"Heureusement que je n'ai pas entendu ce que Le Roy m'a dit quand ils ont marqué... s'est emporté Robert Nouzaret, mais mon staff l'a entendu, et il a été filmé. Je ne vous répèterai pas ce qu'il a dit, mais c'était odieux. Et avant le match, il m'a viré du terrain et ne m'a pas salué. C'est une attitude qui ne correspond pas à ma vision du fair-play".
Sur le but vainqueur de Sulley Muntari (90e), Le Roy a pointé un index vers Nouzaret. "Je lui ai seulement dit : +Comme ça tu arrêteras de parler+, c'est tout, a assuré Le Roy, je ne l'ai pas insulté.
Je suis effaré que Nouzaret puisse raconter que je l'ai viré du terrain, mais de quoi parle-t-il? Je n'ai absolument rien à répondre à ça, la colère est mauvaise conseillère. Il est mauvais perdant". "Avant le match, personne de la Guinée n'est venu me saluer, ajoute à son tour Le Roy, c'est la première fois que ça m'arrive dans ma carrière".
L'animosité entre les deux entraîneurs remonte "sans doute à mon arrivée à la tête de Strasbourg, en novembre 1999, à la place de mon ami Pierre Mankovski, a expliqué Le Roy. Il m'avait traité de +traître+ parce que je prenais la place de mon ami. Mais moi je m'étais expliqué avec Pierre, qui m'avait dit de prendre le poste. Nous étions avant-dernier et pour mon premier match, nous avions gagné à Saint-Etienne (entraîné par Nouzaret, ndlr)..." "Peut-être Nouzaret n'a-t-il pas apprécié que je dise qu'en 2006 la Guinée était mieux organisée avec Patrice Neveu que maintenant, a ajouté Le Roy, mais j'ai toujours dit le plus grand bien de cette équipe de Guinée".
Sur le but vainqueur de Sulley Muntari (90e), Le Roy a pointé un index vers Nouzaret. "Je lui ai seulement dit : +Comme ça tu arrêteras de parler+, c'est tout, a assuré Le Roy, je ne l'ai pas insulté.
Je suis effaré que Nouzaret puisse raconter que je l'ai viré du terrain, mais de quoi parle-t-il? Je n'ai absolument rien à répondre à ça, la colère est mauvaise conseillère. Il est mauvais perdant". "Avant le match, personne de la Guinée n'est venu me saluer, ajoute à son tour Le Roy, c'est la première fois que ça m'arrive dans ma carrière".
L'animosité entre les deux entraîneurs remonte "sans doute à mon arrivée à la tête de Strasbourg, en novembre 1999, à la place de mon ami Pierre Mankovski, a expliqué Le Roy. Il m'avait traité de +traître+ parce que je prenais la place de mon ami. Mais moi je m'étais expliqué avec Pierre, qui m'avait dit de prendre le poste. Nous étions avant-dernier et pour mon premier match, nous avions gagné à Saint-Etienne (entraîné par Nouzaret, ndlr)..." "Peut-être Nouzaret n'a-t-il pas apprécié que je dise qu'en 2006 la Guinée était mieux organisée avec Patrice Neveu que maintenant, a ajouté Le Roy, mais j'ai toujours dit le plus grand bien de cette équipe de Guinée".
