Connexion
Pour ceux qui s'intéressent aux arts plastiques dans la capitale du Souss, à son état présent, à son devenir, ils n'auront qu'à se rendre à la prochaine exposition de l'artiste plasticien Abdelaziz Lourharaz qui, roulant de forme en forme et continuant sa poursuite inlassable à travers mille symboles, de la vie en action, du dynamisme de la vie, sûrement il va vous émerveiller par un art heureux, apaisé, où passe, cependant, un frémissement continu traduisant la vive émotion personnelle.
Un art raffiné, attentif aux effets de lumière, au jeu des lignes, à l'allongement des formes et à la magie de la couleur.
En somme, rien d'académique ni d'artificiel, mais au contraire une grande audace, une vigueur, une impétuosité chez ce virtuose du pinceau, qui excelle aussi bien dans le merveilleux domaine de la bande dessinée que dans la caricature où il montre, souvent, une finesse pour tout ce qui est conventionnel.
En me rendant, récemment, à l'atelier de cet artiste plasticien natif de Youssoufia, que j'ai eu le plaisir de révéler, en 1996, au public Soussi, je fus ému et séduit par ses étoiles qui perforent le rempart du silence pour un renouvellement de l'esthétique. Des tableaux qui forcent l'estime et l'admiration tant tout y respecte le mystère quotidien. Tout ? Le monde réel, le monde imaginaire, l'inspiration sacrée, le triomphe de la beauté, l'inquiétude moderne. Un tout remarquable de mesure, d'équilibre, d'harmonie, de goût, où l'esprit trouve sans cesse, à rêver, à réfléchir, allant et venant de l'un à l'autre des sujets traités.
L'extraordinaire avec cet enseignant des arts plastiques au Collège Ben Chekroun, qui nous a émerveillés aussi par ses talents de calligraphe et de portraitiste, c'est que même quand il revient à des sujets traités par lui, il semble, tant il renouvelle ses inventions, les peindre pour la première fois. Résultat : à l'heure où beaucoup de peintres fatiguent leurs œuvres, les siennes, de plus en plus fidèles à la vivacité, l'imprévu, à la fraîcheur de l'impression première, rajeunissent. Car, qu'il s'agit du figuratif, de l'impressionnisme ou de l'abstrait, la maîtrise du pinceau et toujours là, rayonnante.
La grande part de l'âme aussi : pouvoir et charme d'un grand artiste plasticien plein d'idées hardies, qui sait dépenser avec autant d'ardeur les richesses de son cœur et de son âme.
Voilà, pourquoi, je suis persuadé et convaincu qu'avec sa prochaine exposition, Abdelaziz Lourharaz va crever l'écran.
Un art raffiné, attentif aux effets de lumière, au jeu des lignes, à l'allongement des formes et à la magie de la couleur.
En somme, rien d'académique ni d'artificiel, mais au contraire une grande audace, une vigueur, une impétuosité chez ce virtuose du pinceau, qui excelle aussi bien dans le merveilleux domaine de la bande dessinée que dans la caricature où il montre, souvent, une finesse pour tout ce qui est conventionnel.
En me rendant, récemment, à l'atelier de cet artiste plasticien natif de Youssoufia, que j'ai eu le plaisir de révéler, en 1996, au public Soussi, je fus ému et séduit par ses étoiles qui perforent le rempart du silence pour un renouvellement de l'esthétique. Des tableaux qui forcent l'estime et l'admiration tant tout y respecte le mystère quotidien. Tout ? Le monde réel, le monde imaginaire, l'inspiration sacrée, le triomphe de la beauté, l'inquiétude moderne. Un tout remarquable de mesure, d'équilibre, d'harmonie, de goût, où l'esprit trouve sans cesse, à rêver, à réfléchir, allant et venant de l'un à l'autre des sujets traités.
L'extraordinaire avec cet enseignant des arts plastiques au Collège Ben Chekroun, qui nous a émerveillés aussi par ses talents de calligraphe et de portraitiste, c'est que même quand il revient à des sujets traités par lui, il semble, tant il renouvelle ses inventions, les peindre pour la première fois. Résultat : à l'heure où beaucoup de peintres fatiguent leurs œuvres, les siennes, de plus en plus fidèles à la vivacité, l'imprévu, à la fraîcheur de l'impression première, rajeunissent. Car, qu'il s'agit du figuratif, de l'impressionnisme ou de l'abstrait, la maîtrise du pinceau et toujours là, rayonnante.
La grande part de l'âme aussi : pouvoir et charme d'un grand artiste plasticien plein d'idées hardies, qui sait dépenser avec autant d'ardeur les richesses de son cœur et de son âme.
Voilà, pourquoi, je suis persuadé et convaincu qu'avec sa prochaine exposition, Abdelaziz Lourharaz va crever l'écran.
