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C'est dans cet état d'esprit que la première édition du Festival «Saga Africa», qui démarre aujourd'hui, prend toute sa dimension humaine qui transcende les différences souvent issues de l'ignorance et donne la preuve que les humains peuvent vivre et œuvrer ensemble pour créer de la beauté. Quatre jours durant, Rabat vibrera aux rythmes d'une manifestation culturelle qui favorise l'échange et l'ouverture à l'identité de l'autre.
Ainsi, chaque année, le 20 juin, le monde entier célèbre le courage, la capacité de récupération et la force des réfugiés. Sous l'Egide des Nations unies, des milliers d'organisations, dans des centaines de pays vont se rassembler à l'occasion du sixième anniversaire de la Journée mondiale du réfugié, afin d'attirer l'attention sur le sort des réfugiés et les causes de leur exil, mais aussi sur leur détermination et leur volonté de survivre, ainsi que sur les contributions qu'ils apportent aux communautés qui les accueillent.
Le Festival Saga Africa se veut symbole de dialogue et d'expression culturelle. La représentation de l'Afrique, dans un pays comme le Maroc, trait d'union entre les pays du Nord et les pays du Sud, porte en elle la volonté de découvrir et de faire découvrir l'autre, la volonté de le comprendre et de le sentir à travers ses œuvres, ses créations et ses diverses formes d'expression. C'est la rencontre des cultures qui est mise en jeu. Le Festival Saga Africa aspire à créer ainsi un espace permettant aux identités de s'affirmer tout en s'ouvrant à l'échange.
A travers l'art, sous ses formes les plus variées, la Fondation Orient-Occident et ses partenaires tentent une nouvelle fois de convaincre que l'accès pour tous à la culture, dans toute sa diversité, ouvre la voie à l'égalité entre les Hommes.
Des spectacles de danse, du théâtre, de la musique, des films, des expositions, des ateliers d'expression artistique, des conférences traitant de la situation des réfugiés, des rencontres entre artistes de différentes nationalités sont les ingrédients que les organisateurs ont concoctés pour offrir au public r'bati un festival de qualité dans un quartier populaire de la ville, Yaâcoub El Mansour, loin de l'élitisme qui souvent confine la culture dans des «ghettos» de la haute société.
Cette initiative vient ouvrir une brèche dans le monde de l'événementiel qui favorise souvent le festif et le spectaculaire oubliant la portée culturelle enrichissante pour un public devenu exigeant par rapport à la qualité des spectacles. Le contenu humaniste à même d'élargir les horizons, de mettre en avant les possibilités de vivre ensemble dans le respect de la différence qui souvent est source de créativité.
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Le premier se trouve au quartier Yaâcoub El Mansour à Rabat, le second à la périphérie d'Oujda, le troisième à Sidi Moumen à Casablanca et un autre à Safi. L'idée est d'adapter les activités des centres à leur environnement immédiat pour contribuer à l'intégration socioprofessionnelle des adhérents qui sont à ce jour plus de 10.000.
La Fondation bénéficie de l'utilité publique.
Ainsi, chaque année, le 20 juin, le monde entier célèbre le courage, la capacité de récupération et la force des réfugiés. Sous l'Egide des Nations unies, des milliers d'organisations, dans des centaines de pays vont se rassembler à l'occasion du sixième anniversaire de la Journée mondiale du réfugié, afin d'attirer l'attention sur le sort des réfugiés et les causes de leur exil, mais aussi sur leur détermination et leur volonté de survivre, ainsi que sur les contributions qu'ils apportent aux communautés qui les accueillent.
Le Festival Saga Africa se veut symbole de dialogue et d'expression culturelle. La représentation de l'Afrique, dans un pays comme le Maroc, trait d'union entre les pays du Nord et les pays du Sud, porte en elle la volonté de découvrir et de faire découvrir l'autre, la volonté de le comprendre et de le sentir à travers ses œuvres, ses créations et ses diverses formes d'expression. C'est la rencontre des cultures qui est mise en jeu. Le Festival Saga Africa aspire à créer ainsi un espace permettant aux identités de s'affirmer tout en s'ouvrant à l'échange.
A travers l'art, sous ses formes les plus variées, la Fondation Orient-Occident et ses partenaires tentent une nouvelle fois de convaincre que l'accès pour tous à la culture, dans toute sa diversité, ouvre la voie à l'égalité entre les Hommes.
Des spectacles de danse, du théâtre, de la musique, des films, des expositions, des ateliers d'expression artistique, des conférences traitant de la situation des réfugiés, des rencontres entre artistes de différentes nationalités sont les ingrédients que les organisateurs ont concoctés pour offrir au public r'bati un festival de qualité dans un quartier populaire de la ville, Yaâcoub El Mansour, loin de l'élitisme qui souvent confine la culture dans des «ghettos» de la haute société.
Cette initiative vient ouvrir une brèche dans le monde de l'événementiel qui favorise souvent le festif et le spectaculaire oubliant la portée culturelle enrichissante pour un public devenu exigeant par rapport à la qualité des spectacles. Le contenu humaniste à même d'élargir les horizons, de mettre en avant les possibilités de vivre ensemble dans le respect de la différence qui souvent est source de créativité.
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Une Fondation citoyenne
Depuis 1996, la Fondation Orient-Occident multiplie ses efforts pour faire un travail de fond dans le domaine socioculturel. En fait, depuis la création du premier centre à Rabat, le comité de la fondation a tenu à ce que l'emplacement des centres soit dans des quartiers populaires, et à ce que l'inscription des adhérents soit contre une somme modique.Le premier se trouve au quartier Yaâcoub El Mansour à Rabat, le second à la périphérie d'Oujda, le troisième à Sidi Moumen à Casablanca et un autre à Safi. L'idée est d'adapter les activités des centres à leur environnement immédiat pour contribuer à l'intégration socioprofessionnelle des adhérents qui sont à ce jour plus de 10.000.
