Ils pouvaient tout imaginer sauf qu'ils soient malmenés de la sorte par des rbatis étincelants. Ce choc a permis de lever l'équivoque sur l'objectif du FUS qui ne jure plus que par la victoire, afin de pouvoir revenir au plus vite à la Cour des Grands. Une ambition somme toute légitime eu égard à son potentiel humain en plus d'une logistique qui fait pâlir de jalousie bien de grands clubs. Malheureusement pour eux, les cherradis vont passer le clair du temps à repousser tant bien que mal les assauts récurrents des fussistes. Les jeunes gharbaouis n'ont pu résister à l'ouragan rbati longtemps, ils seront balayés le plus normalement du monde dès la 9ème mn. L'auteur du but n'est autre que ce mercure appelé Youssoufou, l'homme du match. En opportuniste patenté, il a exploité à bon scient une bavure défensive de l'adversaire. Sans la prodigalité du gardien Inani, conjuguée à la maladresse des attaquant rbatis, faut-il le souligner, la cage kacémie aurait été étrillée. Les visiteurs ne parvenaient à aucun moment à trouver une issue à leur mésaventure.
Au mieux, ils pouvaient à peine à contre carrer laborieusement l'élan d'un prédateur omni présent. Dominés au niveau de tous les compartiments, les kacémis demeuraient en sursis le restant de ce premier half. Un cauchemar que l'on croyait allait se dissiper à la reprise. Et bien non. Le FUS reviendra des vestiaires déterminé plus que jamais à plier le match et surtout à consolider le goal-average, pour tout fin utile. En effet, il a fallu juste un quart d'heure de pressing infernal avant que les filets de Inani ne tremblent de nouveau, au terme d'un long slalom de Souadi qui mystifia plus d'un défenseur avant de fusiller l'infortuné portier. L'entraîneur Driss Loumari s'agitait sur son banc, pressentiment de débacle oblige plutôt que quelconque intention illusoire de pouvoir redresser la barre. Bakhouch, Benboubker et consort continueront de dilapider incroyablement des opportunités à la pelle, plus facile à marquer qu'à rater.
Et comme si ce n'était pas suffisant, les gharbaouis vont perdre Zait, expulsé pour cumul de cartons. Le match est devenu à sens unique, étayé d'actions de buts. Le scénario durera jusqu'à la 89ème mn avant que l'inévitable Youssoufou ne triple le score. Une addition bon marché au demeurant qui a intrigué plus sachant que le team « corrigé » figure parmi le quatuor de tête. L'entraîneur Loumari imputera la pâleur de la prestation de son équipe au manque d'expérience de ses poulains qui jouent tous pour la première fois à ce niveau de la hiérarchie. Loumari s'est refusé toutefois d'invoquer l'impact de certains facteurs exogènes dont notamment le non recouvrement par les joueurs des arriérés de primes et de salaires, comme il nous a été confié par un proche du club. Houcine Ammouta, lui, a évité de crier victoire, pondérant ses déclarations dans lesquelles il ne cesse de ressasser que «beaucoup de travail reste à faire».
Au mieux, ils pouvaient à peine à contre carrer laborieusement l'élan d'un prédateur omni présent. Dominés au niveau de tous les compartiments, les kacémis demeuraient en sursis le restant de ce premier half. Un cauchemar que l'on croyait allait se dissiper à la reprise. Et bien non. Le FUS reviendra des vestiaires déterminé plus que jamais à plier le match et surtout à consolider le goal-average, pour tout fin utile. En effet, il a fallu juste un quart d'heure de pressing infernal avant que les filets de Inani ne tremblent de nouveau, au terme d'un long slalom de Souadi qui mystifia plus d'un défenseur avant de fusiller l'infortuné portier. L'entraîneur Driss Loumari s'agitait sur son banc, pressentiment de débacle oblige plutôt que quelconque intention illusoire de pouvoir redresser la barre. Bakhouch, Benboubker et consort continueront de dilapider incroyablement des opportunités à la pelle, plus facile à marquer qu'à rater.
Et comme si ce n'était pas suffisant, les gharbaouis vont perdre Zait, expulsé pour cumul de cartons. Le match est devenu à sens unique, étayé d'actions de buts. Le scénario durera jusqu'à la 89ème mn avant que l'inévitable Youssoufou ne triple le score. Une addition bon marché au demeurant qui a intrigué plus sachant que le team « corrigé » figure parmi le quatuor de tête. L'entraîneur Loumari imputera la pâleur de la prestation de son équipe au manque d'expérience de ses poulains qui jouent tous pour la première fois à ce niveau de la hiérarchie. Loumari s'est refusé toutefois d'invoquer l'impact de certains facteurs exogènes dont notamment le non recouvrement par les joueurs des arriérés de primes et de salaires, comme il nous a été confié par un proche du club. Houcine Ammouta, lui, a évité de crier victoire, pondérant ses déclarations dans lesquelles il ne cesse de ressasser que «beaucoup de travail reste à faire».
