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La promotion et le reclassement de 8.754 agents de police, au titre des années 2005 et 2006, annoncée ces derniers jours, constitue une première dans l'histoire de la Direction générale de la sûreté 110nale (DGSN), aussi bien en nombre que pour ce qui est des retombées 116iales directes de ces mesures sur une aussi large frange du corps de la police.
Cette décision s'inscrit en droite ligne des Hautes directives royales, tendant à améliorer les conditions matérielles et logistiques des forces de sécurité, toutes catégories confondues, qui ont fait preuve d'une grande abnégation ces derniers mois, alors que le Maroc était la cible d'attentats terroristes avortés.
Elle a été adoptée en conseil de gouvernement le 22 août dernier par décret, autorisant l'avancement des agents qui n'avaient pas pu en bénéficier durant les deux dernières années. Cette décision, qui a concerné un peu plus du cinquième des candidats au titre des années 2005 et 2006, est jugée importante, au regard de la mobilisation des services de sécurité, notamment la police, pour lutter contre le terrorisme et faire échec aux plans visant la déstabilisation du Maroc. Accueillie favorablement, cette mesure devrait avoir des retombées bénéfiques directes sur les conditions de vie des bénéficiaires.
Le processus de reclassement a dû prendre plusieurs mois de travail, au niveau de la commission d'avancement de la DGSN, qui avait débuté ses travaux le 27 juillet. Comme il y avait un grand nombre de postulants (5 fois plus que les bénéficiaires effectifs), il a fallu mettre en place des critères de sélection précis, l'ancienneté étant la règle, pour arrêter la liste des plus chanceux, qui étaient au bout du compte au nombre de plusieurs milliers.
Le gouvernement avait lui aussi décidé ces derniers mois d'arrêter un plan d'action, pour doter à terme, les forces de sécurité de tous les moyens, et leur créer les conditions favorables, pour s'acquitter de leur mission.
Cette décision s'inscrit en droite ligne des Hautes directives royales, tendant à améliorer les conditions matérielles et logistiques des forces de sécurité, toutes catégories confondues, qui ont fait preuve d'une grande abnégation ces derniers mois, alors que le Maroc était la cible d'attentats terroristes avortés.
Elle a été adoptée en conseil de gouvernement le 22 août dernier par décret, autorisant l'avancement des agents qui n'avaient pas pu en bénéficier durant les deux dernières années. Cette décision, qui a concerné un peu plus du cinquième des candidats au titre des années 2005 et 2006, est jugée importante, au regard de la mobilisation des services de sécurité, notamment la police, pour lutter contre le terrorisme et faire échec aux plans visant la déstabilisation du Maroc. Accueillie favorablement, cette mesure devrait avoir des retombées bénéfiques directes sur les conditions de vie des bénéficiaires.
Le processus de reclassement a dû prendre plusieurs mois de travail, au niveau de la commission d'avancement de la DGSN, qui avait débuté ses travaux le 27 juillet. Comme il y avait un grand nombre de postulants (5 fois plus que les bénéficiaires effectifs), il a fallu mettre en place des critères de sélection précis, l'ancienneté étant la règle, pour arrêter la liste des plus chanceux, qui étaient au bout du compte au nombre de plusieurs milliers.
Le gouvernement avait lui aussi décidé ces derniers mois d'arrêter un plan d'action, pour doter à terme, les forces de sécurité de tous les moyens, et leur créer les conditions favorables, pour s'acquitter de leur mission.
