Elle est également rare et constitue en fait une ressource dont la disponibilité est marquée par une irrégularité prononcée dans le temps et dans l'espace. Pour faire face à cette situation, il est indispensable de disposer d'instruments juridiques efficaces en vue d'organiser la répartition et le contrôle de l'utilisation des ressources en eau et d'en assurer également la protection et la conservation. C'est ainsi que l'Association des cadres de Développement Agricole et Rural du Gharb, a dernièrement organisé à la Chambre du Commerce et de l'Industrie de Kénitra-Sidi Kacem, une journée d'étude qui a pour thème: «L'eau d'irrigation du Gharb: raréfaction et ou/ le problème de gestion ? ».Le choix du thème émane de l'importance que revêt l'eau pour le développement et pour répondre aux questions fréquemment posées par les agriculteurs, et les petits fellahs exploitant le système d'irrigation et le problème de gestion.
Plusieurs personnalités, les représentants des associations professionnelles opérant dans le Gharb, des cadres du ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime y ont également assisté. A cette occasion, le président de l'association des cadres de Développement Agricole et Rural du Gharb ( ACaDARG), Mohamed Razine a souligné l'importance d'utiliser le système d'irrigation dans la région du Gharb où l'eau ne manque pas. Il ne faut pas perdre de vue que le Maroc est un pays semi-aride où les ressources hydrauliques se font de plus en plus rares. Il a ensuite abordé les origines du blocage des réseaux d'irrigation et les solutions qui doivent êtres prises pour remédier à ce problème, notamment une filtration efficace et une lutte chimique contre les dépôts, algues, champignons et bactéries.
De leur côté, les experts relevant des différents domaines et départements du ministère de l'Agriculture invités à cette occasion ont débattu autour du thème inscrit à l'ordre du jour. Un sujet d'actualité dicté par les présents enjeux actuels de la raréfaction des ressources hydrauliques, où ils ont souligné chacun à son tour que les études récentes démontrent que le potentiel renouvelable en eau au Maroc, va inévitablement connaître une répression de 10 à 15 % et que les ressources en eaux mobilisables passeront de 20 à 17 milliards de m3. Combinée à une mauvaise gestion de la ressource et aux changements climatiques, la situation de déficit hydrique risque d'être plus alarmante, affirment les experts.
Plusieurs personnalités, les représentants des associations professionnelles opérant dans le Gharb, des cadres du ministère de l'Agriculture et de la Pêche maritime y ont également assisté. A cette occasion, le président de l'association des cadres de Développement Agricole et Rural du Gharb ( ACaDARG), Mohamed Razine a souligné l'importance d'utiliser le système d'irrigation dans la région du Gharb où l'eau ne manque pas. Il ne faut pas perdre de vue que le Maroc est un pays semi-aride où les ressources hydrauliques se font de plus en plus rares. Il a ensuite abordé les origines du blocage des réseaux d'irrigation et les solutions qui doivent êtres prises pour remédier à ce problème, notamment une filtration efficace et une lutte chimique contre les dépôts, algues, champignons et bactéries.
De leur côté, les experts relevant des différents domaines et départements du ministère de l'Agriculture invités à cette occasion ont débattu autour du thème inscrit à l'ordre du jour. Un sujet d'actualité dicté par les présents enjeux actuels de la raréfaction des ressources hydrauliques, où ils ont souligné chacun à son tour que les études récentes démontrent que le potentiel renouvelable en eau au Maroc, va inévitablement connaître une répression de 10 à 15 % et que les ressources en eaux mobilisables passeront de 20 à 17 milliards de m3. Combinée à une mauvaise gestion de la ressource et aux changements climatiques, la situation de déficit hydrique risque d'être plus alarmante, affirment les experts.
