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Placé sous le Haut patronage de S.M. le Roi Mohammed VI, cet évènement sera organisé par la Société royale marocaine de gynécologie obstétrique (SRMGO), conjointement avec le 9e congrès de la FEMGO, (Fédération maghrébine de gynécologie obstétrique), créée il y a 10 ans à Tunis. « Beaucoup de travail a été accompli, divers sujets ont été traités mais il reste beaucoup à cette fédération pour égaler ses aînées », souligne le Pr Houcine Maaouni, président de la SRMGO qui, en concertation avec ses confrères, s'est attelé à la tâche pour concocter un programme scientifique riche en thématiques d'actualité.
Forte d'une longue expérience et comme il en fut de coutume pour les précédentes éditions, celle-ci mettra toute la lumière sur les différents angles de cette discipline aux ramifications multiples.
Deux ateliers, en pré-congrès, seront consacrés à deux aspects importants de la gynécologie obstétrique, à savoir l'écho doppler en obstétrique et les plasties mammaires. « Les thèmes choisis pour cette manifestation traduisent le souci du bureau d'apporter à nos confrères des mises au point actualisées », justifie, le Pr Maaouni. Aussi, la session maghrébine se penchera sur les cancers du sein et passera au crible les traumatismes périnéaux liés à l'accouchement et ses séquelles. Les débats qui s'en suivrent permettront aux différents spécialistes de partager leurs expériences et de se tenir au courant des actualités thérapeutiques de chaque pays. L'accent sera, en revanche, mis sur la nécessité de mener des actions de sensibilisation et de dépistage à grande échelle pour lutter contre les cancers gynécologiques.
Car, actuellement, des vaccins sont disponibles sur le marché. Ils sont à même de renforcer le volet prévention et de compléter les stratégies de dépistage et les politiques de sensibilisation et d'information. «Cette vaccination (thème d'un symposium) représente un espoir pour diminuer la mortalité et pourra être vulgarisée et envisagée dans le cadre de plans nationaux en plus de dépistage des cancers du col. Et comme stipulé par «l'appel de Rabat » de septembre 2006 lors du symposium international organisé par l'Association Lalla Salma, les associations nationales souscrivent à cet appel», souligne le président de la Société royale marocaine de gynécologie obstétrique.
Les travaux de la 2e journée du congrès démarreront avec une vidéo-forum, pour enchaîner ensuite avec une série de communications qui reviendront sur les principales pathologies reliées à cette discipline. Les intervenants tenteront d'éclairer l'assistance sur les dernières thérapies utilisées dans ce domaine.
Le vendredi, seront traités en détail «La chirurgie gynécologique, les techniques opératoires, les choix tactiques et les résultats, sans oublier les discussions interminables sur les prothèses». Bien entendu, les praticiens maghrébins et européens saisiront cette opportunité pour confronter leurs expériences en matière de Procréation médicale assistée (PMA). Un thème d'une importance capitale, car il est porteur de beaucoup d'espoir.
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«Les objectifs de la dernière stratégie nationale à l'horizon 2012, soulignés récemment par Mme la ministre doivent inciter tout un chacun à s'investir davantage. Dans cette lignée, des symposiums sont organisés en marge de cette manifestation (contraceptions et vaccination HPV)», insiste le Pr Maaouni.
Forte d'une longue expérience et comme il en fut de coutume pour les précédentes éditions, celle-ci mettra toute la lumière sur les différents angles de cette discipline aux ramifications multiples.
Deux ateliers, en pré-congrès, seront consacrés à deux aspects importants de la gynécologie obstétrique, à savoir l'écho doppler en obstétrique et les plasties mammaires. « Les thèmes choisis pour cette manifestation traduisent le souci du bureau d'apporter à nos confrères des mises au point actualisées », justifie, le Pr Maaouni. Aussi, la session maghrébine se penchera sur les cancers du sein et passera au crible les traumatismes périnéaux liés à l'accouchement et ses séquelles. Les débats qui s'en suivrent permettront aux différents spécialistes de partager leurs expériences et de se tenir au courant des actualités thérapeutiques de chaque pays. L'accent sera, en revanche, mis sur la nécessité de mener des actions de sensibilisation et de dépistage à grande échelle pour lutter contre les cancers gynécologiques.
Car, actuellement, des vaccins sont disponibles sur le marché. Ils sont à même de renforcer le volet prévention et de compléter les stratégies de dépistage et les politiques de sensibilisation et d'information. «Cette vaccination (thème d'un symposium) représente un espoir pour diminuer la mortalité et pourra être vulgarisée et envisagée dans le cadre de plans nationaux en plus de dépistage des cancers du col. Et comme stipulé par «l'appel de Rabat » de septembre 2006 lors du symposium international organisé par l'Association Lalla Salma, les associations nationales souscrivent à cet appel», souligne le président de la Société royale marocaine de gynécologie obstétrique.
Les travaux de la 2e journée du congrès démarreront avec une vidéo-forum, pour enchaîner ensuite avec une série de communications qui reviendront sur les principales pathologies reliées à cette discipline. Les intervenants tenteront d'éclairer l'assistance sur les dernières thérapies utilisées dans ce domaine.
Le vendredi, seront traités en détail «La chirurgie gynécologique, les techniques opératoires, les choix tactiques et les résultats, sans oublier les discussions interminables sur les prothèses». Bien entendu, les praticiens maghrébins et européens saisiront cette opportunité pour confronter leurs expériences en matière de Procréation médicale assistée (PMA). Un thème d'une importance capitale, car il est porteur de beaucoup d'espoir.
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Mortalité maternelle
Lors de ce 26e congrès, une session spéciale sera consacrée à la mortalité maternelle. Car en essayant de donner la vie, une femme risque de perdre la sienne. C'est d'ailleurs pour cette raison que les Objectifs du développement pour le Millénaire (ODM), élaborés par les Nations unies, en septembre 2000 et qui sont au nombre de 8, en consacrent quatre à la mère et à l'enfant, comme le précise le Pr Maaouni. Pour sa part, le ministère de la Santé fait de la lutte contre la mortalité maternelle son cheval de bataille.«Les objectifs de la dernière stratégie nationale à l'horizon 2012, soulignés récemment par Mme la ministre doivent inciter tout un chacun à s'investir davantage. Dans cette lignée, des symposiums sont organisés en marge de cette manifestation (contraceptions et vaccination HPV)», insiste le Pr Maaouni.
