Connexion
Ayant un vaste palmarès artistique, Réal Lessard ne cesse d'exposer un peu partout dans les quatre coins de la planète.
Chose qui le motive à travailler tout le temps et à créer dans les différents styles où figuratif, expressionnisme et abstrait se mêlent pour attester de l'étendue de l'expérience de ce peintre de génie qui a marqué l'histoire contemporaine de la peinture à un niveau mondial. Ses peintures se trouvent parmi les chefs-d'oeuvre de plusieurs musées du monde et des collections particulières.
Au Maroc, il a fait le tour de toutes les galeries les plus prestigieuses avec son exceptionnel thème «Hommage au Maroc» avec une quarantaine de tableaux qui n'ont cessé de remporter un franc succès auprès des professionnels et d'un large public.
Son best-seller "L'Amour du faux", racontant son aventure avec Fernand Legros, a été traduit dans plusieurs langues, dont l'espagnol, le japonais, l'anglais, le chinois... Aujourd'hui, Réal Lessard a acheté tous ses droits et veut le traduire en arabe dans son titre original «27 ans de silence», en offrant les bénéfices des ventes à une association de démunis à Marrakech, ville où il réside depuis 15 ans.
Mais sa renommée ne s'arrête pas là. Elle est arrivée jusqu'au Japon, puisque le journaliste japonais Nanao Kazuaki, s'est déplacé spécialement, en juillet 2005 à Bruxelles, dans le but de réaliser une interview avec Réal Lessard pour la revue «Gundaye»,
Donc, après cette rencontre bien spéciale et la sortie de l'entretien au Japon, l'artiste-peintre fut sollicité par un homme d'affaires japonais, Naoko Kaoike, qui souhaitait le rencontrer. «En effet, dès la sortie de l'entretien, Naoko Koike a tenu à me voir à Bruxelles et à Marrakech dans le but de créer un musée portant mon nom et contenant la majorité de mes œuvres. Son intérêt a été motivé suite à la lecture de mon livre traduit en japonais depuis 1995 et lancé par l'Institut japonais de Tokyo», nous confie l'artiste.
Le 7 janvier 2007, le journaliste contacte Réal Lessard pour lui annoncer son arrivée à Bruxelles en compagnie de Naoko Koike. «Cette rencontre s'est très bien déroulée. Nous avons passé trois jours à Bruxelles et trois autres à Marrakech, où M.Koike a pu visiter mes deux ateliers et vu tous mes travaux.
Le séjour a été conclu par la réalisation du projet du musée au Japon avec 70 tableaux à moi, dont une vingtaine furent choisis par l'homme d'affaires dans mes ateliers de Bruxelles et de Marrakech et les 50 autres sont une commande que je dois réaliser sur deux ans, date prévue pour l'inauguration du musée», précise l'artiste, qui a saisi cette opportunité pour mettre sur pied un système d'échange entre le Maroc et le Japon en réservant, au sein du « Musée Réal Lessard », une salle d'exposition pour les artistes marocains primés par l'Ecole de Marrakech.
Ainsi, un échange dans le domaine des arts plastiques s'établira entre les peintres de l'Ecole de Marrakech (qui sera créée très prochainement par Réal Lessard) et les peintres japonais. Une initiative que Naoko Kaoike a accueilli à bras ouverts pour renforcer davantage les relations culturelles entre le Maroc et le Japon.
-----------------------------------------------------------
En effet, ses œuvres reflètent bien cet amour qu'il voue pour le Maroc qu'il peint avec ferveur et enthousiasme.
Très ambitieux aussi, Réal Lessard a depuis longtemps projeté de créer une Ecole de Marrakech, dans l'objectif d'encourager les jeunes talents dans la peinture et leur donner la possibilité d'exposer au Maroc et ailleurs.
Cette "Ecole de Marrakech" constituera un mouvement artistique ayant pour but de déceler ces peintres, en les aidant à émerger et s'épanouir dans l'univers des arts plastiques. "C'est un projet que j'avais en tête depuis plusieurs années et que je tiens absolument réaliser prochainement. Trois Prix seront ainsi octroyés chaque année pour motiver la créativité picturale", précise Réal Lessard.
Ce projet constitue pour Réal une manière de rendre hommage au Maroc qui reste pour lui "l'un des pays les plus merveilleux au monde".
REPÈRES
Quelques expositions
> 1986 : Musée Olavaria, Argentine
> 1988 : Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris
> 1989 : Galerie présence internationale, Bruxelles
> 1990 : Galerie Byblos, Saint-Tropez
> 1990 : Centre culturel de Rio de Janeiro
> 1991 : Foire internationale de Liège
> 1993 : Maison de l'Amérique latine de Monaco, Monte Carlo
> 1993 : Galerie Bab Rouah «Hommage au Maroc»
> 1994 : Venise-Cadre, Maroc
> 2000 : Galerie Van Waning, Rotterdam
> 2004 : Salon d'honneur de la Mamounia.
Chose qui le motive à travailler tout le temps et à créer dans les différents styles où figuratif, expressionnisme et abstrait se mêlent pour attester de l'étendue de l'expérience de ce peintre de génie qui a marqué l'histoire contemporaine de la peinture à un niveau mondial. Ses peintures se trouvent parmi les chefs-d'oeuvre de plusieurs musées du monde et des collections particulières.
Au Maroc, il a fait le tour de toutes les galeries les plus prestigieuses avec son exceptionnel thème «Hommage au Maroc» avec une quarantaine de tableaux qui n'ont cessé de remporter un franc succès auprès des professionnels et d'un large public.
Son best-seller "L'Amour du faux", racontant son aventure avec Fernand Legros, a été traduit dans plusieurs langues, dont l'espagnol, le japonais, l'anglais, le chinois... Aujourd'hui, Réal Lessard a acheté tous ses droits et veut le traduire en arabe dans son titre original «27 ans de silence», en offrant les bénéfices des ventes à une association de démunis à Marrakech, ville où il réside depuis 15 ans.
Mais sa renommée ne s'arrête pas là. Elle est arrivée jusqu'au Japon, puisque le journaliste japonais Nanao Kazuaki, s'est déplacé spécialement, en juillet 2005 à Bruxelles, dans le but de réaliser une interview avec Réal Lessard pour la revue «Gundaye»,
Donc, après cette rencontre bien spéciale et la sortie de l'entretien au Japon, l'artiste-peintre fut sollicité par un homme d'affaires japonais, Naoko Kaoike, qui souhaitait le rencontrer. «En effet, dès la sortie de l'entretien, Naoko Koike a tenu à me voir à Bruxelles et à Marrakech dans le but de créer un musée portant mon nom et contenant la majorité de mes œuvres. Son intérêt a été motivé suite à la lecture de mon livre traduit en japonais depuis 1995 et lancé par l'Institut japonais de Tokyo», nous confie l'artiste.
Le 7 janvier 2007, le journaliste contacte Réal Lessard pour lui annoncer son arrivée à Bruxelles en compagnie de Naoko Koike. «Cette rencontre s'est très bien déroulée. Nous avons passé trois jours à Bruxelles et trois autres à Marrakech, où M.Koike a pu visiter mes deux ateliers et vu tous mes travaux.
Le séjour a été conclu par la réalisation du projet du musée au Japon avec 70 tableaux à moi, dont une vingtaine furent choisis par l'homme d'affaires dans mes ateliers de Bruxelles et de Marrakech et les 50 autres sont une commande que je dois réaliser sur deux ans, date prévue pour l'inauguration du musée», précise l'artiste, qui a saisi cette opportunité pour mettre sur pied un système d'échange entre le Maroc et le Japon en réservant, au sein du « Musée Réal Lessard », une salle d'exposition pour les artistes marocains primés par l'Ecole de Marrakech.
Ainsi, un échange dans le domaine des arts plastiques s'établira entre les peintres de l'Ecole de Marrakech (qui sera créée très prochainement par Réal Lessard) et les peintres japonais. Une initiative que Naoko Kaoike a accueilli à bras ouverts pour renforcer davantage les relations culturelles entre le Maroc et le Japon.
-----------------------------------------------------------
«L'école de Marrakech» de peinture
Depuis qu'il a découvert le Maroc, il y a 15 ans, Réal Lessard n'a cessé d'être subjugué par sa luminosité, ses couleurs chatoyantes et ses thèmes qui constituent pour lui une véritable richesse picturale, aux ressources intarissables.En effet, ses œuvres reflètent bien cet amour qu'il voue pour le Maroc qu'il peint avec ferveur et enthousiasme.
Très ambitieux aussi, Réal Lessard a depuis longtemps projeté de créer une Ecole de Marrakech, dans l'objectif d'encourager les jeunes talents dans la peinture et leur donner la possibilité d'exposer au Maroc et ailleurs.
Cette "Ecole de Marrakech" constituera un mouvement artistique ayant pour but de déceler ces peintres, en les aidant à émerger et s'épanouir dans l'univers des arts plastiques. "C'est un projet que j'avais en tête depuis plusieurs années et que je tiens absolument réaliser prochainement. Trois Prix seront ainsi octroyés chaque année pour motiver la créativité picturale", précise Réal Lessard.
Ce projet constitue pour Réal une manière de rendre hommage au Maroc qui reste pour lui "l'un des pays les plus merveilleux au monde".
REPÈRES
Quelques expositions
> 1986 : Musée Olavaria, Argentine
> 1988 : Fondation Cartier pour l'art contemporain, Paris
> 1989 : Galerie présence internationale, Bruxelles
> 1990 : Galerie Byblos, Saint-Tropez
> 1990 : Centre culturel de Rio de Janeiro
> 1991 : Foire internationale de Liège
> 1993 : Maison de l'Amérique latine de Monaco, Monte Carlo
> 1993 : Galerie Bab Rouah «Hommage au Maroc»
> 1994 : Venise-Cadre, Maroc
> 2000 : Galerie Van Waning, Rotterdam
> 2004 : Salon d'honneur de la Mamounia.
