Ces sept créateurs, nous pouvons les contempler, actuellement, à la galerie La Découverte de Rabat, notamment les photographes Nasser Attaoui, Jamal Lahrech et Larbi R'tel, le sculpteur Ahmed Nour, le calligraphe Mohamed Qarmad et les peintres Aziz Tounsi et Hamid Bouhioui.
Ce dernier présente des tableaux avec comme sujet de prédilection la femme, qu'il nous offre avec des couleurs éclatantes et une technique très personnelle. Une femme dont il choisit surtout le visage avec ses expressions et ses énigmes, ses traits les plus profonds et son regard captivant.
En dehors de ce thème fétiche pour l'artiste, la peinture de Hamid Bouhioui est très imprégnée du paysage et de la civilisation marocaine, dont le volet architecturel et traditionnel sont aussi présents dans la plupart de ses travaux. «La beauté exceptionnelle de Vancouver et de l'ouest Canadien n'a pas réussi à le détourner de son amour inconditionnel et presque fanatique du Maroc et de sa culture intrinsèque et millénaire». Pour Bouhioui, «l'art tient les gens en éveil. Quand j'écris, chaque phrase sort dans sa langue naturelle, l'arabe, l'anglais ou le français. Ma peinture est pareille. Quand j'applique mes couleurs sur la toile, c'est en fait le moment où je peins le moins, car ma tête a peint sans peinture pendant des jours ou des semaines plus tôt», nous dit-il.
La musique figure, également, dans les peintures de Bouhioui, ainsi que la théière, ustensile emblématique de notre civilisation. «La culture du Maroc est unique, comme toutes les autres…Mes techniques sont effectivement miennes et mes choix aussi. Dali peignait ses rêves, moi je peins mes obsessions positives. Picasso a inventé le cubisme et moi j'invente le skill-abstract», affirme l'artiste Hamid Bouhioui.
Passionné de peinture depuis son enfance, Bouhioui est un artiste maroco-canadien autodidacte. Il travaille, essentiellement, avec de l'acrylique, en utilisant de fines couches de peinture, construisant ainsi progressivement des contrastes colorés qui révèlent la transition entre les concepts formés dans son esprit et le résultat visuel qui lui donne un sentiment de paix et de sérénité.
«Amour, haine, paix, guerre, tolérance, stupidité, croyance, créativité, etc. La dualité est partout. La dualité est tout. J'explore la dualité des choses depuis un bon moment maintenant et mes œuvres s'en trouvent imprégnées. Je ne peins pas pour peindre. Je le fais pour exprimer par des couleurs et des formes ce que je ne peux pas exprimer autrement. Pour moi, peindre n'est pas une histoire de technique seulement, les techniques peuvent s'apprendre. Il y a souvent quelque chose à voir, à analyser et un message à synthétiser de mes travaux».
C'est à travers ces quelques lignes que Hamid Bouhioui nous résume sa peinture.
Ce dernier présente des tableaux avec comme sujet de prédilection la femme, qu'il nous offre avec des couleurs éclatantes et une technique très personnelle. Une femme dont il choisit surtout le visage avec ses expressions et ses énigmes, ses traits les plus profonds et son regard captivant.
En dehors de ce thème fétiche pour l'artiste, la peinture de Hamid Bouhioui est très imprégnée du paysage et de la civilisation marocaine, dont le volet architecturel et traditionnel sont aussi présents dans la plupart de ses travaux. «La beauté exceptionnelle de Vancouver et de l'ouest Canadien n'a pas réussi à le détourner de son amour inconditionnel et presque fanatique du Maroc et de sa culture intrinsèque et millénaire». Pour Bouhioui, «l'art tient les gens en éveil. Quand j'écris, chaque phrase sort dans sa langue naturelle, l'arabe, l'anglais ou le français. Ma peinture est pareille. Quand j'applique mes couleurs sur la toile, c'est en fait le moment où je peins le moins, car ma tête a peint sans peinture pendant des jours ou des semaines plus tôt», nous dit-il.
La musique figure, également, dans les peintures de Bouhioui, ainsi que la théière, ustensile emblématique de notre civilisation. «La culture du Maroc est unique, comme toutes les autres…Mes techniques sont effectivement miennes et mes choix aussi. Dali peignait ses rêves, moi je peins mes obsessions positives. Picasso a inventé le cubisme et moi j'invente le skill-abstract», affirme l'artiste Hamid Bouhioui.
Passionné de peinture depuis son enfance, Bouhioui est un artiste maroco-canadien autodidacte. Il travaille, essentiellement, avec de l'acrylique, en utilisant de fines couches de peinture, construisant ainsi progressivement des contrastes colorés qui révèlent la transition entre les concepts formés dans son esprit et le résultat visuel qui lui donne un sentiment de paix et de sérénité.
«Amour, haine, paix, guerre, tolérance, stupidité, croyance, créativité, etc. La dualité est partout. La dualité est tout. J'explore la dualité des choses depuis un bon moment maintenant et mes œuvres s'en trouvent imprégnées. Je ne peins pas pour peindre. Je le fais pour exprimer par des couleurs et des formes ce que je ne peux pas exprimer autrement. Pour moi, peindre n'est pas une histoire de technique seulement, les techniques peuvent s'apprendre. Il y a souvent quelque chose à voir, à analyser et un message à synthétiser de mes travaux».
C'est à travers ces quelques lignes que Hamid Bouhioui nous résume sa peinture.
