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L'imagerie par résonance magnétique, communément appelée IRM dans le jargon médical, étudie avec une grande précision les lésions les plus petites au niveau du cerveau, de la colonne vertébrale, des articulations et des tissus mous, grâce à une vue en 2D ou en 3D. Les praticiens y recourent quand certaines pathologies échappent au contrôle des examens radiographiques standard, des scanners et de l'échographie.
Cette technique de pointe, qui épargne au patient l'exposition aux rayons X irradiants, utilise un champ électromagnétique et des ondes radio.
Tout ceci est bien beau, mais quand certaines âmes sensibles voient le tunnel dans lequel elles doivent être introduites pour rentrer dans la grosse machine, elles sont prises de panique, d'autant plus que l'examen dure entre 20 min et 1 heure. Pour les claustrophobes et les tout petits, c'est un mauvais quart d'heure à passer : psychose.
Devant ce genre de cas, les spécialistes n'ont d'autre choix que de les anesthésier pour qu'ils puissent se tenir tranquilles jusqu'à la fin de «l'épreuve». «Les claustrophobes (une personne sur 100), supportent mal les examens «corps entier».
De même, avec les IRM classiques, les malades développent une sorte d'appréhension à subir un deuxième examen, problème qui ne se pose plus avec l'IRM ouvert», signale le Dr Hassan Derkaoui, radiologue à Rabat.
IRM ouvert ? Et oui. Aujourd'hui, une nouvelle génération permet aux malades de subir cet examen sans avoir à endurer l'épreuve de l'enfermement et la sensation d'oppression. Il est utilisé depuis 6 mois au centre de radiologie de Rabat est facturé au même prix que celui classique. « L'avènement de l'IRM ouvert est une véritable avancée technologique qui permet de faire bénéficier certains profils de malades, aux enfants, aux claustrophobes, aux malades agités ou affaiblis, de ces examens très performants», précise le spécialiste.
La nouvelle machine se présente sous forme d'un « U ».
Elle permet au patient d'avoir une vision de son environnement du moment qu'il n' y a qu'une partie du corps qui y est introduite. Celle-là même qui se trouve dans le champ magnétique.
A voir ce que cette technique peut apporter aux malades « vulnérables», on se rend compte de la chance qu'ils ont à pouvoir en profiter. « L'IRM ouvert a ses indications en pathologie tumorale et vasculaire du cerveau, ainsi que lors des accidents vasculaires cérébraux ou la pratique d'un examen d'exploration en urgence, dans les 6 heures qui suivent.
Il permet d'assurer une prise en charge adéquate, évitant les séquelles qui hypothèquent le devenir fonctionnel d'une main, d'un bras ou d'une jambe », ajoute le Dr Derkaoui. Pour toutes ces raisons et en vue d'optimiser son action, ce spécialiste, au nom de l'Association des radiologues privés de Rabat, lance un appel aux organismes gestionnaires de l'AMO, que sont la CNOPS et la CNSS, pour la signature d'une convention, afin que les malades marocains, puissent bénéficier d'examens radiologiques performants dans les meilleurs délais.
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Il est indispensable de déposer tous les objets métalliques (bijoux, lunettes, prothèses, percings,… avant d'entrer dans la salle d'examen à cause de la présence du champ magnétique.
Les personnes qui ont fait de la soudure, même une seule fois dans leur vie, doivent passer une radiographie des orbites à la recherche de corps étrangers métalliques dans les yeux.
S'il en existe, l'IRM sera contre-indiquée tant que le corps étranger sera présent. Les personnes porteuses de stimulateur cardiaque, de pompe,… doivent le signaler.
Cette technique de pointe, qui épargne au patient l'exposition aux rayons X irradiants, utilise un champ électromagnétique et des ondes radio.
Tout ceci est bien beau, mais quand certaines âmes sensibles voient le tunnel dans lequel elles doivent être introduites pour rentrer dans la grosse machine, elles sont prises de panique, d'autant plus que l'examen dure entre 20 min et 1 heure. Pour les claustrophobes et les tout petits, c'est un mauvais quart d'heure à passer : psychose.
Devant ce genre de cas, les spécialistes n'ont d'autre choix que de les anesthésier pour qu'ils puissent se tenir tranquilles jusqu'à la fin de «l'épreuve». «Les claustrophobes (une personne sur 100), supportent mal les examens «corps entier».
De même, avec les IRM classiques, les malades développent une sorte d'appréhension à subir un deuxième examen, problème qui ne se pose plus avec l'IRM ouvert», signale le Dr Hassan Derkaoui, radiologue à Rabat.
IRM ouvert ? Et oui. Aujourd'hui, une nouvelle génération permet aux malades de subir cet examen sans avoir à endurer l'épreuve de l'enfermement et la sensation d'oppression. Il est utilisé depuis 6 mois au centre de radiologie de Rabat est facturé au même prix que celui classique. « L'avènement de l'IRM ouvert est une véritable avancée technologique qui permet de faire bénéficier certains profils de malades, aux enfants, aux claustrophobes, aux malades agités ou affaiblis, de ces examens très performants», précise le spécialiste.
La nouvelle machine se présente sous forme d'un « U ».
Elle permet au patient d'avoir une vision de son environnement du moment qu'il n' y a qu'une partie du corps qui y est introduite. Celle-là même qui se trouve dans le champ magnétique.
A voir ce que cette technique peut apporter aux malades « vulnérables», on se rend compte de la chance qu'ils ont à pouvoir en profiter. « L'IRM ouvert a ses indications en pathologie tumorale et vasculaire du cerveau, ainsi que lors des accidents vasculaires cérébraux ou la pratique d'un examen d'exploration en urgence, dans les 6 heures qui suivent.
Il permet d'assurer une prise en charge adéquate, évitant les séquelles qui hypothèquent le devenir fonctionnel d'une main, d'un bras ou d'une jambe », ajoute le Dr Derkaoui. Pour toutes ces raisons et en vue d'optimiser son action, ce spécialiste, au nom de l'Association des radiologues privés de Rabat, lance un appel aux organismes gestionnaires de l'AMO, que sont la CNOPS et la CNSS, pour la signature d'une convention, afin que les malades marocains, puissent bénéficier d'examens radiologiques performants dans les meilleurs délais.
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Consignes à observer
Les femmes enceintes doivent signaler leur état même si la grossesse n'est pas une contre-indication.Il est indispensable de déposer tous les objets métalliques (bijoux, lunettes, prothèses, percings,… avant d'entrer dans la salle d'examen à cause de la présence du champ magnétique.
Les personnes qui ont fait de la soudure, même une seule fois dans leur vie, doivent passer une radiographie des orbites à la recherche de corps étrangers métalliques dans les yeux.
S'il en existe, l'IRM sera contre-indiquée tant que le corps étranger sera présent. Les personnes porteuses de stimulateur cardiaque, de pompe,… doivent le signaler.
