Elle est surtout un vecteur de changement. Dans ce sens, ‘'l'homme des grands chantiers'' a voulu satisfaire les préoccupations majeures que partagent les Mellalis: l'amélioration de la vie quotidienne et la vision pour le développement durable.
Le wali de la région, Mohamed Dardouri, agit donc avec fermeté pour réaliser certains projets.
Qui aurait pu penser qu'un terrain donnant lieu à des convoitises pour certains opérateurs, en mal de spéculation, allait se transformer en un parc de loisirs et de détente pour les habitants de la ville? Personne… Pourtant, la wilaya est intervenue pour rendre à la ville ce qu'elle a perdu de son domaine qui était exploité de manière anarchique.
Espérant donc que cette fermeté affichée par les autorités puisse accompagner jusqu'au bout ‘'l'opération urbanistique douteuse'' du lotissement «Ryad Es Salam», qui a suscité de vives contestations pour mettre fin aux envies des réfractaires, qui laissent prétendre que la tempête est passagère, dans le respect des règlements et du droit.
L'inauguration officielle de ce parc, qui s'étend sur une superficie de 1.935 m2 et dont les travaux auraient nécessité près de 500 millions de centimes, a eu lieu dernièrement.
Une zone harmonieuse et agréable qui réconcilie environnement urbain et qualité de vie, particulièrement à proximité de certains quartiers (Schira, Aït Tislit, la grande casbah…).
Un jardin qui pousse à l'admiration. Encore faut-il le doter de nouvelles structures telles que l'installation de moyens de jeux pour enfants, d'un système d'arrosage automatique...
Ceci dit, le jardin du quartier Aït Tislit, lui, manifeste une décrépitude où l'entretien et la surveillance y sont quasi absents, à tel point que l'endroit est devenu un repaire des snifeurs de colle et des saoulards et qui se retrouve malheureusement réduit à un état de désolation pour n'avoir bénéficié d'aucune attention de la part de la commune urbaine. Il faut donc agir…pour concrétiser une bonne image de la ville.
Le wali de la région, Mohamed Dardouri, agit donc avec fermeté pour réaliser certains projets.
Qui aurait pu penser qu'un terrain donnant lieu à des convoitises pour certains opérateurs, en mal de spéculation, allait se transformer en un parc de loisirs et de détente pour les habitants de la ville? Personne… Pourtant, la wilaya est intervenue pour rendre à la ville ce qu'elle a perdu de son domaine qui était exploité de manière anarchique.
Espérant donc que cette fermeté affichée par les autorités puisse accompagner jusqu'au bout ‘'l'opération urbanistique douteuse'' du lotissement «Ryad Es Salam», qui a suscité de vives contestations pour mettre fin aux envies des réfractaires, qui laissent prétendre que la tempête est passagère, dans le respect des règlements et du droit.
L'inauguration officielle de ce parc, qui s'étend sur une superficie de 1.935 m2 et dont les travaux auraient nécessité près de 500 millions de centimes, a eu lieu dernièrement.
Une zone harmonieuse et agréable qui réconcilie environnement urbain et qualité de vie, particulièrement à proximité de certains quartiers (Schira, Aït Tislit, la grande casbah…).
Un jardin qui pousse à l'admiration. Encore faut-il le doter de nouvelles structures telles que l'installation de moyens de jeux pour enfants, d'un système d'arrosage automatique...
Ceci dit, le jardin du quartier Aït Tislit, lui, manifeste une décrépitude où l'entretien et la surveillance y sont quasi absents, à tel point que l'endroit est devenu un repaire des snifeurs de colle et des saoulards et qui se retrouve malheureusement réduit à un état de désolation pour n'avoir bénéficié d'aucune attention de la part de la commune urbaine. Il faut donc agir…pour concrétiser une bonne image de la ville.
