Le Wydad, quoique éliminé de la Coupe du Trône par les FAR après les tirs au but, garde quand même un moral d'acier. Les hommes de Markov, auteurs d'un grand match ponctué d'un très beau but consécutif à un obus déclenché des pieds de Madihi, entendent récidiver devant leur public qui les a carrément portés lors des récents matches en Coupe du Trône. Certes, l'adversaire venu d'Oman ne doit pas inquiéter le prestigieux club bidaoui, outre mesure ; mais toujours est-il que l'outrecuidance est meurtrière. L'excès de confiance a bien joué des tours à des formations qui roulaient les mécaniques.
D'autant plus que le représentant d'Oman n'a rien à perdre. Il pourrait jouer le tout pour le tout ou tout simplement renforcer sa défense et son milieu de terrain pour rentrer chez lui avec moins de dégâts. Dans les deux alternatives, les Wydadis seront appelés à confirmer leur belle prestation de l'aller.
Un atout de taille pour le Wydad. Le grand club casablancais jouera devant son public et fera encore une fois le plein dans l'immense stade Mohammed V.
Une opportunité que nous saisirons au vol pour lancer un appel pressant à toutes les as116iations afin d'encadrer les supporters, de les prévenir contre tous ceux qui portent le mal et la destruction et la terreur dans des enceintes censées abriter la joie et l'enthousiasme. A ces as116iations nous dirons que seuls les vrais supporters pourront se dresser devant ces vandales qui, en fait, ne viennent pas aider leur club mais lui porter tort. Car bon nombre d'enter eux, jaloux, envieux, frustrés, têtes brûlées vont semer l'anarchie, rentrer chez eux tranquillement et laisser le club dans des difficultés à n'en plus finir.
Les huis- clos causent des pertes inimaginables aux clubs. Est-ce que ces énergumènes sont-ils conscient de leurs actes? Il faudra, donc, combattre ces pseudo supporters par les vrais qui auront un œil sur ces vandales et les dénoncer. Pour en revenir à la rencontre, le coach Markov est à coup sûr le premier concerné à redorer son blason auprès du public. Car depuis trois rencontres, il ne semble pas avoir trouvé la formule qui permet au WAC de gagner. Il dispose d'un atout de premier ordre en la personne de Mustapha Bidodane. Un vrai poison des surfaces de réparation. Il ne le titularise qu'en seconde période alors que l'homme est un vrai chasseur de buts. D'ailleurs, le buts de l'égalisation marqué dans les derniers instants du temps additionnel revient en premier lieu à la politique de diversion créée par Bidodane. Jarmouni qui avait un œil sur l'attaquant des Rouges a raté sa sortie et le ballon par la même occasion.
Peut-être que Markov va-t-il titulariser Bidodane et mettre sur le terrain une formation à même de donner le ton dès l'entame de la rencontre. Le Wydad au complet avec un Madihi qui, nous l'espérons, en bon capitaine ne cédera pas à la colère, et s'occupera plus de calmer ses troupes pour un passage au tour suivant.
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Le capitaine est le métronome ; non seulement dans le jeu mais également un créateur d'équilibre entre les joueurs. Il est l'organe de liaison entre directeur du jeu et joueurs. Et dans cet ordre d'idées, la mission qui lui incombe dépasse le cadre du jeu. Si tout capitaine l'assimile, tout le groupe ne s'en portera que mieux !
D'autant plus que le représentant d'Oman n'a rien à perdre. Il pourrait jouer le tout pour le tout ou tout simplement renforcer sa défense et son milieu de terrain pour rentrer chez lui avec moins de dégâts. Dans les deux alternatives, les Wydadis seront appelés à confirmer leur belle prestation de l'aller.
Un atout de taille pour le Wydad. Le grand club casablancais jouera devant son public et fera encore une fois le plein dans l'immense stade Mohammed V.
Une opportunité que nous saisirons au vol pour lancer un appel pressant à toutes les as116iations afin d'encadrer les supporters, de les prévenir contre tous ceux qui portent le mal et la destruction et la terreur dans des enceintes censées abriter la joie et l'enthousiasme. A ces as116iations nous dirons que seuls les vrais supporters pourront se dresser devant ces vandales qui, en fait, ne viennent pas aider leur club mais lui porter tort. Car bon nombre d'enter eux, jaloux, envieux, frustrés, têtes brûlées vont semer l'anarchie, rentrer chez eux tranquillement et laisser le club dans des difficultés à n'en plus finir.
Les huis- clos causent des pertes inimaginables aux clubs. Est-ce que ces énergumènes sont-ils conscient de leurs actes? Il faudra, donc, combattre ces pseudo supporters par les vrais qui auront un œil sur ces vandales et les dénoncer. Pour en revenir à la rencontre, le coach Markov est à coup sûr le premier concerné à redorer son blason auprès du public. Car depuis trois rencontres, il ne semble pas avoir trouvé la formule qui permet au WAC de gagner. Il dispose d'un atout de premier ordre en la personne de Mustapha Bidodane. Un vrai poison des surfaces de réparation. Il ne le titularise qu'en seconde période alors que l'homme est un vrai chasseur de buts. D'ailleurs, le buts de l'égalisation marqué dans les derniers instants du temps additionnel revient en premier lieu à la politique de diversion créée par Bidodane. Jarmouni qui avait un œil sur l'attaquant des Rouges a raté sa sortie et le ballon par la même occasion.
Peut-être que Markov va-t-il titulariser Bidodane et mettre sur le terrain une formation à même de donner le ton dès l'entame de la rencontre. Le Wydad au complet avec un Madihi qui, nous l'espérons, en bon capitaine ne cédera pas à la colère, et s'occupera plus de calmer ses troupes pour un passage au tour suivant.
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A première vue
De prime abord le match contre Al Ourouba ne constitue pas un cauchemar pour les Wydadis, qui ne doivent pas céder à une colère inutile comme ce fut le cas contre les FAR. L'arbitre arabe ou africain, il est ce qu'il est. Mais il est du devoir des joueurs, mais surtout du capitaine d'équipe d'absorber l'ire de l'atmosphère.Le capitaine est le métronome ; non seulement dans le jeu mais également un créateur d'équilibre entre les joueurs. Il est l'organe de liaison entre directeur du jeu et joueurs. Et dans cet ordre d'idées, la mission qui lui incombe dépasse le cadre du jeu. Si tout capitaine l'assimile, tout le groupe ne s'en portera que mieux !
