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Mais revenons en arrière pour mieux cerner les tenants et aboutissants de cette affaire. Il y a près d'un mois, l'équipe casablancaise qui bataillait sur trois fronts (championnat, Coupe arabe et Coupe du Trône) trébuchait sur le terrain de Houara pour le compte des huitièmes de finale de la Coupe du Trône.
Au-delà du résultat, c'était le score élevé qui avait sidéré les observateurs sportifs. Le grand et légendaire club marocain, locomotive du football national, encaissait un historique 3-1 par une formation de seconde zone.
C'était la goutte qui faisait déborder le vase après la médiocre prestation des «Rouges» en championnat.
Le Wydad était humilié et certain n'y ont pas allé du dos de la cuiller pour stigmatiser les joueurs payés à prix forts et qui ne méritaient guère de porter le maillot du club dont la devise est «Porter le maillot du Wydad est un honneur, le mouiller est un devoir», disaient-ils.
Mais le secrétaire général du WAC, un vieux routier du football national, Maâti Warit, pour ne pas le nommer, avait laissé tout ce beau monde jacasser et travaillait en coulisse pour, enfin, offrir une victoire sur tapis vert à son équipe.
En effet, l'œil vigilant de Warit avait remarqué la présence de l'entraîneur du Chabab Houara à l'intérieur du terrain. Mieux encore, il prenait place sur le banc de touche alors qu'il était suspendu lui et son président.
Aussi bien Lemrini que Moussa El Habza étaient sanctionnés et ne devaient absolument pas être sur le terrain.
Les réserves déposées par le Wydad tiennent donc la route et les Rouges obtiennent gain de cause. Lemrini et El Habza nient avoir été sur le terrain durant la rencontre, mais uniquement avant et après le match. Le Wydad, C.D. à l'appui, affirme le contraire.
La parole revient donc aujourd'hui à la commission d'appel pour le trancher définitivement sur cette affaire et désigner qui de Houara ou du Wydad rencontrera le MAS. Attendons.
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Certains quotidiens ont commenté ces derniers jours par des propos inconvenants voire nihilistes les réserves déposées par le WAC contre le CC Houara, en 8e de finale de la Coupe du Trône.
Le comité du WAC tient à faire savoir à cette catégorie de médias qu'en déposant ces réserves, le WAC aucun acte répréhensible ou blâmable de manière à porter atteinte à l'éthique sportive.
Bien au contraire il a seulement usé d'un droit légitime qui lui est conféré par le règlement en vigueur pour la gestion du football dans notre pays. Par ailleurs, d'autres clubs avant lui ont eu à user de ce droit sans pour autant soulever cet embrasement médiatique ayant entouré les réserves déposées par le WAC.
Par conséquent le WAC, conformément à ses habitudes refuse d'engager une polémique stérile avec ces détracteurs et maintient ses réserves tout en se remettant à la sagesse et à l'équité des instances devant juger ce différend avec l'engagement d'en respecter strictement la sentence ”.
Au-delà du résultat, c'était le score élevé qui avait sidéré les observateurs sportifs. Le grand et légendaire club marocain, locomotive du football national, encaissait un historique 3-1 par une formation de seconde zone.
C'était la goutte qui faisait déborder le vase après la médiocre prestation des «Rouges» en championnat.
Le Wydad était humilié et certain n'y ont pas allé du dos de la cuiller pour stigmatiser les joueurs payés à prix forts et qui ne méritaient guère de porter le maillot du club dont la devise est «Porter le maillot du Wydad est un honneur, le mouiller est un devoir», disaient-ils.
Mais le secrétaire général du WAC, un vieux routier du football national, Maâti Warit, pour ne pas le nommer, avait laissé tout ce beau monde jacasser et travaillait en coulisse pour, enfin, offrir une victoire sur tapis vert à son équipe.
En effet, l'œil vigilant de Warit avait remarqué la présence de l'entraîneur du Chabab Houara à l'intérieur du terrain. Mieux encore, il prenait place sur le banc de touche alors qu'il était suspendu lui et son président.
Aussi bien Lemrini que Moussa El Habza étaient sanctionnés et ne devaient absolument pas être sur le terrain.
Les réserves déposées par le Wydad tiennent donc la route et les Rouges obtiennent gain de cause. Lemrini et El Habza nient avoir été sur le terrain durant la rencontre, mais uniquement avant et après le match. Le Wydad, C.D. à l'appui, affirme le contraire.
La parole revient donc aujourd'hui à la commission d'appel pour le trancher définitivement sur cette affaire et désigner qui de Houara ou du Wydad rencontrera le MAS. Attendons.
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Communiqué du WAC
Le comité du Wydad vient de nous adresser le communiqué suivant :Certains quotidiens ont commenté ces derniers jours par des propos inconvenants voire nihilistes les réserves déposées par le WAC contre le CC Houara, en 8e de finale de la Coupe du Trône.
Le comité du WAC tient à faire savoir à cette catégorie de médias qu'en déposant ces réserves, le WAC aucun acte répréhensible ou blâmable de manière à porter atteinte à l'éthique sportive.
Bien au contraire il a seulement usé d'un droit légitime qui lui est conféré par le règlement en vigueur pour la gestion du football dans notre pays. Par ailleurs, d'autres clubs avant lui ont eu à user de ce droit sans pour autant soulever cet embrasement médiatique ayant entouré les réserves déposées par le WAC.
Par conséquent le WAC, conformément à ses habitudes refuse d'engager une polémique stérile avec ces détracteurs et maintient ses réserves tout en se remettant à la sagesse et à l'équité des instances devant juger ce différend avec l'engagement d'en respecter strictement la sentence ”.
