Quant au Madex, après un plus bas de 8.422,27 points, il s'est ressaisi en grimpant de 1,32 % à 8.480,15 points. Pour cet indice des valeurs les plus liquides, les gains annuels avoisinaient le cap des 9,51 %. A la clôture, la capitalisation qui s'est bonifiée, ressortait à plus de 454,35 MMDH.
L'ensemble des opérations effectuées sur le compartiment central, le gré à gré ne faisant toujours pas l'objet de transactions, engrangeait près de 375 MDH. Il faut dire que les volumes traités sont restés assez insignifiants, avec des ramassages, à la mi-séance, variant entre les 3.882 titres Addoha échangées à des cours unitaires se situant entre 2.760 et 2.789 DH, les 156.441 actions Maroc Telecom négociées entre 133,50 et 134 DH. Le négoce effectué sur les bancaires rapportait plus de 60,68 MDH et celui opéré sur le CIH se chiffrait à plus de 15,61 MDH, avec un échange de 12.994 actions traitées à des prix variant entre 600 et 605 DH.
Sur le front des plus fortes hausses de la mi-séance, c'est le constructeur de câbles Nexans qui caracolait en tête, l'action prenant 5,99 % à 313,40 DH. Viennent ensuite le sidérurgistre Sonansid qui grimpait de 5,97 % à 2.875 DH et Afriquia Gaz qui enregistrait la même variation à 1.065 DH.
Ciments du Maroc prenait 5,07 % à 2.570 DH et la minière d'Imitter gagnait 4,05 % à 770 DH. Concernant les pertes de vitesse, Fenie Brossette tombait de 3,97 % à 299 DH et Cosumar rechutait de 2,70 % à 180 DH. Alors que Risma abandonnait 1,65 % à 417 DH, la SCE (Société chérifienne des engrais) dégringolait de 1,60 % à 370 DH. Pour sa part, le titre de BMCE Bank s'effritait de 1,37 % à 1.370 DH.
Cela étant et passant au crible les grands axes de la loi de Finances 2007, les analystes de Med Capital Communication de BMCE Capital indiquent que cette loi présente certaines faiblesses. Pour eux, il s'agit principalement de l'insuffisance du taux de croissance du PIB prévu de 3,4%, pour promouvoir le développement économique et social du pays. Et d'expliquer qu'une étude réalisée par la Banque mondiale a montré que le Maroc doit disposer d'un taux de croissance durable de 6 à 7% pour pouvoir assurer son développement.
A cet égard, fait-on valoir, «le Maroc doit moderniser son agriculture pour la rendre moins dépendante des aléas climatiques, et développer de nouveaux secteurs d'activité, tels que l'offshoring, l'électronique, l'automobile et l'aéronautique».
L'ensemble des opérations effectuées sur le compartiment central, le gré à gré ne faisant toujours pas l'objet de transactions, engrangeait près de 375 MDH. Il faut dire que les volumes traités sont restés assez insignifiants, avec des ramassages, à la mi-séance, variant entre les 3.882 titres Addoha échangées à des cours unitaires se situant entre 2.760 et 2.789 DH, les 156.441 actions Maroc Telecom négociées entre 133,50 et 134 DH. Le négoce effectué sur les bancaires rapportait plus de 60,68 MDH et celui opéré sur le CIH se chiffrait à plus de 15,61 MDH, avec un échange de 12.994 actions traitées à des prix variant entre 600 et 605 DH.
Sur le front des plus fortes hausses de la mi-séance, c'est le constructeur de câbles Nexans qui caracolait en tête, l'action prenant 5,99 % à 313,40 DH. Viennent ensuite le sidérurgistre Sonansid qui grimpait de 5,97 % à 2.875 DH et Afriquia Gaz qui enregistrait la même variation à 1.065 DH.
Ciments du Maroc prenait 5,07 % à 2.570 DH et la minière d'Imitter gagnait 4,05 % à 770 DH. Concernant les pertes de vitesse, Fenie Brossette tombait de 3,97 % à 299 DH et Cosumar rechutait de 2,70 % à 180 DH. Alors que Risma abandonnait 1,65 % à 417 DH, la SCE (Société chérifienne des engrais) dégringolait de 1,60 % à 370 DH. Pour sa part, le titre de BMCE Bank s'effritait de 1,37 % à 1.370 DH.
Cela étant et passant au crible les grands axes de la loi de Finances 2007, les analystes de Med Capital Communication de BMCE Capital indiquent que cette loi présente certaines faiblesses. Pour eux, il s'agit principalement de l'insuffisance du taux de croissance du PIB prévu de 3,4%, pour promouvoir le développement économique et social du pays. Et d'expliquer qu'une étude réalisée par la Banque mondiale a montré que le Maroc doit disposer d'un taux de croissance durable de 6 à 7% pour pouvoir assurer son développement.
A cet égard, fait-on valoir, «le Maroc doit moderniser son agriculture pour la rendre moins dépendante des aléas climatiques, et développer de nouveaux secteurs d'activité, tels que l'offshoring, l'électronique, l'automobile et l'aéronautique».
