliards des eaux de surface, soit un total de 4.080 milliards à l'horizon 2030.
Lors de cette session il a été rappelé le rôle des barrages quant à la réalisation de grands projets socio-économiques dans la région surtout dans les domaines de l'agriculture et du tourisme. Ainsi il a été rappelé le désenvasement du barrage Abdelkrim Khattabi d'Alhoceima, la proche construction des barrages de Martil, Loukkos et Khroufa de Ksar Kebir.
Les membres du conseil d'administration de l'Agence du bassin hydraulique du Loukkos ont abordé la problématique de l'environnement, la protection du domaine hydraulique, l'approvisionnement des centres ruraux en eau potable, la gestion intégrée des ressources et autres points intéressant le traitement de cette importante énergie qu'est l'eau potable.
