Durant quatre jours, la ville va vibrer aux rythmes endiablés du swing latin, de la salsa, du tango et de la samba… l'automne s'avère bien chaud cette année à Tanger.
Organisé par la Fondation Lorin, le festival réunit pour cette première édition une pléiade d'artistes venant des quatre coins des Amériques. De grands noms qui serviront au public une musique variée aux arômes bien différents. Un menu susceptible de satisfaire les goûts les plus différents. Formations ou solistes, le programme promet bien des moments forts.
A commencer par la diva Yolanda «la Duke» nous venant directement de New York, une voix sublime et un charisme artistique à en couper le souffle. Yolanda qui a dompté la plupart des styles latinos de la salsa au tango en passant par les balades et autres boléros, compte à son actif une dizaine d'albums à succès. Aussi talentueuse que prolifique, elle viendra partager sa passion avec le public le temps d'un concert, celui de la clôture. Une autre voix féminine et qui n'est pas moins impressionnante sera de la fête : Marcia Grandini. Brésilienne de souche et native de São Paulo, la petite Marcia a passé son enfance au contact de la nature. De cette époque, elle hérite d'un frais caractère spontané et expressif. Plus tard, sa musique et son chant seront à l'image de cette personnalité attachante.
Energétiques et débordantes de vie, ses multiples chansons sont l'expression de son héritage brésilien et sa polyvalence artistique. Marcia a démarré sa carrière de chanteuse en 1993. Son répertoire se compose de chansons originales et de reprises arrangées et interprétées de façon personnalisée. Dans un concert de Marcia, pas question de rester sage sur sa chaise, c'est une invitation alléchante à danser, à bouger, bref à vivre pleinement cette musique colorée.
Sur un autre registre, la formation «Peaux rouges Bateria» ravira par l'entrain de ses percussions afro-brésiliennes. Cette tribu d'artistes propose un univers musical aux allures métisses d'inspirations brésilienne, africaine, cubaine et antillaise. Une musique originale faite de rencontres et de mélanges subtils des différentes influences qui ont façonné le style des «peaux rouges». Ambiance festive et conviviale garantie avec ces diables bien dynamiques et entraînants.
Pour les «Conjunto Massalia”, ça sera un plaisir de célébrer avec eux leur quinzième anniversaire en tant que formation et de partager le fruit d'une expérience artistique des plus riches. Des concerts dans toute la France et à l'étranger, des scènes partagées avec les plus grands noms tels Ray Barreto, Yuri Buenaventura et Sierra Maestra, les membres de «Conjunto Massalia» inviteront leur public à déguster la joie de vivre en chantant et en dansant sur les rythmes des «coros». Que d'ambiances et de styles pour ce premier rendez-
vous bien prometteur. Avis aux amateurs !
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Musique vivante, savoureuse et sensuelle, la Cumbia sait mêler swing et fraîcheur. Les dix musiciens, issus à l'origine d'une association d'amoureux des musiques latines, proposent un répertoire varié. Ce dernier est composé de mélodies traditionnelles modernisées dans le respect d'un héritage ancestral. Et qui dit latino, dit musique cubaine. L'événement n'oublie pas d'inviter ses ambassadeurs en la personne du groupe «Son IYA» qui nous entraîne au c?ur de La Havane et de sa fertilité artistique.
Issu de la scène jazz et cubaine du sud de la France, «Son Iya» propose un dépaysement tout en beauté. Sur le même registre mais avec une touche plus originale, le «Havana Chic» offre une animation raffinée avec un son acoustique rappelant les clubs cubains des années 30 à 50. Une ambiance rétro et harmonieuse mariant effets visuels et musicaux pour régaler les plus nostalgiques.
Organisé par la Fondation Lorin, le festival réunit pour cette première édition une pléiade d'artistes venant des quatre coins des Amériques. De grands noms qui serviront au public une musique variée aux arômes bien différents. Un menu susceptible de satisfaire les goûts les plus différents. Formations ou solistes, le programme promet bien des moments forts.
A commencer par la diva Yolanda «la Duke» nous venant directement de New York, une voix sublime et un charisme artistique à en couper le souffle. Yolanda qui a dompté la plupart des styles latinos de la salsa au tango en passant par les balades et autres boléros, compte à son actif une dizaine d'albums à succès. Aussi talentueuse que prolifique, elle viendra partager sa passion avec le public le temps d'un concert, celui de la clôture. Une autre voix féminine et qui n'est pas moins impressionnante sera de la fête : Marcia Grandini. Brésilienne de souche et native de São Paulo, la petite Marcia a passé son enfance au contact de la nature. De cette époque, elle hérite d'un frais caractère spontané et expressif. Plus tard, sa musique et son chant seront à l'image de cette personnalité attachante.
Energétiques et débordantes de vie, ses multiples chansons sont l'expression de son héritage brésilien et sa polyvalence artistique. Marcia a démarré sa carrière de chanteuse en 1993. Son répertoire se compose de chansons originales et de reprises arrangées et interprétées de façon personnalisée. Dans un concert de Marcia, pas question de rester sage sur sa chaise, c'est une invitation alléchante à danser, à bouger, bref à vivre pleinement cette musique colorée.
Sur un autre registre, la formation «Peaux rouges Bateria» ravira par l'entrain de ses percussions afro-brésiliennes. Cette tribu d'artistes propose un univers musical aux allures métisses d'inspirations brésilienne, africaine, cubaine et antillaise. Une musique originale faite de rencontres et de mélanges subtils des différentes influences qui ont façonné le style des «peaux rouges». Ambiance festive et conviviale garantie avec ces diables bien dynamiques et entraînants.
Pour les «Conjunto Massalia”, ça sera un plaisir de célébrer avec eux leur quinzième anniversaire en tant que formation et de partager le fruit d'une expérience artistique des plus riches. Des concerts dans toute la France et à l'étranger, des scènes partagées avec les plus grands noms tels Ray Barreto, Yuri Buenaventura et Sierra Maestra, les membres de «Conjunto Massalia» inviteront leur public à déguster la joie de vivre en chantant et en dansant sur les rythmes des «coros». Que d'ambiances et de styles pour ce premier rendez-
vous bien prometteur. Avis aux amateurs !
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Viva latina !
La musique populaire colombienne aura son mot à «chanter» lors de cette grand-messe. Ainsi, les musiciens de «Cumbia Chicharra» rapprocheront le public marocain du style le plus connu et le plus pratiqué sur le continent sud-américain : le Cumbia. Ce dernier est un héritage partagé de plusieurs cultures et ethnies musicales, africaine, espagnole et indienne.Musique vivante, savoureuse et sensuelle, la Cumbia sait mêler swing et fraîcheur. Les dix musiciens, issus à l'origine d'une association d'amoureux des musiques latines, proposent un répertoire varié. Ce dernier est composé de mélodies traditionnelles modernisées dans le respect d'un héritage ancestral. Et qui dit latino, dit musique cubaine. L'événement n'oublie pas d'inviter ses ambassadeurs en la personne du groupe «Son IYA» qui nous entraîne au c?ur de La Havane et de sa fertilité artistique.
Issu de la scène jazz et cubaine du sud de la France, «Son Iya» propose un dépaysement tout en beauté. Sur le même registre mais avec une touche plus originale, le «Havana Chic» offre une animation raffinée avec un son acoustique rappelant les clubs cubains des années 30 à 50. Une ambiance rétro et harmonieuse mariant effets visuels et musicaux pour régaler les plus nostalgiques.
