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Evoquant les actes des égarés qui ont succombé au discours déviateur de ceux qui ont réussi à leur faire voir du bien dans le mal en exploitant leur ignorance religieuse, l'imam a souligné que ces actes relèvent de l'insubordination envers Allah et Son Prophète, de la violation du pacte communautaire et de la trahison envers la patrie qui a droit à ce que ses fils lui assurent protection face à toute velléité.
De tels actes ne peuvent trouver place ailleurs que dans le registre des actes proscrits par Allah : "Et ne semez pas la corruption sur la terre après qu'elle ait été réformée" (Coran).
L'Islam prône le bien contre le mal, préserve la vie et les biens des individus et prohibe l'agression, a-t-il fait remarquer, rappelant les châtiments que recevra l'auteur d'actes contraires à la volonté divine, ces actes qui ôtent la vie et frappent la société de paralysie et de terreur.
En religion, il n'y a rien qui puisse justifier le suicide, ni l'acte d'ôter la vie à son prochain, sachant que les oulémas sont unanimes, depuis l'avènement de l'Islam, quant à l'interdiction du meurtre dont l'auteur est voué à l'enfer.
Il a stigmatisé la fallacieuse prétention selon laquelle ôter la vie à soi ou à autrui conduirait au Paradis, rétribution promise aux seules âmes éprises de ferveur, particulièrement en terre d'Islam où les dirigeants s'efforcent sans discontinuité de faire régner la justice et l'équité au sein de la communauté.
L'Islam recommande aux fidèles de faire régner la paix, la sécurité, l'amour d'autrui, la symbiose entre les gens à qui il revient d'apprécier à leur juste valeur, les bienfaits de la sérénité, de la stabilité et de la quiétude spirituelle et de la dignité, a-t-il ajouté.
L'imam a particulièrement insisté sur la responsabilité qui incombe à tout un chacun en matière de défense de sa patrie et de protection de ses valeurs sacrées et constantes, surtout quand on sait qu'une nation est tel un corps dont l'ensemble des organes éprouvent la douleur quand l'un d'entre eux est souffrant.
"Telle est notre responsabilité en matière de sauvegarde de la sécurité de notre pays contre les actes de vanité. Cette responsabilité ne se trouve qu'amplifier pour les oulémas, prêcheurs, prédicateurs et éducateurs, chacun à son niveau (…), particulièrement lorsqu'il s'agit d'éclairer la communauté des fidèles quant à la gravité des idées en dissonance avec la foi ambiante et à l'utilité de faire connaître la prohibition du meurtre et du suicide par l'Islam, qui promet de durs châtiments aux auteurs de tels actes", a-t-il souligné.
"Il nous appartient donc, a-t-il ajouté, de veiller à faire valoir tout ce qui est de nature à conforter la sérénité et la stabilité dont jouit notre pays et à lui assurer progrès et prospérité sous la conduite éclairée de Amir Al Mouminine, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu le préserve".
En conclusion, l'imam a élevé des prières implorant Le Très-Haut d'assister Amir Al Mouminine, S.M. le Roi Mohammed VI, dans sa quête pour la gloire de l'Islam et l'unité des musulmans et de combler le Souverain en la personne de S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan, de S.A.R. le Prince Moulay Rachid et de l'ensemble des membres de l'illustre Famille Royale.
Il a également prié Dieu d'avoir en Sa Sainte Miséricorde feu S.M. Hassan II et feu S.M. Mohammed V et de les accueillir en Son Vaste Paradis.
A son arrivée à la mosquée Sidi Youssef, S.M. le Roi avait passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d'être salué par Moulay El Mamoun Boufarès, wali au ministère de l'Intérieur, et Abdeslam Bikrat, gouverneur de la province d'Essaouira, ainsi que par le commandant de la place d'armes, le corps de la magistrature, les autorités locales, les élus, le président du conseil local des oulémas, le directeur des Habous et des Affaires islamiques et d'autres personnalités.
A l'entrée de la mosquée, le Souverain a été salué par le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq.
De tels actes ne peuvent trouver place ailleurs que dans le registre des actes proscrits par Allah : "Et ne semez pas la corruption sur la terre après qu'elle ait été réformée" (Coran).
L'Islam prône le bien contre le mal, préserve la vie et les biens des individus et prohibe l'agression, a-t-il fait remarquer, rappelant les châtiments que recevra l'auteur d'actes contraires à la volonté divine, ces actes qui ôtent la vie et frappent la société de paralysie et de terreur.
En religion, il n'y a rien qui puisse justifier le suicide, ni l'acte d'ôter la vie à son prochain, sachant que les oulémas sont unanimes, depuis l'avènement de l'Islam, quant à l'interdiction du meurtre dont l'auteur est voué à l'enfer.
Il a stigmatisé la fallacieuse prétention selon laquelle ôter la vie à soi ou à autrui conduirait au Paradis, rétribution promise aux seules âmes éprises de ferveur, particulièrement en terre d'Islam où les dirigeants s'efforcent sans discontinuité de faire régner la justice et l'équité au sein de la communauté.
L'Islam recommande aux fidèles de faire régner la paix, la sécurité, l'amour d'autrui, la symbiose entre les gens à qui il revient d'apprécier à leur juste valeur, les bienfaits de la sérénité, de la stabilité et de la quiétude spirituelle et de la dignité, a-t-il ajouté.
L'imam a particulièrement insisté sur la responsabilité qui incombe à tout un chacun en matière de défense de sa patrie et de protection de ses valeurs sacrées et constantes, surtout quand on sait qu'une nation est tel un corps dont l'ensemble des organes éprouvent la douleur quand l'un d'entre eux est souffrant.
"Telle est notre responsabilité en matière de sauvegarde de la sécurité de notre pays contre les actes de vanité. Cette responsabilité ne se trouve qu'amplifier pour les oulémas, prêcheurs, prédicateurs et éducateurs, chacun à son niveau (…), particulièrement lorsqu'il s'agit d'éclairer la communauté des fidèles quant à la gravité des idées en dissonance avec la foi ambiante et à l'utilité de faire connaître la prohibition du meurtre et du suicide par l'Islam, qui promet de durs châtiments aux auteurs de tels actes", a-t-il souligné.
"Il nous appartient donc, a-t-il ajouté, de veiller à faire valoir tout ce qui est de nature à conforter la sérénité et la stabilité dont jouit notre pays et à lui assurer progrès et prospérité sous la conduite éclairée de Amir Al Mouminine, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu le préserve".
En conclusion, l'imam a élevé des prières implorant Le Très-Haut d'assister Amir Al Mouminine, S.M. le Roi Mohammed VI, dans sa quête pour la gloire de l'Islam et l'unité des musulmans et de combler le Souverain en la personne de S.A.R. le Prince Héritier Moulay El Hassan, de S.A.R. le Prince Moulay Rachid et de l'ensemble des membres de l'illustre Famille Royale.
Il a également prié Dieu d'avoir en Sa Sainte Miséricorde feu S.M. Hassan II et feu S.M. Mohammed V et de les accueillir en Son Vaste Paradis.
A son arrivée à la mosquée Sidi Youssef, S.M. le Roi avait passé en revue un détachement de la Garde Royale qui rendait les honneurs, avant d'être salué par Moulay El Mamoun Boufarès, wali au ministère de l'Intérieur, et Abdeslam Bikrat, gouverneur de la province d'Essaouira, ainsi que par le commandant de la place d'armes, le corps de la magistrature, les autorités locales, les élus, le président du conseil local des oulémas, le directeur des Habous et des Affaires islamiques et d'autres personnalités.
A l'entrée de la mosquée, le Souverain a été salué par le ministre des Habous et des Affaires islamiques, Ahmed Toufiq.
