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Contre toute attente, les journalistes, qui font la navette entre Kénitra et Settat via Casablanca, ont été surpris, dimanche matin, une fois aux guichets des gares ferroviaires, de l'invalidité de leurs cartes gratuites de train.
Pourtant, un communiqué laconique émanant du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) parvenu à notre rédaction, samedi, avait indiqué que "la direction générale de l'Office national des chemins de fer (ONCF) avait prorogé jusqu'en janvier la durée de validité des cartes des journalistes au titre de l'année 2005". Le communiqué ajoutait que l'Office avait décidé d'informer toutes les gares de cette mesure, précisant que cette décision a été prise suite à une demande formulée par le SNPM à ce sujet.
Non seulement les gares n'ont pas été informées d'une telle mesure, mais aussi les ordinateurs ont été bloqués de manière à refuser toute carte de train qui n'est plus valable au-delà du 31 décembre. Apparemment, le retard cumulé dans la livraison des cartes de presse aux journalistes professionnels aurait provoqué un tel "déraillement". Les dossiers de renouvellement de cette carte ONCF n'ont toujours pas quitté les bureaux de l'annexe du ministère de la Communication, sis à la cité Al Irfane, à Rabat.
Ce n'est pas le premier incident de ce genre enregistré à l'actif de cet Office. Déjà, l'année dernière, les journalistes ont été confrontés à de pareilles tergiversations. Seulement, il faut savoir que c'est leur droit le plus absolu de bénéficier de cette mesure, qui entre dans le cadre du soutien de l'Etat au niveau du transport avec les gratuités sur les cartes de train, accordée aux journalistes professionnels.
L'ONCF, qui se réjouit de la performance "20 millions de voyageurs" à fin décembre, avait décidé d'offrir, à cette occasion, une année de voyage sur toutes ses lignes et en 1ère classe de tous ses trains à 20 usagers gagnants du tombola organisée dans l'ensemble des gares du réseau.
Pourtant, un communiqué laconique émanant du Syndicat national de la presse marocaine (SNPM) parvenu à notre rédaction, samedi, avait indiqué que "la direction générale de l'Office national des chemins de fer (ONCF) avait prorogé jusqu'en janvier la durée de validité des cartes des journalistes au titre de l'année 2005". Le communiqué ajoutait que l'Office avait décidé d'informer toutes les gares de cette mesure, précisant que cette décision a été prise suite à une demande formulée par le SNPM à ce sujet.
Non seulement les gares n'ont pas été informées d'une telle mesure, mais aussi les ordinateurs ont été bloqués de manière à refuser toute carte de train qui n'est plus valable au-delà du 31 décembre. Apparemment, le retard cumulé dans la livraison des cartes de presse aux journalistes professionnels aurait provoqué un tel "déraillement". Les dossiers de renouvellement de cette carte ONCF n'ont toujours pas quitté les bureaux de l'annexe du ministère de la Communication, sis à la cité Al Irfane, à Rabat.
Ce n'est pas le premier incident de ce genre enregistré à l'actif de cet Office. Déjà, l'année dernière, les journalistes ont été confrontés à de pareilles tergiversations. Seulement, il faut savoir que c'est leur droit le plus absolu de bénéficier de cette mesure, qui entre dans le cadre du soutien de l'Etat au niveau du transport avec les gratuités sur les cartes de train, accordée aux journalistes professionnels.
L'ONCF, qui se réjouit de la performance "20 millions de voyageurs" à fin décembre, avait décidé d'offrir, à cette occasion, une année de voyage sur toutes ses lignes et en 1ère classe de tous ses trains à 20 usagers gagnants du tombola organisée dans l'ensemble des gares du réseau.
