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Légère inflexion du côté de la place casablancaise. Après le calme plat de lundi dernier, la Bourse des valeurs a clôturé, hier mardi, en légère hausse, les deux baromètres Masi et Madex ayant affiché respectivement des gains de 0,06 % à 13.706.66 points et 0.10 % à 11. 330.68 points. Des volumes assez consistants ont transité par le marché officiel qui a réalisé un chiffre d'affaires dépassant allégrement la barre des 541,40 MDH. Au niveau des valeurs à la une, la SNEP a brassé 70 MDH et Addoha 68,02 MDH. Maroc Telecom, qui a généré 46 MDH, a été suivi par Managem et la SNI qui ont rapporté 40,62 MDH et 21,20 MDH respectivement. La capitalisation boursière est ressortie en fin de journée à plus de 635,47 MMDH.
A noter que le marché du gré à gré a engrangé plus de 72,14 MDH, 40.080 actions de Cosumar ayant changé de mains au cours unitaire de 900 DH. Toujours à propos de cette société, à signaler que dans le cadre de son plan « Indimaj 2012 », celle-ci vient d'injecter 120 MDH dans le capital de sa filiale Suta. Ce même plan prévoit l'intégration des ex-sucreries publiques acquises en 2005 pour une enveloppe de 1,3 MMDH, constituant le principal axe stratégique de Cosumar. Parallèlement à cela, cette dernière chercherait à se positionner sur le marché ouest-africain principalement par une éventuelle prise de participation dans la Compagnie sucrière du Sénégal.
Pour ce qui est des performances de la session, Fénié Brossette a grimpé de 5,90% à 610 DH et la minière Managem a gagné 2,50% à 574 DH. La Lydec, qui a vu son titre se bonifier de 2,36% à 342,90 DH, a été suivie par Cosumar et la SNEP qui se sont appréciés de 2,27% à 900 DH et de 2,21% à 1.390 DH respectivement. En revanche, c'est Fertima qui a signé la plus forte baisse en tombant de 4,18% à 344 DH. Auto Hall a cédé 3,70% à 2.600 DH et Maghreb Oxygène a perdu 3,67% à 236 DH. Le transporteur CTM s'est délesté de 3,58% à 345,20 DH et M2M Group s'est déprécié de 2,39% à 900 DH. En début de semaine, la Bourse casablancaise avait débuté sur un climat d'hésitation avec un Masi en légère baisse de 0,13% et un indice des valeurs les plus liquides ayant reculé de 0,14%.
Leur performance annuelle s'était fixée à 7,90% pour le Masi et à 8,17% pour le Madex. La valorisation globale du marché s'était établie à 634,8 MMDH. Entièrement drainé sur le marché central, le flux transactionnel de la session s'était chiffré à 419 MDH, en appréciation de 17,6% comparativement à vendredi dernier. Pour près de 21% du volume quotidien, SNI avait animé les échanges avec un chiffre d'affaires de M MAD 87,3 MDH, alors que les valeurs Addoha et Maroc Telecom avaient généré des flux respectifs de 55,4 MDH et de 42,9 MDH .
Sur le plan international, le feuilleton « Société Générale » n'est certainement pas à son épilogue. Alors que la polémique continue d'enfler autour de la gigantesque perte de marché de 4,9 milliards d'euros, le gouvernement français craint que la banque française ne fasse l'objet d'une OPA venue de l'étranger... Son cours de Bourse, même s'il a relativement bien résisté la semaine dernière, a en effet été divisé par deux depuis le printemps 2007, ce qui rend la banque vulnérable. Selon « The Observer » et « The Times », le gouvernement aurait ainsi approché deux banques françaises, BNP Paribas et le Crédit Agricole pour leur demander de jouer les « chevaliers blancs » en cas d'OPA étrangère sur leur rivale.
Dans ce cas, les deux banques françaises pourraient se partager les actifs de la Socgen, la première emportant la banque de détail et la seconde la banque d'affaires. On croit savoir aussi que l'espagnole Santander et l'italienne UniCredito pourraient être en train de préparer une offre de l'ordre de 40 milliards d'euros sur la banque française.L'action rebondit fortement en Bourse de Paris sur des rumeurs d'offre de sa grande rivale BNP Paribas, rapportent des traders. Hier mardi, l'action a gagné 7,3% à 76,24 euros, alors que le CAC a progressé de 1,91%. Il y a une rumeur de « bid » de BNP à 92 euros. Ce prix est confirmé par d'autres intervenants.
A noter que le marché du gré à gré a engrangé plus de 72,14 MDH, 40.080 actions de Cosumar ayant changé de mains au cours unitaire de 900 DH. Toujours à propos de cette société, à signaler que dans le cadre de son plan « Indimaj 2012 », celle-ci vient d'injecter 120 MDH dans le capital de sa filiale Suta. Ce même plan prévoit l'intégration des ex-sucreries publiques acquises en 2005 pour une enveloppe de 1,3 MMDH, constituant le principal axe stratégique de Cosumar. Parallèlement à cela, cette dernière chercherait à se positionner sur le marché ouest-africain principalement par une éventuelle prise de participation dans la Compagnie sucrière du Sénégal.
Pour ce qui est des performances de la session, Fénié Brossette a grimpé de 5,90% à 610 DH et la minière Managem a gagné 2,50% à 574 DH. La Lydec, qui a vu son titre se bonifier de 2,36% à 342,90 DH, a été suivie par Cosumar et la SNEP qui se sont appréciés de 2,27% à 900 DH et de 2,21% à 1.390 DH respectivement. En revanche, c'est Fertima qui a signé la plus forte baisse en tombant de 4,18% à 344 DH. Auto Hall a cédé 3,70% à 2.600 DH et Maghreb Oxygène a perdu 3,67% à 236 DH. Le transporteur CTM s'est délesté de 3,58% à 345,20 DH et M2M Group s'est déprécié de 2,39% à 900 DH. En début de semaine, la Bourse casablancaise avait débuté sur un climat d'hésitation avec un Masi en légère baisse de 0,13% et un indice des valeurs les plus liquides ayant reculé de 0,14%.
Leur performance annuelle s'était fixée à 7,90% pour le Masi et à 8,17% pour le Madex. La valorisation globale du marché s'était établie à 634,8 MMDH. Entièrement drainé sur le marché central, le flux transactionnel de la session s'était chiffré à 419 MDH, en appréciation de 17,6% comparativement à vendredi dernier. Pour près de 21% du volume quotidien, SNI avait animé les échanges avec un chiffre d'affaires de M MAD 87,3 MDH, alors que les valeurs Addoha et Maroc Telecom avaient généré des flux respectifs de 55,4 MDH et de 42,9 MDH .
Sur le plan international, le feuilleton « Société Générale » n'est certainement pas à son épilogue. Alors que la polémique continue d'enfler autour de la gigantesque perte de marché de 4,9 milliards d'euros, le gouvernement français craint que la banque française ne fasse l'objet d'une OPA venue de l'étranger... Son cours de Bourse, même s'il a relativement bien résisté la semaine dernière, a en effet été divisé par deux depuis le printemps 2007, ce qui rend la banque vulnérable. Selon « The Observer » et « The Times », le gouvernement aurait ainsi approché deux banques françaises, BNP Paribas et le Crédit Agricole pour leur demander de jouer les « chevaliers blancs » en cas d'OPA étrangère sur leur rivale.
Dans ce cas, les deux banques françaises pourraient se partager les actifs de la Socgen, la première emportant la banque de détail et la seconde la banque d'affaires. On croit savoir aussi que l'espagnole Santander et l'italienne UniCredito pourraient être en train de préparer une offre de l'ordre de 40 milliards d'euros sur la banque française.L'action rebondit fortement en Bourse de Paris sur des rumeurs d'offre de sa grande rivale BNP Paribas, rapportent des traders. Hier mardi, l'action a gagné 7,3% à 76,24 euros, alors que le CAC a progressé de 1,91%. Il y a une rumeur de « bid » de BNP à 92 euros. Ce prix est confirmé par d'autres intervenants.
