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Deux membres des mouvements rivaux Hamas et Fatah ont été tués vendredi dans la bande de Gaza, marquant une reprise des violences partisanes après une courte accalmie.
Un membre du Fatah a été tué par une force de sécurité fidèle au Hamas, quelques heures après une explosion qui a coûté jeudi la vie à un membre de cette force, ont indiqué des sources médicales.
Nabil Al-Jarjir, des Brigades des Martyrs d'Al-Aqsa liées au Fatah du président Mahmoud Abbas, a été abattu à l'aube à Jabaliya dans le nord de la bande de Gaza, a-t-on précisé. Un porte-parole du Fatah, Maher Miqdad, a accusé la Force exécutive relevant du ministère de l'Intérieur, contrôlé par le Hamas, d'avoir "exécuté" Jarjir après avoir encerclé sa maison.
Le Hamas a, pour sa part, affirmé dans un communiqué que Jarjir avait été tué "dans un accrochage" avec des membres de la Force exécutive venus l'arrêter. Qualifiant Jarjir de "laquais des putschistes", une référence aux chefs du Fatah, le Hamas a affirmé qu'il était "le principal suspect" dans une explosion qui a coûté la vie jeudi soir à un membre de la Force exécutive.
L'explosion d'un engin au passage d'une jeep de cette force a fait douze blessés dont sept de ses passagers.
L'un d'eux, Khalil Al-Anqah, 35 ans, a succombé vendredi.
Peu après la mort de Jarjir, un membre du Hamas, Raëd Soboh, a été tué et un deuxième blessé à Jabaliya lorsque des hommes armés ont ouvert le feu sur leur voiture, selon des sources médicales.
La voiture visée était équipée d'un haut-parleur à l'aide duquel les deux activistes appelaient la population à participer à un rassemblement du Hamas prévu dans la journée pour marquer le premier anniversaire de la victoire du mouvement aux élections législatives palestiniennes.
Des activistes du Fatah ont en outre enlevé, en représailles à la mort de Jarjir, neuf membres du Hamas. La Force exécutive a riposté en détenant cinq militants du Fatah.
Fatah et Hamas, empêtrés dans une crise politique qui a dégénéré en affrontements meurtriers, avaient entamé mardi un nouveau round de dialogue sur la mise en place d'un gouvernement d'union. Une autre réunion de ce type, prévue vendredi, a été "reportée" à dimanche à la suite des derniers accrochages.
Cet énième round de dialogue a commencé deux jours après une rencontre à Damas entre le président palestinien et chef du Fatah Mahmoud Abbas et le numéro un du Hamas Khaled Mechâal.
Avant cette rencontre, la tension s'était exacerbée entre les deux mouvements après l'annonce par M. Abbas le 16 décembre de sa décision de convoquer des élections anticipées en raison de l'échec des discussions sur la formation d'un cabinet d'union.
Le Hamas avait parlé de "coup d'Etat". Des violences partisanes avaient ensuite fait plus de trente morts mais une relative accalmie s'était instaurée ces deux dernières semaines.
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Il a serré la main de la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, sous les applaudissements des invités. "Il est temps de rassembler tous nos efforts pour la paix et d'entamer sans attendre des négociations sérieuses", a lancé M. Abbas, se disant "entièrement disposé à négocier" En réponse aux appels à la paix lancés depuis Al-Qods et Ramallah par des jeunes Israéliens et Palestiniens, Mme Livni a appelé les deux parties à "promettre aux générations futures de faire tous les efforts possibles pour apporter la paix".
Un membre du Fatah a été tué par une force de sécurité fidèle au Hamas, quelques heures après une explosion qui a coûté jeudi la vie à un membre de cette force, ont indiqué des sources médicales.
Nabil Al-Jarjir, des Brigades des Martyrs d'Al-Aqsa liées au Fatah du président Mahmoud Abbas, a été abattu à l'aube à Jabaliya dans le nord de la bande de Gaza, a-t-on précisé. Un porte-parole du Fatah, Maher Miqdad, a accusé la Force exécutive relevant du ministère de l'Intérieur, contrôlé par le Hamas, d'avoir "exécuté" Jarjir après avoir encerclé sa maison.
Le Hamas a, pour sa part, affirmé dans un communiqué que Jarjir avait été tué "dans un accrochage" avec des membres de la Force exécutive venus l'arrêter. Qualifiant Jarjir de "laquais des putschistes", une référence aux chefs du Fatah, le Hamas a affirmé qu'il était "le principal suspect" dans une explosion qui a coûté la vie jeudi soir à un membre de la Force exécutive.
L'explosion d'un engin au passage d'une jeep de cette force a fait douze blessés dont sept de ses passagers.
L'un d'eux, Khalil Al-Anqah, 35 ans, a succombé vendredi.
Peu après la mort de Jarjir, un membre du Hamas, Raëd Soboh, a été tué et un deuxième blessé à Jabaliya lorsque des hommes armés ont ouvert le feu sur leur voiture, selon des sources médicales.
La voiture visée était équipée d'un haut-parleur à l'aide duquel les deux activistes appelaient la population à participer à un rassemblement du Hamas prévu dans la journée pour marquer le premier anniversaire de la victoire du mouvement aux élections législatives palestiniennes.
Des activistes du Fatah ont en outre enlevé, en représailles à la mort de Jarjir, neuf membres du Hamas. La Force exécutive a riposté en détenant cinq militants du Fatah.
Fatah et Hamas, empêtrés dans une crise politique qui a dégénéré en affrontements meurtriers, avaient entamé mardi un nouveau round de dialogue sur la mise en place d'un gouvernement d'union. Une autre réunion de ce type, prévue vendredi, a été "reportée" à dimanche à la suite des derniers accrochages.
Cet énième round de dialogue a commencé deux jours après une rencontre à Damas entre le président palestinien et chef du Fatah Mahmoud Abbas et le numéro un du Hamas Khaled Mechâal.
Avant cette rencontre, la tension s'était exacerbée entre les deux mouvements après l'annonce par M. Abbas le 16 décembre de sa décision de convoquer des élections anticipées en raison de l'échec des discussions sur la formation d'un cabinet d'union.
Le Hamas avait parlé de "coup d'Etat". Des violences partisanes avaient ensuite fait plus de trente morts mais une relative accalmie s'était instaurée ces deux dernières semaines.
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Engagement pour la paix
Israéliens et Palestiniens se sont engagés jeudi à faire la paix devant les délégués du Forum de Davos (Suisse) et ont misé sur l'économie pour rapprocher les peuples de la région. Dans un geste symbolique, le président palestinien, Mahmoud Abbas, a donné l'accolade au vice-Premier ministre israélien Shimon Peres lors d'un débat organisé au Forum économique mondial, le grand rendez-vous annuel du gratin de la politique et de l'entreprise.Il a serré la main de la ministre israélienne des Affaires étrangères, Tzipi Livni, sous les applaudissements des invités. "Il est temps de rassembler tous nos efforts pour la paix et d'entamer sans attendre des négociations sérieuses", a lancé M. Abbas, se disant "entièrement disposé à négocier" En réponse aux appels à la paix lancés depuis Al-Qods et Ramallah par des jeunes Israéliens et Palestiniens, Mme Livni a appelé les deux parties à "promettre aux générations futures de faire tous les efforts possibles pour apporter la paix".
