Et de deux pour la première compagnie marocaine de danse hip hop «Salama» ! Après «Aladin à Casa», elle récidive cette fois-ci avec sa nouvelle création «Entre racines et ailes… corps et âmes», toujours sous la direction artistique de la chorégraphe Latifa Hajjaj. Ceci le vendredi 16 mars au Complexe culturel Touria Sekkat à partir de 21h00 et le samedi 17 mars au même lieu et à la même heure au profit des jeunes des associations l'Heure joyeuse et SOS Villages.
Forte de sa première expérience qui lui a valu un grand succès national et international, la jeune compagnie revient à Casablanca avec une grande confiance.
Cette nouvelle création au titre évocateur signée par le chorégraphe et danseur hip hop Rédouane Jamai, promet bien des surprises. Au-delà de la portée artistique de cette nouvelle chorégraphie, il y a la réflexion sur la condition de la jeunesse marocaine, sur ses aspirations, ses doutes et ses visions.
Un fondement que la directrice artistique et présidente de l'association «La contemporaine de danse», Latifa Hajjaj, explique si bien «J'ai voulu à travers cette réflexion hurler nos doutes et nos espoirs sans renier notre culture et brandir les poings à l'encontre de ceux qui baissent les bras. Je crois plus que jamais en notre jeunesse marocaine pour faire grandir notre beau pays, mais pour cela, il faut lui donner une voix, une voie et un espace pour s'exprimer».
Une idée résumée dans un titre à forte connotation.
Entre les racines qui constituent ce cordon ombilical entre l'être et sa terre natale et les ailes qui vont lui permettre de s'envoler en liberté vers d'autres cieux plus cléments, l'âme et le corps seront tatoués à jamais… l'identité, cette notion aussi profonde que l'amour de la patrie sera toujours présente malgré les distances.
A travers la poésie de la danse contemporaine et la fougue ardente du hip-hop, danseurs et chorégraphe de Salama vont raconter un pays, une émotion, une appartenance à l'épreuve du temps et de l'espace. Leurs mouvements et leurs envolées gestuelles sont l'expression d'un attachement viscéral à la terre nourricière. Comme ils le réclament, la réalité sociale du pays va être mise en mouvement pour le plaisir du public.
Pour la petite histoire, la compagnie Salama est la première compagnie professionnelle de danse hip hop au Maroc. Tout a commencé lors d'un stage chorégraphique organisé par l'Institut français de Casablanca. «Boogie Sensation» et «Ain Sbâa Connection», deux formations issues de quartiers populaires, trouvent un terrain d'entente et se trouvent mutuellement des points communs, le résultat ne sera autre que la nouvelle compagnie «Salama» née en 2002 de la fusion des deux groupes.
Jeunes, fougueux et des idées plein la tête, les danseurs de Salama vont désormais cristalliser l'échange et la mixité. Leur ouverture est un moyen d'affronter le cloisonnement, la peur de l'autre et l'enfermement identitaire.
Dirigés par la chorégraphe Latifa Hajjaj, les membres de Salama se confirment jour après jour sur la scène nationale et internationale. Entre une tournée à l'étranger et une répétition pour un festival, les jeunes danseurs trouvent le temps d'épanouir leur énergie et leur talent dans la préparation d'un nouveau spectacle.
La compagnie qui vient de faire ses premiers pas a déjà sur son palmarès plusieurs prix remportés au Maroc et ailleurs (Pays-Bas, Espagne (Festival international de théâtre et des arts scéniques de Séville, Mira al Sur). Le succès est au rendez-vous à chaque fois, espérons que ça sera le cas pour la nouvelle création «Entre racines et ailes… corps et âmes». Il est à noter que la compagnie Salama est encadrée par l'association «La Contemporaine des Arts» qui prépare actuellement une tournée à travers le Royaume, une façon de se rapprocher et d'enrôler un public peu habitué au genre.
Forte de sa première expérience qui lui a valu un grand succès national et international, la jeune compagnie revient à Casablanca avec une grande confiance.
Cette nouvelle création au titre évocateur signée par le chorégraphe et danseur hip hop Rédouane Jamai, promet bien des surprises. Au-delà de la portée artistique de cette nouvelle chorégraphie, il y a la réflexion sur la condition de la jeunesse marocaine, sur ses aspirations, ses doutes et ses visions.
Un fondement que la directrice artistique et présidente de l'association «La contemporaine de danse», Latifa Hajjaj, explique si bien «J'ai voulu à travers cette réflexion hurler nos doutes et nos espoirs sans renier notre culture et brandir les poings à l'encontre de ceux qui baissent les bras. Je crois plus que jamais en notre jeunesse marocaine pour faire grandir notre beau pays, mais pour cela, il faut lui donner une voix, une voie et un espace pour s'exprimer».
Une idée résumée dans un titre à forte connotation.
Entre les racines qui constituent ce cordon ombilical entre l'être et sa terre natale et les ailes qui vont lui permettre de s'envoler en liberté vers d'autres cieux plus cléments, l'âme et le corps seront tatoués à jamais… l'identité, cette notion aussi profonde que l'amour de la patrie sera toujours présente malgré les distances.
A travers la poésie de la danse contemporaine et la fougue ardente du hip-hop, danseurs et chorégraphe de Salama vont raconter un pays, une émotion, une appartenance à l'épreuve du temps et de l'espace. Leurs mouvements et leurs envolées gestuelles sont l'expression d'un attachement viscéral à la terre nourricière. Comme ils le réclament, la réalité sociale du pays va être mise en mouvement pour le plaisir du public.
Pour la petite histoire, la compagnie Salama est la première compagnie professionnelle de danse hip hop au Maroc. Tout a commencé lors d'un stage chorégraphique organisé par l'Institut français de Casablanca. «Boogie Sensation» et «Ain Sbâa Connection», deux formations issues de quartiers populaires, trouvent un terrain d'entente et se trouvent mutuellement des points communs, le résultat ne sera autre que la nouvelle compagnie «Salama» née en 2002 de la fusion des deux groupes.
Jeunes, fougueux et des idées plein la tête, les danseurs de Salama vont désormais cristalliser l'échange et la mixité. Leur ouverture est un moyen d'affronter le cloisonnement, la peur de l'autre et l'enfermement identitaire.
Dirigés par la chorégraphe Latifa Hajjaj, les membres de Salama se confirment jour après jour sur la scène nationale et internationale. Entre une tournée à l'étranger et une répétition pour un festival, les jeunes danseurs trouvent le temps d'épanouir leur énergie et leur talent dans la préparation d'un nouveau spectacle.
La compagnie qui vient de faire ses premiers pas a déjà sur son palmarès plusieurs prix remportés au Maroc et ailleurs (Pays-Bas, Espagne (Festival international de théâtre et des arts scéniques de Séville, Mira al Sur). Le succès est au rendez-vous à chaque fois, espérons que ça sera le cas pour la nouvelle création «Entre racines et ailes… corps et âmes». Il est à noter que la compagnie Salama est encadrée par l'association «La Contemporaine des Arts» qui prépare actuellement une tournée à travers le Royaume, une façon de se rapprocher et d'enrôler un public peu habitué au genre.
