Sachant que les formations proposées par la faculté poly-disciplinaire s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la réforme de l'enseignement supérieur et a pour vocation de répondre aux besoins de la région de Tadla-Azilal en matière de formation universitaire, en assurant une formation de base pluridisciplinaire en physique, chimie, mathématiques et informatique, avec un profil physique qui se dégage dans les deux derniers semestres du cycle afin de développer le savoir des étudiants, et surtout leurs compétences dans les différentes formations.
Pour la faculté des sciences et techniques, plus de 13 ans se sont écoulés depuis sa création avec pour vocation la formation de lauréats dans les domaines les mieux adaptés aux besoins et à l'évolution technologique de la région et à la contribution à son développement économique et social, par le biais de la recherche et de la formation continue.
Cet établissement universitaire a ainsi connu d'une part, des changements intéressants. Ses structures pédagogiques et même administratives sont mieux adaptées et ses cursus beaucoup plus sollicités puisqu'ils offrent aux bacheliers l'opportunité d'une formation de base à la fois scientifique et technique, suivie d'une formation spécialisée et adaptée aux besoins réels du marché de l'emploi et de la recherche scientifique et technique, d'où un effectif total qui passe de 600 à près de 1.300 (1293) étudiants avec un taux moyen qui variait entre 43,8% et 53% de jeunes étudiantes. La FST, qui ambitionne d'assurer le rôle qui lui incombe dans la formation des lauréats sur deux parcours scientifiques : la biologie – chimie – géologie (BCG) et pour la préparation et la délivrance de six diplômes nationaux, dont la licence sciences et techniques ou encor le diplôme d'Ingénieur d'Etat, le Master en 5 ans ou le Doctorat en 8 ans.
Le taux de réussite au titre de l'année universitaire 2006/2007 passe de 58 % pour le DEUG 1.120 admis sur 1.948 candidats et à 100 % pour les autres formations diplômantes du doctorat et la qualification universitaire (3 lauréats admis sur 3 candidats). Sur le plan des activités scientifiques, les deux facultés ont organisé une série de manifestations de haut niveau axées sur des thèmes d'actualité, qui ont réuni une pléiade d'enseignants chercheurs, de hauts cadres et de différents acteurs pour ne citer que cet important séminaire pédagogique sur «les dispositifs moléculaires auto-organisés pour l'analyse : application à la spéctométrie de masse, animé par le D. Eric Levillain (Directeur de recherche CNRS d'Angers).
Les étudiants auront plus de possibilités pour effectuer un choix au sein d'une gamme diversifiée, comme il leur sera possible de faire valoir leurs connaissances partielles pour accomplir une spécialisation ou une qualification. Car l'effectif de cette institution atteint pour la rentrée universitaire 2007/2008 quelques 1.335 étudiants, dont 45 % d'étudiantes, répartis dans les trois formations dispensées, à savoir les sciences de la matière physique (SMP) avec 347 étudiants, dont 14 % d'étudiantes, les sciences de la vie (SVI) avec 170 étudiants dont 68 % d'étudiantes et la formation économique et de gestion (SEG) avec 818 étudiants dont 50 % d'étudiantes. Des filières spécialisées très convoitées par les jeunes bacheliers leur permettent ainsi des ouvertures intéressantes, dont l'utilité régionale et nationale est vivement ressentie.
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Or le module peut-être également constitué, en totalité ou en partie soit par un ou plusieurs stages effectués dans des entreprises et supervisés par les enseignants, soit par des projets de fin d'études, des travaux sur le terrain ou des mémoires… Ainsi, chaque module devrait faire l'objet d'une évaluation qui lui est propre et, une fois validé par l'étudiant, son acquis serait ainsi définitif.
Pour la faculté des sciences et techniques, plus de 13 ans se sont écoulés depuis sa création avec pour vocation la formation de lauréats dans les domaines les mieux adaptés aux besoins et à l'évolution technologique de la région et à la contribution à son développement économique et social, par le biais de la recherche et de la formation continue.
Cet établissement universitaire a ainsi connu d'une part, des changements intéressants. Ses structures pédagogiques et même administratives sont mieux adaptées et ses cursus beaucoup plus sollicités puisqu'ils offrent aux bacheliers l'opportunité d'une formation de base à la fois scientifique et technique, suivie d'une formation spécialisée et adaptée aux besoins réels du marché de l'emploi et de la recherche scientifique et technique, d'où un effectif total qui passe de 600 à près de 1.300 (1293) étudiants avec un taux moyen qui variait entre 43,8% et 53% de jeunes étudiantes. La FST, qui ambitionne d'assurer le rôle qui lui incombe dans la formation des lauréats sur deux parcours scientifiques : la biologie – chimie – géologie (BCG) et pour la préparation et la délivrance de six diplômes nationaux, dont la licence sciences et techniques ou encor le diplôme d'Ingénieur d'Etat, le Master en 5 ans ou le Doctorat en 8 ans.
Le taux de réussite au titre de l'année universitaire 2006/2007 passe de 58 % pour le DEUG 1.120 admis sur 1.948 candidats et à 100 % pour les autres formations diplômantes du doctorat et la qualification universitaire (3 lauréats admis sur 3 candidats). Sur le plan des activités scientifiques, les deux facultés ont organisé une série de manifestations de haut niveau axées sur des thèmes d'actualité, qui ont réuni une pléiade d'enseignants chercheurs, de hauts cadres et de différents acteurs pour ne citer que cet important séminaire pédagogique sur «les dispositifs moléculaires auto-organisés pour l'analyse : application à la spéctométrie de masse, animé par le D. Eric Levillain (Directeur de recherche CNRS d'Angers).
Les étudiants auront plus de possibilités pour effectuer un choix au sein d'une gamme diversifiée, comme il leur sera possible de faire valoir leurs connaissances partielles pour accomplir une spécialisation ou une qualification. Car l'effectif de cette institution atteint pour la rentrée universitaire 2007/2008 quelques 1.335 étudiants, dont 45 % d'étudiantes, répartis dans les trois formations dispensées, à savoir les sciences de la matière physique (SMP) avec 347 étudiants, dont 14 % d'étudiantes, les sciences de la vie (SVI) avec 170 étudiants dont 68 % d'étudiantes et la formation économique et de gestion (SEG) avec 818 étudiants dont 50 % d'étudiantes. Des filières spécialisées très convoitées par les jeunes bacheliers leur permettent ainsi des ouvertures intéressantes, dont l'utilité régionale et nationale est vivement ressentie.
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Les défaillances du système
Les moyens d'équipement et d'encadrement qui sont nécessaires à un bon ensignement restent peu assurés. Cet état de fait a eu des incidences négatives sur les résultats, dont le taux variait entre 20% pour les sciences de la matière physique et 51,7% pour la formation économique et de gestion. Alors que le taux moyen global de réussite de cette institution au titre de l'année universitaire 2006/2007 a été à hauteur de 46,8% dans la préparation des deux diplômes délivrés par la faculté : le diplôme des études universitaires générales (DEUG) et la licence fondamentale (LF) dont l'organisation des études est de 6 semestres pour chaque filière de 4 modules.Or le module peut-être également constitué, en totalité ou en partie soit par un ou plusieurs stages effectués dans des entreprises et supervisés par les enseignants, soit par des projets de fin d'études, des travaux sur le terrain ou des mémoires… Ainsi, chaque module devrait faire l'objet d'une évaluation qui lui est propre et, une fois validé par l'étudiant, son acquis serait ainsi définitif.
