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Dans nos colonnes du vendredi, nous avions annoncé que la convention pour l'octroi de la prise en charge des maladies cardiologiques allait être signée le lundi 15 janvier à 10h30 à Rabat.
Mais à la grande surprise de tous les cardiologues privés du Maroc, celle-ci a été signée finalement le jour même, soit le vendredi au soir par l'Agence nationale de l'assurance maladie (Anam), le Conseil national de l'ordre des médecins, l'Association nationale des cliniques privées et le syndicat national des médecins.
D'après le Dr. Chibani Mustapha, président de la Fédération nationale des cardiologues privés, l'Anam a préféré accélérer les choses pour éviter de donner plus de dimension à cette histoire.
«Nous avons dérangé et ils ont voulu battre le fer tant qu'il était chaud. En donnant notre accord de principe, l'Anam était effectivement en droit de faire signer la convention, mais pourquoi aussi vite? », dit-il.
En effet, le vendredi même, l'Anam a envoyé des courriers aux trois signataires, sans organiser de cérémonie. «C'était soi-disant pour éviter aux gens de se déplacer jusqu'à Rabat», poursuit-il.
La surprise est doublement grande, puisque l'Anam n'a signalé aux cardiologues privés que la convention n'entrerait en vigueur que le mercredi 17 janvier, alors que normalement une convention doit être appliquée le lendemain même de sa signature. «Nous ne comprenons pas pourquoi il faut autant de temps, alors que la convention générale de juillet a été appliquée dés le lendemain?», souligne-t-il.
Aujourd'hui, même si les cardiologues privés n'ont pas avalé la pilule, ils préfèrent laisser les choses avancer. Mais d'ici six mois, ils comptent bien revenir sur les points qui n'ont pas été résolus, à savoir : le coût de la pharmacie et de la biologie, l'intitulé relatif aux modalités des dilatations multiples des coronaires, le prix de l'électrocardiogramme interprété et le prix de la consultation. De toutes les façons, une commission de suivi composée de cardiologues privés sera constituée pour relever tous les problèmes.
Ce n'est donc que partie remise !
Mais à la grande surprise de tous les cardiologues privés du Maroc, celle-ci a été signée finalement le jour même, soit le vendredi au soir par l'Agence nationale de l'assurance maladie (Anam), le Conseil national de l'ordre des médecins, l'Association nationale des cliniques privées et le syndicat national des médecins.
D'après le Dr. Chibani Mustapha, président de la Fédération nationale des cardiologues privés, l'Anam a préféré accélérer les choses pour éviter de donner plus de dimension à cette histoire.
«Nous avons dérangé et ils ont voulu battre le fer tant qu'il était chaud. En donnant notre accord de principe, l'Anam était effectivement en droit de faire signer la convention, mais pourquoi aussi vite? », dit-il.
En effet, le vendredi même, l'Anam a envoyé des courriers aux trois signataires, sans organiser de cérémonie. «C'était soi-disant pour éviter aux gens de se déplacer jusqu'à Rabat», poursuit-il.
La surprise est doublement grande, puisque l'Anam n'a signalé aux cardiologues privés que la convention n'entrerait en vigueur que le mercredi 17 janvier, alors que normalement une convention doit être appliquée le lendemain même de sa signature. «Nous ne comprenons pas pourquoi il faut autant de temps, alors que la convention générale de juillet a été appliquée dés le lendemain?», souligne-t-il.
Aujourd'hui, même si les cardiologues privés n'ont pas avalé la pilule, ils préfèrent laisser les choses avancer. Mais d'ici six mois, ils comptent bien revenir sur les points qui n'ont pas été résolus, à savoir : le coût de la pharmacie et de la biologie, l'intitulé relatif aux modalités des dilatations multiples des coronaires, le prix de l'électrocardiogramme interprété et le prix de la consultation. De toutes les façons, une commission de suivi composée de cardiologues privés sera constituée pour relever tous les problèmes.
Ce n'est donc que partie remise !
