Mais le visuel est également un type de discours et le comportement d'une personne est ce qu'on appelle son langage corporel, lequel est depuis quelques années étudié par la psychologie. On parle aujourd'hui de morphogestuelle pour décrire l'étude de la façon qu'ont les gens de se tenir ou de se mouvoir. Ainsi, gestes, mimiques ou tics peuvent être indicateurs de la pensée. Aussi, apprenez à gérer votre gestuelle dans les moments critiques que sont par exemple un entretien professionnel ou un premier rendez-vous amoureux.
Il y a ce qu'on appelle le langage corporel positif : si vous ne dites rien, votre corps parle pour vous.Votre attirance pour quelqu'un peut se lire rien qu'à la manière dont vos pieds s'orientent vers cette personne. Au travail, une démarche rapide démontre un certain aplomb, un appétit de la vie et une ambition imparable. Avoir la tête haute, ainsi que les épaules et une posture droite reflète une attitude proactive, sûre de soi, la pertinence de votre présence dans un espace social donné : être bien dans sa tête, c'est être en accord avec son corps d'abord.
Lorsque vous vous présentez à quelqu'un, rappelez vous cette phrase clé attribuée à Mademoiselle Coco Chanel : «on n'a jamais deux fois l'occasion de faire une première impression.» Aussi, pour que cette impression soit bonne, regardez votre interlocuteur droit dans les yeux (un regard fuyant est considéré comme lâche), serrez lui la main fermement, sans pour autant la lui broyer : la poignée de main, molle ou moite, va révéler votre mal-être ou votre manque de fougue. Plantez-vous bien dans le sol pour garantir l'équilibre et un ancrage dans la situation. Etre en place permet d'être justement à sa place.
En corollaire, il existe un langage corporel négatif qu'il faut éviter. Traîner des pieds en marchant lentement et la tête basse démontre une léthargie qui sera mal venue si vous commencez un nouveau job. Un peu de dynamisme, que diable ! Même assis, vous pouvez avoir l'air hostile : bras et jambes croisés font que vous n'êtes pas littéralement ouvert, et ainsi prostré, vous êtes comme apeuré par autrui. Les mains dans les poches suggèrent une envie de rester tranquille avec soi-même ou peut-être avez-vous quelque chose à cacher ? L'orientation du regard est significative : si vous ne pouvez vous empêcher de regarder par la fenêtre, c'est que vous préférez vous intéresser à ce qui se passe dehors, un manque de respect flagrant envers votre interlocuteur.
Se ronger les ongles, se toucher les cheveux sont autant de marques d'anxiété, de manque de maturité et de besoin de se rassurer : en régressant ainsi, vous devenez votre propre doudou, seulement en réunion avec Big Boss, l'inadéquation de cette attitude avec la situation risque de vous porter préjudice. Dans un autre registre, fumer trop de cigarettes ne calme pas le stress mais ne fait que le révéler.
Toutefois, si le comportement d'une personne possède une incidence évidente sur son interlocuteur, on est en droit de se demander s'il reflète fidèlement son état psychologique.
Pour mémoire, Freud, avec l'intelligence qu'on lui connaît, était aussi réputé pour être un « handicapé» social.
Il y a ce qu'on appelle le langage corporel positif : si vous ne dites rien, votre corps parle pour vous.Votre attirance pour quelqu'un peut se lire rien qu'à la manière dont vos pieds s'orientent vers cette personne. Au travail, une démarche rapide démontre un certain aplomb, un appétit de la vie et une ambition imparable. Avoir la tête haute, ainsi que les épaules et une posture droite reflète une attitude proactive, sûre de soi, la pertinence de votre présence dans un espace social donné : être bien dans sa tête, c'est être en accord avec son corps d'abord.
Lorsque vous vous présentez à quelqu'un, rappelez vous cette phrase clé attribuée à Mademoiselle Coco Chanel : «on n'a jamais deux fois l'occasion de faire une première impression.» Aussi, pour que cette impression soit bonne, regardez votre interlocuteur droit dans les yeux (un regard fuyant est considéré comme lâche), serrez lui la main fermement, sans pour autant la lui broyer : la poignée de main, molle ou moite, va révéler votre mal-être ou votre manque de fougue. Plantez-vous bien dans le sol pour garantir l'équilibre et un ancrage dans la situation. Etre en place permet d'être justement à sa place.
En corollaire, il existe un langage corporel négatif qu'il faut éviter. Traîner des pieds en marchant lentement et la tête basse démontre une léthargie qui sera mal venue si vous commencez un nouveau job. Un peu de dynamisme, que diable ! Même assis, vous pouvez avoir l'air hostile : bras et jambes croisés font que vous n'êtes pas littéralement ouvert, et ainsi prostré, vous êtes comme apeuré par autrui. Les mains dans les poches suggèrent une envie de rester tranquille avec soi-même ou peut-être avez-vous quelque chose à cacher ? L'orientation du regard est significative : si vous ne pouvez vous empêcher de regarder par la fenêtre, c'est que vous préférez vous intéresser à ce qui se passe dehors, un manque de respect flagrant envers votre interlocuteur.
Se ronger les ongles, se toucher les cheveux sont autant de marques d'anxiété, de manque de maturité et de besoin de se rassurer : en régressant ainsi, vous devenez votre propre doudou, seulement en réunion avec Big Boss, l'inadéquation de cette attitude avec la situation risque de vous porter préjudice. Dans un autre registre, fumer trop de cigarettes ne calme pas le stress mais ne fait que le révéler.
Toutefois, si le comportement d'une personne possède une incidence évidente sur son interlocuteur, on est en droit de se demander s'il reflète fidèlement son état psychologique.
Pour mémoire, Freud, avec l'intelligence qu'on lui connaît, était aussi réputé pour être un « handicapé» social.
