Mais il semble que les transporteurs, contrairement au mot d'ordre de grève, n'ont pas été tous au courant de la décision de l'arrêt du mouvement décidé par le comité de coordination nationale du transport (CCNT), suite à une réunion avec le wali du grand Casablanca, Mohamed Kabbaj, qui a été «mandaté» par le gouvernement pour tenir cette réunion qui visait à calmer la tension dans un secteur dont les effets ont touché tous les compartiments de la vie des citoyens, sans omettre l'impact que cela a eu sur l'économie du pays. Mais, il en a fallu du temps avant de respirer.
Plus précisément, trois longues journées avant que le taureau ne soit réellement pris par les cornes. A croire qu'on l'on jouait à une partie de pingpong en misant sur l'usure. Seulement voilà, l'équation a été plus compliquée qu'on l'évaluait.
La fameuse rencontre entre le ministre de tutelle et des représentants du secteur a eu l'effet contraire. En effet, au lieu d'aplanir les différends, la tension a augmenté de plusieurs crans, au point de culminer à la grève nationale qu'on a dû subir. Quant à la question lancinante du fait d'avoir mandaté le wali du grand Casablanca pour traiter au nom du gouvernement, à la mi-journée de vendredi, personne n'a été en mesure de nous en expliciter ni les tenants ni les aboutissants.
A moins que ce ne soit, selon une certaine lecture, pour l'une de deux raisons : à savoir qu'une partie du dossier relève du département de l'Intérieur, notamment pour les taxis, ou encore du fait de la compétence territoriale, sachant que le Comité de coordination siège dans la métropole. Un simple détail, peut-être, puisque l'essentiel est ailleurs : les transporteurs et le gouvernement se sont engagés à résoudre le problème dans ses différents aspects.
Plus précisément, trois longues journées avant que le taureau ne soit réellement pris par les cornes. A croire qu'on l'on jouait à une partie de pingpong en misant sur l'usure. Seulement voilà, l'équation a été plus compliquée qu'on l'évaluait.
La fameuse rencontre entre le ministre de tutelle et des représentants du secteur a eu l'effet contraire. En effet, au lieu d'aplanir les différends, la tension a augmenté de plusieurs crans, au point de culminer à la grève nationale qu'on a dû subir. Quant à la question lancinante du fait d'avoir mandaté le wali du grand Casablanca pour traiter au nom du gouvernement, à la mi-journée de vendredi, personne n'a été en mesure de nous en expliciter ni les tenants ni les aboutissants.
A moins que ce ne soit, selon une certaine lecture, pour l'une de deux raisons : à savoir qu'une partie du dossier relève du département de l'Intérieur, notamment pour les taxis, ou encore du fait de la compétence territoriale, sachant que le Comité de coordination siège dans la métropole. Un simple détail, peut-être, puisque l'essentiel est ailleurs : les transporteurs et le gouvernement se sont engagés à résoudre le problème dans ses différents aspects.
