Après la prière du mort à la mosquée du cimetière, M. Moatassim a donné lecture au message de condoléances et de compassion adressé par S.M. le Roi Mohammed VI aux membres de la famille de feu Mohamed El Habib Al Fourkani, dans lequel le Souverain exprime ses condoléances et sa compassion suite au décès de ce grand militant et homme de lettres. Ont également pris part à ces funérailles, plusieurs membres du gouvernement, le Haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération, le wali de la région du Grand Casablanca, les autorités locales, des membres de l'Union socialiste des forces populaires (USFP), des représentants de partis politiques, des personnalités du monde de la culture et des médias, ainsi que les amis et les membres de la famille du regretté.
Des prières ont été élevées implorant le Très-Haut d'accueillir le défunt en Son vaste paradis parmi ceux qu'Il gratifie de Ses incommensurables bienfaits.
Figure emblématique du Mouvement national, feu Al Fourkani est né en 1922 à Tahannaout, dans la région de Marrakech. Durant les années 1940-41 il avait fait des études à l'école Ben Youssef de Marrakech où il a rejoint le Mouvement national en 1943. Al Fourkani était retourné en 1948 à son village natal où il s'était distingué par ses causeries et conférences sur la pensée et l'histoire de l'Islam, qu'il donnait à la mosquée locale, en veillant à mettre l'accent sur la lutte pour la défense de la patrie.
De retour à Marrakech, il avait occupé les fonctions de directeur d'école privée et lancé la publication de la revue "Majallat Al-Adib'' (revue des lettres) avant d'accéder à la direction du journal "Al-Mouharrir''. Membre de l'Union des écrivains du Maroc depuis 1961, ses premières publications remontent à 1942 dans le journal "At-Taqaddoum'' (Progrès). Homme politique, poète, écrivain et chercheur en histoire, il est l'auteur de nombreux articles de presse et d'écrits de valeur, dont deux recueils de poésie "Noujoum fi Yadi" (étoile entre mes mains-1965) et "Doukhan min Al-Azmina Al-Mohtariqa'' (fumée des temps incandescents).Elu député en 1984, il avait été membre du bureau politique de l'USFP entre 1978 et 2002, année au cours de laquelle il avait quitté le parti.
Des prières ont été élevées implorant le Très-Haut d'accueillir le défunt en Son vaste paradis parmi ceux qu'Il gratifie de Ses incommensurables bienfaits.
Figure emblématique du Mouvement national, feu Al Fourkani est né en 1922 à Tahannaout, dans la région de Marrakech. Durant les années 1940-41 il avait fait des études à l'école Ben Youssef de Marrakech où il a rejoint le Mouvement national en 1943. Al Fourkani était retourné en 1948 à son village natal où il s'était distingué par ses causeries et conférences sur la pensée et l'histoire de l'Islam, qu'il donnait à la mosquée locale, en veillant à mettre l'accent sur la lutte pour la défense de la patrie.
De retour à Marrakech, il avait occupé les fonctions de directeur d'école privée et lancé la publication de la revue "Majallat Al-Adib'' (revue des lettres) avant d'accéder à la direction du journal "Al-Mouharrir''. Membre de l'Union des écrivains du Maroc depuis 1961, ses premières publications remontent à 1942 dans le journal "At-Taqaddoum'' (Progrès). Homme politique, poète, écrivain et chercheur en histoire, il est l'auteur de nombreux articles de presse et d'écrits de valeur, dont deux recueils de poésie "Noujoum fi Yadi" (étoile entre mes mains-1965) et "Doukhan min Al-Azmina Al-Mohtariqa'' (fumée des temps incandescents).Elu député en 1984, il avait été membre du bureau politique de l'USFP entre 1978 et 2002, année au cours de laquelle il avait quitté le parti.
