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Le gouvernement qui sera annoncé en principe cette semaine aura pour tâche essentielle de s'inscrire dans la continuité des grandes œuvres et des chantiers lancés depuis quelque 8 ans maintenant par S.M. le Roi Mohammed VI. Pour ce faire, il devra aussi consolider sa cohésion et unir ses forces pour parler d'une même voix, agir et travailler pour la mise en œuvre du projet de 116iété que le Souverain a lancé pour le Maroc.
Le nouveau gouvernement, dans sa déclaration gouvernementale devant le Parlement, devra donc exprimer sa franche et forte adhésion à ce projet royal de développement 110nal , caractérisé par les chantiers du siècle. La victoire de la démocratie le 7 septembre dernier n'est pas une victoire par défaut. Mais une victoire qui impose des devoirs et des engagements.
Si, en effet, elle implique une « rupture » - parce qu'elle déplace quelque peu l'ordre des formations politiques sur l'échiquier-, elle s'inscrit en revanche obligeamment dans la continuité institutionnelle, politique et économique du Maroc. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a tracé les contours du modèle d'anticipation et de modernisation depuis huit ans. Il s'est donné la volonté, la force , les moyens et l'audace surtout pour mener à bien une telle entreprise. Le Souverain a refondé la politique parce que celle-ci se met désormais au service de l'opinion et du peuple et ne sert pas de marchepied ou de paravent à des intérêts particuliers.
Comme jamais aucun autre ne l'a fait, il a bousculé également dans le même mouvement de reconstruction et de réconciliation les tabous et les résistances qui figeaient la 116iété marocaine. Le nouveau gouvernement, nous le souhaitons à vrai dire resserré et cohérent, un gouvernement de mission parce que le pays est confronté, en effet, à des défis majeurs et qui exigent cohésion et efficacité.
L'emploi, le développement durable, l'environnement, l'aménagement, la santé, la justice , enfin tous sujets qui évoluent avec l'époque. Ils doivent quitter la sphère de la spéculation et des projets intellectuels pour embrasser le champ de la réalité quotidienne des citoyens. Nous disons que Sa Majesté le Roi a tracé les lignes et même fixé les paramètres détaillés de l'œuvre de la modernisation.
Au gouvernement de se montrer à la hauteur de ce défi, d'être également à l'écoute attentive des citoyens et de mettre une sourdine aux clivages mortifères. Un gouvernement de sensibilités différentes n'est-ce pas l'exemple de la démocratie pluraliste, n'est-ce pas justement la convergence sur un projet rassembleur, celui de la modernisation du Maroc?
Le nouveau gouvernement, dans sa déclaration gouvernementale devant le Parlement, devra donc exprimer sa franche et forte adhésion à ce projet royal de développement 110nal , caractérisé par les chantiers du siècle. La victoire de la démocratie le 7 septembre dernier n'est pas une victoire par défaut. Mais une victoire qui impose des devoirs et des engagements.
Si, en effet, elle implique une « rupture » - parce qu'elle déplace quelque peu l'ordre des formations politiques sur l'échiquier-, elle s'inscrit en revanche obligeamment dans la continuité institutionnelle, politique et économique du Maroc. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a tracé les contours du modèle d'anticipation et de modernisation depuis huit ans. Il s'est donné la volonté, la force , les moyens et l'audace surtout pour mener à bien une telle entreprise. Le Souverain a refondé la politique parce que celle-ci se met désormais au service de l'opinion et du peuple et ne sert pas de marchepied ou de paravent à des intérêts particuliers.
Comme jamais aucun autre ne l'a fait, il a bousculé également dans le même mouvement de reconstruction et de réconciliation les tabous et les résistances qui figeaient la 116iété marocaine. Le nouveau gouvernement, nous le souhaitons à vrai dire resserré et cohérent, un gouvernement de mission parce que le pays est confronté, en effet, à des défis majeurs et qui exigent cohésion et efficacité.
L'emploi, le développement durable, l'environnement, l'aménagement, la santé, la justice , enfin tous sujets qui évoluent avec l'époque. Ils doivent quitter la sphère de la spéculation et des projets intellectuels pour embrasser le champ de la réalité quotidienne des citoyens. Nous disons que Sa Majesté le Roi a tracé les lignes et même fixé les paramètres détaillés de l'œuvre de la modernisation.
Au gouvernement de se montrer à la hauteur de ce défi, d'être également à l'écoute attentive des citoyens et de mettre une sourdine aux clivages mortifères. Un gouvernement de sensibilités différentes n'est-ce pas l'exemple de la démocratie pluraliste, n'est-ce pas justement la convergence sur un projet rassembleur, celui de la modernisation du Maroc?
