Citant des sources sécuritaires, le journal précise que la bombe a explosé au moment où une unité de l'armée menait une opération de ratissage dans cette région, fief de groupes armés auteurs d'attentats meurtriers au cours des dernières semaines à l'est du pays.
Sur le terrain, l'armée poursuit sa vaste opération de ratissage qui concerne, outre Tébessa, El Oued, Khenchela et Biskra (est du pays) après avoir localisé les endroits où se retrancheraient des groupes armés.
Une opération similaire de ratissage concerne également les montagnes Al Ossfour, dans la wilaya de Tlemcen (580 km à l'ouest de la capitale), l'armée soupçonne la présence de groupes armés dans cette région, souligne-t-on de même source. Les services de sécurité ont par ailleurs arrêté, lundi, à Tizi Ghenif dans la wilaya de Tizi Ouzou (100 km à l'est d'Alger), un élément appartenant à un groupe armé, qui sévit dans la région, indique la presse.
A Oran, (430 km à l'ouest de la capitale), une fausse alerte à la bombe a été signalée dans la nouvelle cité de la ville, semant une panique parmi les citoyens, rapporte la presse qui note que c'est la seconde fausse alerte à la bombe dans cette ville en 48 heures. Alertée, la police s'est déplacée sur les lieux en bouclant le secteur et ordonnant aux commerçants de fermer leurs magasins. Après une fouille minutieuse, il s'est avéré qu'il s'agit d'une fausse alerte, ajoute-t-on de même source.
La police a découvert, par ailleurs, un atelier de maintenance des armes à Aïn Beyad, dans la wilaya de Ourgla (800 km au sud de la capitale), indique Ech-chourouk El Yaoumi, qui précise que lors de cette opération, la police a également découvert 22 fusils et des explosifs appartenant à un individu qui a été arrêté.
A Skikda (510 km à l'est d'Alger), un groupe d'individus s'est emparé d'un dépôt de médicaments dans la municipalité Bni Zayed, rapporte le quotidien El Khabar, qui n'exclut pas que cet acte soit terroriste. Des groupes armés volent souvent des médicaments qui leur permettent de soigner les éléments armés blessés lors des accrochages avec l'armée algérienne.
La violence, qui ne connaît pas de répit en Algérie, a fait, depuis le début mai, au moins 20 personnes, dont 14 islamistes armés, selon des bilans établis sur la base d'informations rapportées par la presse locale.
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Selon des étudiants, cités mercredi par la presse locale, des centaines de résidents du centre n'ont pas pris leurs repas de la journée de lundi à cause de l'épuisement du stock de produits alimentaires, ce qui a suscité leur mécontentement.
Sur le terrain, l'armée poursuit sa vaste opération de ratissage qui concerne, outre Tébessa, El Oued, Khenchela et Biskra (est du pays) après avoir localisé les endroits où se retrancheraient des groupes armés.
Une opération similaire de ratissage concerne également les montagnes Al Ossfour, dans la wilaya de Tlemcen (580 km à l'ouest de la capitale), l'armée soupçonne la présence de groupes armés dans cette région, souligne-t-on de même source. Les services de sécurité ont par ailleurs arrêté, lundi, à Tizi Ghenif dans la wilaya de Tizi Ouzou (100 km à l'est d'Alger), un élément appartenant à un groupe armé, qui sévit dans la région, indique la presse.
A Oran, (430 km à l'ouest de la capitale), une fausse alerte à la bombe a été signalée dans la nouvelle cité de la ville, semant une panique parmi les citoyens, rapporte la presse qui note que c'est la seconde fausse alerte à la bombe dans cette ville en 48 heures. Alertée, la police s'est déplacée sur les lieux en bouclant le secteur et ordonnant aux commerçants de fermer leurs magasins. Après une fouille minutieuse, il s'est avéré qu'il s'agit d'une fausse alerte, ajoute-t-on de même source.
La police a découvert, par ailleurs, un atelier de maintenance des armes à Aïn Beyad, dans la wilaya de Ourgla (800 km au sud de la capitale), indique Ech-chourouk El Yaoumi, qui précise que lors de cette opération, la police a également découvert 22 fusils et des explosifs appartenant à un individu qui a été arrêté.
A Skikda (510 km à l'est d'Alger), un groupe d'individus s'est emparé d'un dépôt de médicaments dans la municipalité Bni Zayed, rapporte le quotidien El Khabar, qui n'exclut pas que cet acte soit terroriste. Des groupes armés volent souvent des médicaments qui leur permettent de soigner les éléments armés blessés lors des accrochages avec l'armée algérienne.
La violence, qui ne connaît pas de répit en Algérie, a fait, depuis le début mai, au moins 20 personnes, dont 14 islamistes armés, selon des bilans établis sur la base d'informations rapportées par la presse locale.
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Protestations
Des centaines d'étudiants du centre universitaire d'El Oued (650 km au sud est d'Alger), observent depuis lundi, un sit-in devant l'entrée principale du siège de la wilaya pour protester contre les mauvaises conditions de vie que vivent les étudiants au niveau des trois résidences universitaires.Selon des étudiants, cités mercredi par la presse locale, des centaines de résidents du centre n'ont pas pris leurs repas de la journée de lundi à cause de l'épuisement du stock de produits alimentaires, ce qui a suscité leur mécontentement.
