En théorie, le délai d'achèvement de ce projet avait été fixé au maximum à 5 ans. En 19 ans, seulement quelque 3.000 familles ont été relogées soit au quartier Nassim, soit à Attacharouk et uniquement 6 hectares sur 50 ont été apurés.
Il reste encore 9.000 ménages sur place. Ce retard est dû à la fois aux problèmes d'ordre fonctionnel, mais également d'ordre exogène indépendants de la volonté de la société.
Aujourd'hui, ces problèmes relèvent du passé, apprend-on auprès de Abderrahim Lhassani, directeur de la Sonadac. « Si tous les dossiers ne sont pas encore apurés, l'essentiel est fait : les contentieux lourds sont réglés. La prochaine étape sera l'accélération de l'apurement du foncier du site de l'Avenue Royale corrélé au rythme de la construction de la seconde tranche de Nassim.
Le prochain point à l'ordre du jour sera d'établir, en concertation avec l'autorité locale, la ville et les élus locaux, un planning qui prenne en considération les éléments juridiques, humains, techniques et financiers de cette partie.
Il est à signaler que Sonadac a revalorisé l'indemnité accordée aux familles recensées sur le site de l'Avenue Royale. Celle-ci pourra constituer l'apport initial dans l'acquisition d'un appartement à Nassim, comme elle pourra être versée entre les mains du bénéficiaire selon son choix. Il sera
libre, alors, d'en disposer à sa guise. Concernant le plan de départ volontaire, M. Lhassani affirme qu'il existe des inadéquations entre les profils et les besoins de la société conformément aux conclusions d'une étude portant sur un bilan des compétences de l'ensemble du personnel et une autre portant sur la refonte de l'organigramme. Ainsi, sur une liste de 52 personnes concernées par ce départ, 34 ont adhéré au plan, a-t-il précisé. et d'ajouter que tous les salariés qui ont souscrit au plan de départ ont été intégralement et légalement indemnisés dans le respect du code du travail et de la jurisprudence et en toute transparence.
Il reste encore 9.000 ménages sur place. Ce retard est dû à la fois aux problèmes d'ordre fonctionnel, mais également d'ordre exogène indépendants de la volonté de la société.
Aujourd'hui, ces problèmes relèvent du passé, apprend-on auprès de Abderrahim Lhassani, directeur de la Sonadac. « Si tous les dossiers ne sont pas encore apurés, l'essentiel est fait : les contentieux lourds sont réglés. La prochaine étape sera l'accélération de l'apurement du foncier du site de l'Avenue Royale corrélé au rythme de la construction de la seconde tranche de Nassim.
Le prochain point à l'ordre du jour sera d'établir, en concertation avec l'autorité locale, la ville et les élus locaux, un planning qui prenne en considération les éléments juridiques, humains, techniques et financiers de cette partie.
Il est à signaler que Sonadac a revalorisé l'indemnité accordée aux familles recensées sur le site de l'Avenue Royale. Celle-ci pourra constituer l'apport initial dans l'acquisition d'un appartement à Nassim, comme elle pourra être versée entre les mains du bénéficiaire selon son choix. Il sera
libre, alors, d'en disposer à sa guise. Concernant le plan de départ volontaire, M. Lhassani affirme qu'il existe des inadéquations entre les profils et les besoins de la société conformément aux conclusions d'une étude portant sur un bilan des compétences de l'ensemble du personnel et une autre portant sur la refonte de l'organigramme. Ainsi, sur une liste de 52 personnes concernées par ce départ, 34 ont adhéré au plan, a-t-il précisé. et d'ajouter que tous les salariés qui ont souscrit au plan de départ ont été intégralement et légalement indemnisés dans le respect du code du travail et de la jurisprudence et en toute transparence.
