Une importante cérémonie pour annoncer le «mariage» entre les deux groupes a été organisée mardi 19 février au siège de BMCE Bank et présidée par Othman Benjelloun et François Enaud. Les deux groupes se sont associés à «50-50%» pour «fournir aux marchés européens et africains en forte croissance des services offshore et onshore de business process et IT outsourcing à haute valeur ajoutée», indique le communiqué commun donné à la presse.
Résultat d'un processus laborieux de discussions, de négociations et de rapprochement dans un domaine nouveau, qui marie la haute technologie et l'ingénierie financière, Steria MedShore pourrait s'apparenter à une belle métaphore de cette Méditerranée moderne en projet, ouverte sur la recherche et les performances. Aujourd'hui, les défis technologiques et financiers sont d'autant plus grands qu'il devient nécessaire de les relever avec les moyens idoines et performants.
L'objectif assigné à cette nouvelle entité a été proclamé par Othman Benjelloun qui, du haut du Forum de BMCE Bank, a souligné que «Steria MedShore» compte «cibler les marchés de la banque, de l'assurance, des télécommunications et de l'administration et, à terme, devenir un prestataire de premier plan dans l'intégration des systèmes informatiques en Afrique». Et d'ajouter que le nouveau groupe, dans un premier temps, compte créer quelque 500 emplois d'ici 2012, en majorité en faveur des ingénieurs et techniciens. FinanceCom apporte «la puissance de son réseau et sa connaissance des marchés régionaux engagés dans des processus de modernisation et d'informatisation». Le groupe Steria, pour sa part, apportera sa «grande expertise dans le processus métiers, de technologies et de processus industriels».
Rappelant que FinanceCom est «présent dans les secteurs clés de l'économie du Maroc : la banque, l'assurance, les télécoms, le transport, le tourisme, la distribution, l'industrie et les NTIC». Othman Benjelloun souligne que le nouveau partenariat doit être perçu «à l'aune des initiatives majeures prises comme la constitution de Finatech Groupe, fédérant une vingtaine d'entreprises spécialisées dans le secteur des NTI, s'élargissant aux métiers complémentaires articulés autour de technologies d'infrastructures de réseaux, des technologies de digitalisation et des technologies interactives». Le président de FinanceCom se réjouit de « partager une même vision du potentiel illimité des NTI pour le présent et l'avenir des deux groupes respectifs. Grâce à Steria MedShore, dit-il, nous disposons désormais d'un levier efficace, devant permettre la diffusion des technologies et des services à valeur ajoutée aux acteurs publics et privés, au Maroc, au Maghreb et ailleurs en Afrique».
Pour sa part, François Enaud, président du groupe Steria, a souligné que le «mariage» entre son groupe et FinanceCom n'est pas dû à un hasard mais à une complémentarité, à la nécessité exprimée par son groupe d'accéder avec des coûts performants aux marchés importants qui se développent dans la région et en Afrique. Le choix de FinanceCom signifie le «meilleur choix» parce que ce groupe se « situe aux sommets » des performances et des exigences. François Enaud a évoqué l'image d'une «aventure humaine» exaltante et de la volonté de partage entre les équipes.
Il a rendu hommage au «président Benjelloun qui, pionnier, a saisi l'opportunité de ce partenariat avec Steria», soulignant enfin que le Maroc, au regard de ses potentialités et des perspectives qu'il offre en matière d'offshoring, compte tenu aussi de sa proximité et des liens culturels et linguistiques, constitue en effet une «alternative à l'Inde». Le groupe FinanceCom poursuit ainsi sa politique d'implantation et de renforcement de sites technologiques. Le partenariat avec Steria complète la création en 2006 de Magshore, il s'inscrit dans le cadre du programme national «Emergence», visant à consolider la compétitivité du Maroc dans ce nouveau secteur porteur.
Il permettra aussi au partenaire français, présent en France, Allemagne, Pologne et en Inde, de compléter son dispositif mondial offshore et nearshore. Ce qui fait dire à son président, polytechnicien et ingénieur des mines à la fois, que «le Maroc se présente comme une alternative à l'Inde, principale zone offshore de Steria depuis l'acquisition de Xansa en 2007.
Son positionnement géographique peut en effet présenter un atout majeur, car le Maroc en lui-même représente un marché potentiel pour lequel certaines offres de Stéria doivent être développées». On ne peut trouver, en effet, meilleure illustration de la confiance qu'inspirent l'économie de notre pays et notre pays lui-même à d'aussi importants et significatifs opérateurs internationaux.
Résultat d'un processus laborieux de discussions, de négociations et de rapprochement dans un domaine nouveau, qui marie la haute technologie et l'ingénierie financière, Steria MedShore pourrait s'apparenter à une belle métaphore de cette Méditerranée moderne en projet, ouverte sur la recherche et les performances. Aujourd'hui, les défis technologiques et financiers sont d'autant plus grands qu'il devient nécessaire de les relever avec les moyens idoines et performants.
L'objectif assigné à cette nouvelle entité a été proclamé par Othman Benjelloun qui, du haut du Forum de BMCE Bank, a souligné que «Steria MedShore» compte «cibler les marchés de la banque, de l'assurance, des télécommunications et de l'administration et, à terme, devenir un prestataire de premier plan dans l'intégration des systèmes informatiques en Afrique». Et d'ajouter que le nouveau groupe, dans un premier temps, compte créer quelque 500 emplois d'ici 2012, en majorité en faveur des ingénieurs et techniciens. FinanceCom apporte «la puissance de son réseau et sa connaissance des marchés régionaux engagés dans des processus de modernisation et d'informatisation». Le groupe Steria, pour sa part, apportera sa «grande expertise dans le processus métiers, de technologies et de processus industriels».
Rappelant que FinanceCom est «présent dans les secteurs clés de l'économie du Maroc : la banque, l'assurance, les télécoms, le transport, le tourisme, la distribution, l'industrie et les NTIC». Othman Benjelloun souligne que le nouveau partenariat doit être perçu «à l'aune des initiatives majeures prises comme la constitution de Finatech Groupe, fédérant une vingtaine d'entreprises spécialisées dans le secteur des NTI, s'élargissant aux métiers complémentaires articulés autour de technologies d'infrastructures de réseaux, des technologies de digitalisation et des technologies interactives». Le président de FinanceCom se réjouit de « partager une même vision du potentiel illimité des NTI pour le présent et l'avenir des deux groupes respectifs. Grâce à Steria MedShore, dit-il, nous disposons désormais d'un levier efficace, devant permettre la diffusion des technologies et des services à valeur ajoutée aux acteurs publics et privés, au Maroc, au Maghreb et ailleurs en Afrique».
Pour sa part, François Enaud, président du groupe Steria, a souligné que le «mariage» entre son groupe et FinanceCom n'est pas dû à un hasard mais à une complémentarité, à la nécessité exprimée par son groupe d'accéder avec des coûts performants aux marchés importants qui se développent dans la région et en Afrique. Le choix de FinanceCom signifie le «meilleur choix» parce que ce groupe se « situe aux sommets » des performances et des exigences. François Enaud a évoqué l'image d'une «aventure humaine» exaltante et de la volonté de partage entre les équipes.
Il a rendu hommage au «président Benjelloun qui, pionnier, a saisi l'opportunité de ce partenariat avec Steria», soulignant enfin que le Maroc, au regard de ses potentialités et des perspectives qu'il offre en matière d'offshoring, compte tenu aussi de sa proximité et des liens culturels et linguistiques, constitue en effet une «alternative à l'Inde». Le groupe FinanceCom poursuit ainsi sa politique d'implantation et de renforcement de sites technologiques. Le partenariat avec Steria complète la création en 2006 de Magshore, il s'inscrit dans le cadre du programme national «Emergence», visant à consolider la compétitivité du Maroc dans ce nouveau secteur porteur.
Il permettra aussi au partenaire français, présent en France, Allemagne, Pologne et en Inde, de compléter son dispositif mondial offshore et nearshore. Ce qui fait dire à son président, polytechnicien et ingénieur des mines à la fois, que «le Maroc se présente comme une alternative à l'Inde, principale zone offshore de Steria depuis l'acquisition de Xansa en 2007.
Son positionnement géographique peut en effet présenter un atout majeur, car le Maroc en lui-même représente un marché potentiel pour lequel certaines offres de Stéria doivent être développées». On ne peut trouver, en effet, meilleure illustration de la confiance qu'inspirent l'économie de notre pays et notre pays lui-même à d'aussi importants et significatifs opérateurs internationaux.
