Le cinéma marocain sera à l'honneur à Marseille du 22 novembre au 2 décembre. Organisé par l'association française Aflam, l'événement «Cinéma(s) du Maroc» propose à son public 24 films marocains produits entre 1970 et 2007.
Un panorama qui retrace l'évolution d'un jeune cinéma ambitieux en quête d'une identité et d'un essor autre. Troisième de son genre, ce nouveau cycle vise à rapprocher le public des cinémas issus des pays arabes. Après la Tunisie en 2005 et la Syrie en 2006, c'est au tour du cinéma national d'être diffusé outre mer avec à l'appui des débats et des concerts rendant hommage à la créativité marocaine.
Durant douze jours, le cinéma marocain sera présenté dans tous ses états. Projections de longs et de courts métrages, documentaires, débats et rencontres avec les réalisateurs, concerts… l'heure est à l'échange et la découverte comme le réclament les organisateurs.
Jeune association, Aflam, initiatrice de l'événement, est née de cette envie de rencontre avec les cultures arabes. Le cinéma étant le miroir des sociétés, cette association offre un espace de découverte de tout un patrimoine culturel et artistique via ses cycles annuels. Pour cette année, les cinéphiles de Marseille, la cosmopolite, pourront voir une palette bien variée de films marocains. Du film d'auteur au drame social en passant par la comédie ou autre film historique, les 24 productions programmées essayeront de représenter un cinéma pluriel.
Jeunes réalisateurs ou doyens, le programme essaie de satisfaire les différents goûts. Ainsi Faouzi Bensaïdi avec ses «Mille mois», Nabil Ayouch avec son «Ali Zaoua» et Daoud Oulad Sayed avec son «Cheval du vent» et Kamal Kamal avec sa «symphonie marocaine» témoigneront de la fougue de la nouvelle vague du 7e art marocain.
Les doyens tels Ahmed Maânouni, Jilali Farhati, Moumen Smihi et autre Farida Belyazid rappelleront les premières expériences à travers une rétrospective anthologique regroupant des films cultes.
Les débuts prometteurs des jeunes talents seront de la partie avec une sélection de courts métrages. «Balco atlantico», «La mouche et moi», «Salam», «Quand les hommes pleurent», «Le café des pêcheurs» et bien d'autres titres sont au programme pour le plaisir du public.
Véritable pépinière des cinéastes de demain, cette section révélera les nouvelles tendances d'un cinéma en plein essor. En marge des projections, des débats et rencontres avec des réalisateurs et critiques du cinéma venant du Maroc et de France.
Des espaces de discussion sur les thèmes, les préoccupations et les aspirations du cinéma national. Des moments de partage entre réalisateurs invités et cinéphiles. Les organisateurs n'oublient pas la touche festive en programmant deux concerts musicaux avec Electro Dunes et Safi Band.
«Cinéma (s) du Maroc» promet des moments de plaisir et de découverte aux cinéphiles de Marseille.
Une occasion également au cinéma national de s'ouvrir à d'autres perspectives sous les cieux de l'Hexagone. Un marché potentiel qui ne demande qu'à être exploré.
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Riches d'un patrimoine cinématographique qui témoigne de leur histoire, les pays arabes ont développé une production cinématographique bien spécifique. L'association Aflam aspire à donner une visibilité à ces cinémas peu connus en France tout en leur offrant un espace de diffusion.
Ceci avec la volonté de favoriser une meilleure connaissance des cultures arabes en encourageant les échanges autour des films réalisés au Maghreb, au Proche-Orient et au sein des diasporas arabes.
Un panorama qui retrace l'évolution d'un jeune cinéma ambitieux en quête d'une identité et d'un essor autre. Troisième de son genre, ce nouveau cycle vise à rapprocher le public des cinémas issus des pays arabes. Après la Tunisie en 2005 et la Syrie en 2006, c'est au tour du cinéma national d'être diffusé outre mer avec à l'appui des débats et des concerts rendant hommage à la créativité marocaine.
Durant douze jours, le cinéma marocain sera présenté dans tous ses états. Projections de longs et de courts métrages, documentaires, débats et rencontres avec les réalisateurs, concerts… l'heure est à l'échange et la découverte comme le réclament les organisateurs.
Jeune association, Aflam, initiatrice de l'événement, est née de cette envie de rencontre avec les cultures arabes. Le cinéma étant le miroir des sociétés, cette association offre un espace de découverte de tout un patrimoine culturel et artistique via ses cycles annuels. Pour cette année, les cinéphiles de Marseille, la cosmopolite, pourront voir une palette bien variée de films marocains. Du film d'auteur au drame social en passant par la comédie ou autre film historique, les 24 productions programmées essayeront de représenter un cinéma pluriel.
Jeunes réalisateurs ou doyens, le programme essaie de satisfaire les différents goûts. Ainsi Faouzi Bensaïdi avec ses «Mille mois», Nabil Ayouch avec son «Ali Zaoua» et Daoud Oulad Sayed avec son «Cheval du vent» et Kamal Kamal avec sa «symphonie marocaine» témoigneront de la fougue de la nouvelle vague du 7e art marocain.
Les doyens tels Ahmed Maânouni, Jilali Farhati, Moumen Smihi et autre Farida Belyazid rappelleront les premières expériences à travers une rétrospective anthologique regroupant des films cultes.
Les débuts prometteurs des jeunes talents seront de la partie avec une sélection de courts métrages. «Balco atlantico», «La mouche et moi», «Salam», «Quand les hommes pleurent», «Le café des pêcheurs» et bien d'autres titres sont au programme pour le plaisir du public.
Véritable pépinière des cinéastes de demain, cette section révélera les nouvelles tendances d'un cinéma en plein essor. En marge des projections, des débats et rencontres avec des réalisateurs et critiques du cinéma venant du Maroc et de France.
Des espaces de discussion sur les thèmes, les préoccupations et les aspirations du cinéma national. Des moments de partage entre réalisateurs invités et cinéphiles. Les organisateurs n'oublient pas la touche festive en programmant deux concerts musicaux avec Electro Dunes et Safi Band.
«Cinéma (s) du Maroc» promet des moments de plaisir et de découverte aux cinéphiles de Marseille.
Une occasion également au cinéma national de s'ouvrir à d'autres perspectives sous les cieux de l'Hexagone. Un marché potentiel qui ne demande qu'à être exploré.
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Pour l'amour du grand écran
Jeune association, Aflam a vu le jour en 2000. Elle est née de l'intérêt des Marseillais pour les cultures arabes à travers l'image et le cinéma.Riches d'un patrimoine cinématographique qui témoigne de leur histoire, les pays arabes ont développé une production cinématographique bien spécifique. L'association Aflam aspire à donner une visibilité à ces cinémas peu connus en France tout en leur offrant un espace de diffusion.
Ceci avec la volonté de favoriser une meilleure connaissance des cultures arabes en encourageant les échanges autour des films réalisés au Maghreb, au Proche-Orient et au sein des diasporas arabes.
