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Cette projection se déroulera conjointement avec la participation musicale spéciale de la fadiste Cuca Roseta qui agrémentera le spectacle cinématographique. Cette projection est organisée par l'ambassade du Portugal et l'Association maroco-portugaise des affaires (AMPA), dans le cadre de la Semaine portugaise au Maroc du 7 au 14 juin.
Le film «Fados» fait partie de la trilogie lyrique qui comprend «Flamenco», réalisé en 1995 et «Tango» en 1998. Il représente l'identité musicale du peuple portugais, parce qu'il plonge ses racines dans un patrimoine nostalgique. «Fados», c'est aussi un hommage aux quartiers urbains de Lisbonne d'où est partie la musique. Il fait aujourd'hui partie de la musique prisée et constitue l'un des piliers de la culture moderne portugaise.
Si Carlos Saura a décidé de nous restituer, sous forme de film, cet héritage, c'est en quelque sorte pour souligner la complémentarité d'une Europe du Sud qui trace son axe de Lisbonne à Madrid et à Séville. Le fado n'est plus resté le symbole de la tradition, parce qu'il a été revisité et inscrit dans la modernité et élevé au niveau d'un art majeur. Il symbolise bien sûr le terroir, mais aussi la synthèse vivante d'un brassage culturel africain et brésilien.
Le public casablancais est ainsi plongé dans le fin fond d'une tradition musicale riche et significative du Portugal actuel. Et la composition du film est, à elle seule, tout un programme. On y trouve les célébrités comme Mariza, Carlos do Carmo, Camané, Lila Downs, Lura, Caetano Veloso et surtout Cuca Roseta qui a littéralement conquis le public et les critiques cinématographiques spécialisés. Le film Fados est un chef-d'œuvre de Carlos Sauta, dont le penchant pour la musique est devenu notoire.
Le film «Fados» fait partie de la trilogie lyrique qui comprend «Flamenco», réalisé en 1995 et «Tango» en 1998. Il représente l'identité musicale du peuple portugais, parce qu'il plonge ses racines dans un patrimoine nostalgique. «Fados», c'est aussi un hommage aux quartiers urbains de Lisbonne d'où est partie la musique. Il fait aujourd'hui partie de la musique prisée et constitue l'un des piliers de la culture moderne portugaise.
Si Carlos Saura a décidé de nous restituer, sous forme de film, cet héritage, c'est en quelque sorte pour souligner la complémentarité d'une Europe du Sud qui trace son axe de Lisbonne à Madrid et à Séville. Le fado n'est plus resté le symbole de la tradition, parce qu'il a été revisité et inscrit dans la modernité et élevé au niveau d'un art majeur. Il symbolise bien sûr le terroir, mais aussi la synthèse vivante d'un brassage culturel africain et brésilien.
Le public casablancais est ainsi plongé dans le fin fond d'une tradition musicale riche et significative du Portugal actuel. Et la composition du film est, à elle seule, tout un programme. On y trouve les célébrités comme Mariza, Carlos do Carmo, Camané, Lila Downs, Lura, Caetano Veloso et surtout Cuca Roseta qui a littéralement conquis le public et les critiques cinématographiques spécialisés. Le film Fados est un chef-d'œuvre de Carlos Sauta, dont le penchant pour la musique est devenu notoire.
