En vertu de cet accord, deux liaisons hebdomadaires seront lancées entre les deux pays, à partir d'octobre prochain, selon K. Ghellab.
Par ailleurs, selon le responsable centrafricain, cet accord est très intéressant pour son pays au vu de "l'importance capitale" que revêt le transport aérien pour la République Centrafricaine et son ambition de se convertir en "plaque tournante pour l'Afrique centrale".
Il est à rappeler qu'un protocole d'accord a été signé auparavant par le directeur général de l'Office national des aéroports (ONDA), Abdelhanine Benallou, et Parfait Anicet Mbay, qui prévoit des formations de base et continue qui bénéficieront au personnel de l'aviation civile du Centre-Afrique au niveau de l'Académie internationale Mohammed VI de l'aviation civile.
En outre, cet accord de libéralisation du transport aérien s'ajoute aux autres signés entre le Royaume et plusieurs pays africains, l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis dans le but de consolider et de promouvoir le développement de ce transport et intensifier les échanges économiques et touristiques. A souligner que l'Open sky avec l'UE est l'accord le plus important signé par le Royaume jusqu'à présent.
Cet accord qui vise une ouverture progressive des marchés des deux parties signataires ouvre des opportunités pour des investissements croisés entre les compagnies européennes et marocaines.
L'accord couvre des populations marocaine et européenne de respectivement quelque 30 millions et 450 millions d'habitants, avec un marché en croissance rapide estimée en Europe à 10% par an.
L'accord, qui sera mis en œuvre en deux temps, est entré en vigueur de façon intérimaire avec sa signature cette semaine.
Au cours de la première étape, les deux parties lanceront le processus de convergence réglementaire, s'interdiront d'accorder des aides étatiques aux opérateurs et mettront en œuvre les grandes règles de concurrence.
De même, les compagnies marocaines et européennes peuvent desservir plusieurs destinations européennes à la fois par le biais des escales, à condition que le point de départ soit l'UE ou le Maroc.
Une fois le Maroc réussira son adaptation à la législation européenne en la matière (sûreté, contrôle aérien, restrictions environnementales, etc.), les deux parties pourront alors passer à la deuxième phase qui englobera tous les aspects de l'intégration du Maroc dans l'espace aérien européen.
Il est également opportun de souligner que l'UE et les Etats-Unis se sont engagés dans des négociations pour la conclusion d'un accord sur la libéralisation du transport aérien entre eux, dont l'issue ne devra pas tarder, selon les observateurs.
Ce qui ne manquera pas de donner une autre dimension à l'accord signé entre le Royaume et l'UE.
Par ailleurs, selon le responsable centrafricain, cet accord est très intéressant pour son pays au vu de "l'importance capitale" que revêt le transport aérien pour la République Centrafricaine et son ambition de se convertir en "plaque tournante pour l'Afrique centrale".
Il est à rappeler qu'un protocole d'accord a été signé auparavant par le directeur général de l'Office national des aéroports (ONDA), Abdelhanine Benallou, et Parfait Anicet Mbay, qui prévoit des formations de base et continue qui bénéficieront au personnel de l'aviation civile du Centre-Afrique au niveau de l'Académie internationale Mohammed VI de l'aviation civile.
En outre, cet accord de libéralisation du transport aérien s'ajoute aux autres signés entre le Royaume et plusieurs pays africains, l'Union européenne (UE) et les Etats-Unis dans le but de consolider et de promouvoir le développement de ce transport et intensifier les échanges économiques et touristiques. A souligner que l'Open sky avec l'UE est l'accord le plus important signé par le Royaume jusqu'à présent.
Cet accord qui vise une ouverture progressive des marchés des deux parties signataires ouvre des opportunités pour des investissements croisés entre les compagnies européennes et marocaines.
L'accord couvre des populations marocaine et européenne de respectivement quelque 30 millions et 450 millions d'habitants, avec un marché en croissance rapide estimée en Europe à 10% par an.
L'accord, qui sera mis en œuvre en deux temps, est entré en vigueur de façon intérimaire avec sa signature cette semaine.
Au cours de la première étape, les deux parties lanceront le processus de convergence réglementaire, s'interdiront d'accorder des aides étatiques aux opérateurs et mettront en œuvre les grandes règles de concurrence.
De même, les compagnies marocaines et européennes peuvent desservir plusieurs destinations européennes à la fois par le biais des escales, à condition que le point de départ soit l'UE ou le Maroc.
Une fois le Maroc réussira son adaptation à la législation européenne en la matière (sûreté, contrôle aérien, restrictions environnementales, etc.), les deux parties pourront alors passer à la deuxième phase qui englobera tous les aspects de l'intégration du Maroc dans l'espace aérien européen.
Il est également opportun de souligner que l'UE et les Etats-Unis se sont engagés dans des négociations pour la conclusion d'un accord sur la libéralisation du transport aérien entre eux, dont l'issue ne devra pas tarder, selon les observateurs.
Ce qui ne manquera pas de donner une autre dimension à l'accord signé entre le Royaume et l'UE.
