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Le Real Madrid, battu par le Bayern Munich 2-1, a connu une énorme désillusion, mercredi, avec une élimination dès les 8e de finale de la Ligue des champions, tout comme le finaliste de la dernière édition, Arsenal, incapable de s'imposer à domicile face au PSV Eindhoven (1-1).
Les Bavarois pourront éternellement remercier leur milieu de terrain néerlandais van Bommel, auteur du but de l'espoir en toute fin de match à l'aller (3-2 à Santiago-Bernabeu). Fort de cet avantage psychologique et avec le soutien des 66.000 spectateurs de l'Allianz Arena, le Bayern n'a pas fait de détails, scellant pratiquement le sort du match en moins de 11 secondes.
Le temps pour Makaay d'inscrire le but le plus rapide de l'histoire de la compétition (10 secondes 2/10e) et de mettre ainsi ses coéquipiers sur les rails de la qualification. Lucio parachevait ensuite le succès des siens sur une tête en deuxième période (66e), le penalty transformé par van Nistelrooy (83e) ne changeant rien à l'affaire.
Les Madrilènes ont ainsi perdu leur dernière occasion de remporter un trophée cette saison et vont sans doute boucler leur quatrième saison consécutive sans titre.
Pour Arsenal, la fin de l'exercice 2006-2007 s'annonce également morose. Les Gunners, distancés en championnat (4e), éliminés de la Coupe d'Angleterre et battus en finale de la Coupe de la Ligue anglaise, pensaient être revenus à hauteur du PSV après l'ouverture du score d'Alex contre son camp (58e). Mais le défenseur brésilien a lui-même remis les pendules à l'heure (83e), crucifiant de la tête une formation privée au coup d'envoi de Henry, touché à une cuisse et à un pied. Le buteur français a bien effectué son entrée en seconde période (66e) sans pour autant parvenir à inverser le cours de l'histoire pour Arsenal.
Après le tenant du titre, le FC Barcelone, éliminé par Liverpool, la C1 se voit ainsi délestée de ses deux derniers finalistes. Manchester United a, lui, fait le strict minimum face à la formation surprise de ces 8e de finale, Lille. Il est vrai que les Mancuniens avaient assuré l'essentiel à l'aller en France avec un coup franc rapide transformé par Giggs en toute fin de match (1-0).
Ce but, longtemps contesté par les Lillois et objet d'un contentieux entre les deux équipes, n'a pas provoqué de révolte chez les Français dont le sort a été scellé après la pause sur une tête du Suédois Larsson pour sa dernière apparition avec les Red Devils avant son retour au bercail à Helsingborg (1-0). La France se voit ainsi privée de représentants dès les 8e de finale pour la première fois depuis l'édition 2002-2003 de la C1, après la sortie de route prématurée de Lyon, mardi face à l'AS Rome (0-0, 2-0).
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Mijatovic a ajouté qu'il était "préoccupé" par ce qu'il avait vu à Munich et qu'il se "posait beaucoup de questions", déclenchant de nouvelles spéculations sur un départ de Capello, arrivée l'été dernier au Real. Ce dernier, actuellement 4e au classement de la Liga à 6 points du leader Séville, est menacé d'une "nouvelle année en enfer" et d'une 4e saison consécutive sans aucun titre, surtout s'il perd demain à Barcelone, notait hier le quotidien El Pais.
Les Bavarois pourront éternellement remercier leur milieu de terrain néerlandais van Bommel, auteur du but de l'espoir en toute fin de match à l'aller (3-2 à Santiago-Bernabeu). Fort de cet avantage psychologique et avec le soutien des 66.000 spectateurs de l'Allianz Arena, le Bayern n'a pas fait de détails, scellant pratiquement le sort du match en moins de 11 secondes.
Le temps pour Makaay d'inscrire le but le plus rapide de l'histoire de la compétition (10 secondes 2/10e) et de mettre ainsi ses coéquipiers sur les rails de la qualification. Lucio parachevait ensuite le succès des siens sur une tête en deuxième période (66e), le penalty transformé par van Nistelrooy (83e) ne changeant rien à l'affaire.
Les Madrilènes ont ainsi perdu leur dernière occasion de remporter un trophée cette saison et vont sans doute boucler leur quatrième saison consécutive sans titre.
Pour Arsenal, la fin de l'exercice 2006-2007 s'annonce également morose. Les Gunners, distancés en championnat (4e), éliminés de la Coupe d'Angleterre et battus en finale de la Coupe de la Ligue anglaise, pensaient être revenus à hauteur du PSV après l'ouverture du score d'Alex contre son camp (58e). Mais le défenseur brésilien a lui-même remis les pendules à l'heure (83e), crucifiant de la tête une formation privée au coup d'envoi de Henry, touché à une cuisse et à un pied. Le buteur français a bien effectué son entrée en seconde période (66e) sans pour autant parvenir à inverser le cours de l'histoire pour Arsenal.
Après le tenant du titre, le FC Barcelone, éliminé par Liverpool, la C1 se voit ainsi délestée de ses deux derniers finalistes. Manchester United a, lui, fait le strict minimum face à la formation surprise de ces 8e de finale, Lille. Il est vrai que les Mancuniens avaient assuré l'essentiel à l'aller en France avec un coup franc rapide transformé par Giggs en toute fin de match (1-0).
Ce but, longtemps contesté par les Lillois et objet d'un contentieux entre les deux équipes, n'a pas provoqué de révolte chez les Français dont le sort a été scellé après la pause sur une tête du Suédois Larsson pour sa dernière apparition avec les Red Devils avant son retour au bercail à Helsingborg (1-0). La France se voit ainsi privée de représentants dès les 8e de finale pour la première fois depuis l'édition 2002-2003 de la C1, après la sortie de route prématurée de Lyon, mardi face à l'AS Rome (0-0, 2-0).
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Le poste de Capello menacé
La situation de l'entraîneur Fabio Capello au Real Madrid paraissait plus que compromise hier après l'élimination du club madrilène de la Ligue des Champions, un "cadeau" fait au Bayern Munich, selon la presse espagnole. "Est-ce que Capello sera au Camp Nou?", le stade du FC Barcelone où le Real affronte dès samedi son grand rival lors d'une partie délicate de la 26e journée de la Liga, se demandait hier le quotidien El Mundo. Le directeur sportif du Real, Pedja Mihatovic, a paru hésiter mercredi soir après la défaite à Munich, indiquant d'abord que "oui, il sera sur le banc de touche" à Barcelone, avant de préciser aux médias espagnols qu'il "ne pouvait pas dire" si ce serait vraiment le cas.Mijatovic a ajouté qu'il était "préoccupé" par ce qu'il avait vu à Munich et qu'il se "posait beaucoup de questions", déclenchant de nouvelles spéculations sur un départ de Capello, arrivée l'été dernier au Real. Ce dernier, actuellement 4e au classement de la Liga à 6 points du leader Séville, est menacé d'une "nouvelle année en enfer" et d'une 4e saison consécutive sans aucun titre, surtout s'il perd demain à Barcelone, notait hier le quotidien El Pais.
