C'est dans ce cadre que la FST lance des cycles de formation continue dans de multiples domaines (la qualité, la production…). La FST a également érigé la recherche et les prestations de services pour le développement de l'économie régionale. L'établissement est destiné d'ailleurs à s'intégrer dans le pôle technologique et industriel de toute la Chaouia-Ouardigha. La FST est appelée donc à être une pépinière de techniciens et de cadres de haut niveau capables d'être le lien entre le technicien supérieur et l'ingénieur concepteur.
Rappelons que la FST a mis sur le marché du travail, depuis 1998, 1 694 cadres spécialisés, dont 598 en Sciences techniques, 257 en Mathématiques appliquées et Informatiques, 346 en Sciences des matériaux et techniques d'analyse, 264 en Géosciences et Sciences de l'environnement, 229 en Sciences biologiques et biomédicales.
Ces cadres formés à ce jour dans les différentes spécialités intéressant les secteurs économiques du pays évoluent à la satisfaction générale et participent de manière active à la mise à niveau de l'encadrement technique dans l'industrie.
La politique de formation à la FST qui vise, au-delà de la notoriété nationale, une accréditation internationale pour porter ses lauréats vers les plus hauts standards académiques internationaux, commence à porter ses fruits puisque 75% de lauréats de la filière Génie mécanique de l'année dernière ont intégré les grandes écoles d'ingénieurs en France telles que INSA de Lyon et ENSMM de Besançon. Les orientations stratégiques du projet de Abdelilah Nadiri, doyen de la FST, sont basées sur la politique communicative favorisant ainsi les interactions, l'émulation et le partage du savoir.
Les espaces ouverts (forum, rencontre, étudiants-entreprises, stages, partenariats, formations continues,…) font de cette jeune faculté un pilier fédérateur du tissu socio-économique de la région Chaouia-Ouardigha. Dans sa contribution à la mise en œuvre du plan de formation universitaire pour la concrétisation du projet de 10 000 ingénieurs du programme offshoring, la FST prévoit la qualification d'environ 1.880 lauréats à l'horizon 2010.
Ces derniers seront formés à travers les filières récemment accréditées dans la nouvelle réforme pédagogique LMD, dispensées en 14 licences Sciences et Techniques et licences professionnelles, 7 masters Sciences et Techniques et une filière Ingénieur, et ce, dès l'année universitaire.
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Rappelons que la FST a mis sur le marché du travail, depuis 1998, 1 694 cadres spécialisés, dont 598 en Sciences techniques, 257 en Mathématiques appliquées et Informatiques, 346 en Sciences des matériaux et techniques d'analyse, 264 en Géosciences et Sciences de l'environnement, 229 en Sciences biologiques et biomédicales.
Ces cadres formés à ce jour dans les différentes spécialités intéressant les secteurs économiques du pays évoluent à la satisfaction générale et participent de manière active à la mise à niveau de l'encadrement technique dans l'industrie.
La politique de formation à la FST qui vise, au-delà de la notoriété nationale, une accréditation internationale pour porter ses lauréats vers les plus hauts standards académiques internationaux, commence à porter ses fruits puisque 75% de lauréats de la filière Génie mécanique de l'année dernière ont intégré les grandes écoles d'ingénieurs en France telles que INSA de Lyon et ENSMM de Besançon. Les orientations stratégiques du projet de Abdelilah Nadiri, doyen de la FST, sont basées sur la politique communicative favorisant ainsi les interactions, l'émulation et le partage du savoir.
Les espaces ouverts (forum, rencontre, étudiants-entreprises, stages, partenariats, formations continues,…) font de cette jeune faculté un pilier fédérateur du tissu socio-économique de la région Chaouia-Ouardigha. Dans sa contribution à la mise en œuvre du plan de formation universitaire pour la concrétisation du projet de 10 000 ingénieurs du programme offshoring, la FST prévoit la qualification d'environ 1.880 lauréats à l'horizon 2010.
Ces derniers seront formés à travers les filières récemment accréditées dans la nouvelle réforme pédagogique LMD, dispensées en 14 licences Sciences et Techniques et licences professionnelles, 7 masters Sciences et Techniques et une filière Ingénieur, et ce, dès l'année universitaire.
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