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L'ancien président français Jacques Chirac a dévoilé les objectifs de la Fondation pour le développement durable et le dialogue, qui sera lancée lundi au Musée du quai Braly à Paris, dans un entretien publié vendredi dans le journal « Le Figaro », le premier qu'il accorde à la presse écrite depuis son départ de l'Elysée. «Avec la Fondation que je viens de créer, depuis mars, je mène en toute liberté les combats qui ont toujours été les miens, les combats pour le respect, pour le dialogue des cultures, pour le développement durable», explique l'ancien locataire de l'Elysée, soulignant qu'il veut aviver et réveiller les consciences et agir concrètement sur le terrain, à travers la création de cette nouvelle structure.
Cette Fondation aura pour priorités l'accès à l'eau et aux médicaments de qualité, la lutte contre la déforestation et la désertification et la sauvegarde des langues et des cultures menacées, a-t-il expliqué, relevant que son objectif est qu'elle prenne suffisamment d'importance matérielle et d'autorité morale pour pouvoir compter dans ces domaines.
Concernant les actions concrètes qu'il va mener, l'ancien président français a indiqué que les premières réalisations de la Fondation concernent notamment l'accès à l'eau au Sénégal et au Mali, avec le soutien qu'elle apporte à la Banque africaine de développement (BAD), l'extension du laboratoire du contrôle de la qualité des médicaments au Bénin et la protection de la forêt du bassin du Congo, la deuxième du monde. «Les premiers projets sont en Afrique dans les domaines où il y a urgence. Mais la Fondation à vocation à intervenir partout dans le monde», a-t-il dit, précisant que cette Fondation sera financée uniquement par des fonds privés provenant de grandes entreprises françaises et des contributions venant de l'étranger.
Plusieurs personnalités, ardents militants du dialogue et de la paix, composent le comité d'honneur de cette Fondation présidée par l'ancien président français. Y figurent notamment, Fernando Henrique Cardoso, ancien président du Brésil, Joaquim Alberto Chissano, ancien président du Mozambique, Abdou Diouf, ancien président du Sénégal, Ely Ould Mohamed Vall, ancien Chef de l'Etat mauritanien, Kofi Annan, ancien secrétaire général de l'ONU, Federico Mayor, ancien directeur général de l'Unesco et Jean Chrétien, ancien Premier ministre du Canada.
Cette Fondation aura pour priorités l'accès à l'eau et aux médicaments de qualité, la lutte contre la déforestation et la désertification et la sauvegarde des langues et des cultures menacées, a-t-il expliqué, relevant que son objectif est qu'elle prenne suffisamment d'importance matérielle et d'autorité morale pour pouvoir compter dans ces domaines.
Concernant les actions concrètes qu'il va mener, l'ancien président français a indiqué que les premières réalisations de la Fondation concernent notamment l'accès à l'eau au Sénégal et au Mali, avec le soutien qu'elle apporte à la Banque africaine de développement (BAD), l'extension du laboratoire du contrôle de la qualité des médicaments au Bénin et la protection de la forêt du bassin du Congo, la deuxième du monde. «Les premiers projets sont en Afrique dans les domaines où il y a urgence. Mais la Fondation à vocation à intervenir partout dans le monde», a-t-il dit, précisant que cette Fondation sera financée uniquement par des fonds privés provenant de grandes entreprises françaises et des contributions venant de l'étranger.
Plusieurs personnalités, ardents militants du dialogue et de la paix, composent le comité d'honneur de cette Fondation présidée par l'ancien président français. Y figurent notamment, Fernando Henrique Cardoso, ancien président du Brésil, Joaquim Alberto Chissano, ancien président du Mozambique, Abdou Diouf, ancien président du Sénégal, Ely Ould Mohamed Vall, ancien Chef de l'Etat mauritanien, Kofi Annan, ancien secrétaire général de l'ONU, Federico Mayor, ancien directeur général de l'Unesco et Jean Chrétien, ancien Premier ministre du Canada.
