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Désormais, tous les chauffe-eau à gaz doivent contenir des indications écrites en arabe pour éviter les cas d'asphyxie. Le propos est de Abdellah Nejjar, directeur de la Qualité et de la normalisation au ministère de l'Industrie, du Commerce et de la Mise à niveau de l'économie qui s'apprête à lancer, au cours de cette semaine, une campagne de sensibilisation au profit de tous les citoyens sur l'utilisation des chauffe-eau à gaz. Les drames causés par ces appareils chaque année sont une réalité de plus en plus visible.
Les accidents dus au gaz continuent de faire des victimes. Les pouvoirs publics sont ainsi décidés à combattre le phénomène. Le message du département de Salaheddine Mezouar est clair : les décès constatés ne sont pas dus à une défectuosité du matériel mais à des problèmes liés essentiellement à l'installation et à l'absence ou au manque d'aération des espaces où ce matériel a été placé.
Selon la norme marocaine, un chauffe-eau à gaz correctement installé nécessite un volume de 8 m3 pour ne pas présenter de danger.
“Dès lors qu'on ne respecte pas les conditions d'aération, on est dans une situation dangereuse.
Il faut respecter les consignes et effectuer des contrôles réguliers sur l'appareil. Un chauffe-eau doit impérativement être révisé régulièrement et installé dans un endroit bien ventilé”, explique Abdellah Nejjar. Il ne cesse de mettre en garde contre le danger des installations anarchiques de ce type de matériel. La campagne de sensibilisation, qui durera deux semaines, sera axée sur les mesures de sécurité propres à l'usage des chauffe-eau à gaz.
Le simple citoyen ainsi que les professionnels du domaine (les fabricants, les grossistes, les petits commençants, les plombiers ou les installateurs) doivent être prévenus et conscients du danger des mauvaises installations. Le problème des chauffe-eau à gaz ne date pas d'aujourd'hui. Il a été accentué par le mouvement d'urbanisation que connaît le Maroc.
Les accidents dus au gaz continuent de faire des victimes. Les pouvoirs publics sont ainsi décidés à combattre le phénomène. Le message du département de Salaheddine Mezouar est clair : les décès constatés ne sont pas dus à une défectuosité du matériel mais à des problèmes liés essentiellement à l'installation et à l'absence ou au manque d'aération des espaces où ce matériel a été placé.
Selon la norme marocaine, un chauffe-eau à gaz correctement installé nécessite un volume de 8 m3 pour ne pas présenter de danger.
“Dès lors qu'on ne respecte pas les conditions d'aération, on est dans une situation dangereuse.
Il faut respecter les consignes et effectuer des contrôles réguliers sur l'appareil. Un chauffe-eau doit impérativement être révisé régulièrement et installé dans un endroit bien ventilé”, explique Abdellah Nejjar. Il ne cesse de mettre en garde contre le danger des installations anarchiques de ce type de matériel. La campagne de sensibilisation, qui durera deux semaines, sera axée sur les mesures de sécurité propres à l'usage des chauffe-eau à gaz.
Le simple citoyen ainsi que les professionnels du domaine (les fabricants, les grossistes, les petits commençants, les plombiers ou les installateurs) doivent être prévenus et conscients du danger des mauvaises installations. Le problème des chauffe-eau à gaz ne date pas d'aujourd'hui. Il a été accentué par le mouvement d'urbanisation que connaît le Maroc.
