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A l'origine de cet évènement musical, CulturesFrance et le Service de coopération et d'action culturelle de l'ambassade de France à Rabat. Avec son esprit carnavalesque et jubilatoire, Elzef souffle une musique surprenante nourrie de multiples influences. Le Java, l'Afro-beat, le hip-hop, le Reggae, le Rock, le Funk, le Groove… sont autant d'éléments butinés à travers le globe et les époques. De ces ingrédients originaux, les musiciens ont su concocter une recette magique qu'est devenue au fil du temps l'empreinte d'Elzef et y goûter équivaut à une expérience unique pendant laquelle tous les sens sont en fête.
Grâce à cette richesse de styles que les musiciens ont su trouver des deux côtés de la Méditerranée mais aussi de l'Atlantique, Elzef est devenu un des groupes les plus célèbres de la scène artistique française et européenne. Ils ont enflammé quelque 200 scènes avec leur banjo, saxo, accordéon et batterie. Dans leurs titres, Elzef affiche non seulement un savoir-faire en matière de musique mais aussi en matière des paroles. Comme ils savent mélanger les genres musicaux venus de divers horizons, les membres d'Elzef chantent les sujets légers qu'ils allient à d'autres plus graves et plus profonds. Ils jouent ainsi leurs rôles de troubadour et d'amuseur en attirant l'attention sur les grandes questions tout en divertissant leurs spectateurs. À la fois léger et engagé, le groupe s'amuse des incongruités de la vie quotidienne, des files d'attente qui n'en finissent jamais et des concours de musique à la télévision.
A l'effort de la composition, des paroles, s'ajoute la qualité de l'interprétation. La richesse des mélodies sert de fil rouge mais c'est de sa formidable envie de vivre qu'Elzef tire sa force. Tout a commencé pour ces six jeunes parisiens en 2000. Elzef (Le vent) est né de la volonté de défendre dans la rue une musique nourrie d'influences diverses et ponctuée par différents folklores nationaux et internationaux. Considéré comme une fanfare nouvelle génération, le sextuor a accumulé les expériences et a cultivé de nouvelles ambitions pour sortir leur premier album en 2001, «En direct du moulin de Lalande», un disque qui rend justice. De bar en fête et de fête en festival, Elzef se fait un nom baptisant sa musique de « java tribale». Durant une année, il donne plus de 190 concerts et se fait d'abord connaître comme une fanfare de poche aux accents funk, orientaux et rap, principalement instrumental.
En 2003, au cours d'une centaine de dates, le répertoire évolue vers des chansons rythmées où la voix de Fabien Arnau (Zef) se mélange à des sonorités acoustiques, électriques et électroniques, incluant sur scène des moments uniques d'improvisation et d'interaction avec le public. En 2004, Elzef sort son deuxième album «Mais d'où vient le Vent?». En tournée partout en France, le groupe affine son savoir-faire en participant en novembre 2004 à la résidence des Chantiers des Francos de la Rochelle, puis en juillet aux Francofolies 2005 où il remporte le Prix Adami 2005. Une année plus tard, Elzef produit et enregistre son nouvel album «Le Vent se Lève» avec lequel le groupe effectue un pas décisif vers la qualité, la clarté et l'émotion de sa musique.
La fanfare joue autant sur des sonorités acoustiques que sur les effets électro et sur les bruitages. Un cocktail explosif qui vous sera présenté dans des concerts emmenés avec énergie par les six joyeux musiciens, les farouches partisans de «la bonne vibration» à la parisienne. Que le public de la Fête s'accroche, Elzef risque bien de faire se lever un vent rempli de musique festive.
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instruments sont exclusivement des cuivres accompagnés occasionnellement de percussions. Avec des instruments à sons naturels, c'est un ensemble - de trompes de chasse pour la vénerie et des trompettes de cavalerie, de cors de chasse ou de clairons, pour la musique militaire. Ils peuvent être mixés et soutenus de timbales, tambours, grosse caisse, cymbales et même de glockenspiels ou de fifres, s'y ajoutent parfois des cuivres graves (tubas, saxhorns, hélicons).
Par simplification, c'est aussi un groupe de musiciens formé principalement de cuivres mais aussi de quelques bois, notamment des saxophones, leur véritable appellation devrait être harmonie-fanfare, ces formations étant intermédiaires entre l'orchestre d'harmonie et l'orchestre de fanfare précédent. En Suisse, on parle de fanfare mixte. Leur diversité instrumentale est souvent due à la difficulté, dans un secteur donné, de trouver l'ensemble des musiciens nécessaires à la réalisation d'un orchestre plus structuré. Il s'y ajoute parfois des instruments d'ordonnance, (clairons, cors de chasses, tambours…).
Grâce à cette richesse de styles que les musiciens ont su trouver des deux côtés de la Méditerranée mais aussi de l'Atlantique, Elzef est devenu un des groupes les plus célèbres de la scène artistique française et européenne. Ils ont enflammé quelque 200 scènes avec leur banjo, saxo, accordéon et batterie. Dans leurs titres, Elzef affiche non seulement un savoir-faire en matière de musique mais aussi en matière des paroles. Comme ils savent mélanger les genres musicaux venus de divers horizons, les membres d'Elzef chantent les sujets légers qu'ils allient à d'autres plus graves et plus profonds. Ils jouent ainsi leurs rôles de troubadour et d'amuseur en attirant l'attention sur les grandes questions tout en divertissant leurs spectateurs. À la fois léger et engagé, le groupe s'amuse des incongruités de la vie quotidienne, des files d'attente qui n'en finissent jamais et des concours de musique à la télévision.
A l'effort de la composition, des paroles, s'ajoute la qualité de l'interprétation. La richesse des mélodies sert de fil rouge mais c'est de sa formidable envie de vivre qu'Elzef tire sa force. Tout a commencé pour ces six jeunes parisiens en 2000. Elzef (Le vent) est né de la volonté de défendre dans la rue une musique nourrie d'influences diverses et ponctuée par différents folklores nationaux et internationaux. Considéré comme une fanfare nouvelle génération, le sextuor a accumulé les expériences et a cultivé de nouvelles ambitions pour sortir leur premier album en 2001, «En direct du moulin de Lalande», un disque qui rend justice. De bar en fête et de fête en festival, Elzef se fait un nom baptisant sa musique de « java tribale». Durant une année, il donne plus de 190 concerts et se fait d'abord connaître comme une fanfare de poche aux accents funk, orientaux et rap, principalement instrumental.
En 2003, au cours d'une centaine de dates, le répertoire évolue vers des chansons rythmées où la voix de Fabien Arnau (Zef) se mélange à des sonorités acoustiques, électriques et électroniques, incluant sur scène des moments uniques d'improvisation et d'interaction avec le public. En 2004, Elzef sort son deuxième album «Mais d'où vient le Vent?». En tournée partout en France, le groupe affine son savoir-faire en participant en novembre 2004 à la résidence des Chantiers des Francos de la Rochelle, puis en juillet aux Francofolies 2005 où il remporte le Prix Adami 2005. Une année plus tard, Elzef produit et enregistre son nouvel album «Le Vent se Lève» avec lequel le groupe effectue un pas décisif vers la qualité, la clarté et l'émotion de sa musique.
La fanfare joue autant sur des sonorités acoustiques que sur les effets électro et sur les bruitages. Un cocktail explosif qui vous sera présenté dans des concerts emmenés avec énergie par les six joyeux musiciens, les farouches partisans de «la bonne vibration» à la parisienne. Que le public de la Fête s'accroche, Elzef risque bien de faire se lever un vent rempli de musique festive.
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Autour de la fanfare
Une fanfare est un ensemble de musiciens dont lesinstruments sont exclusivement des cuivres accompagnés occasionnellement de percussions. Avec des instruments à sons naturels, c'est un ensemble - de trompes de chasse pour la vénerie et des trompettes de cavalerie, de cors de chasse ou de clairons, pour la musique militaire. Ils peuvent être mixés et soutenus de timbales, tambours, grosse caisse, cymbales et même de glockenspiels ou de fifres, s'y ajoutent parfois des cuivres graves (tubas, saxhorns, hélicons).
Par simplification, c'est aussi un groupe de musiciens formé principalement de cuivres mais aussi de quelques bois, notamment des saxophones, leur véritable appellation devrait être harmonie-fanfare, ces formations étant intermédiaires entre l'orchestre d'harmonie et l'orchestre de fanfare précédent. En Suisse, on parle de fanfare mixte. Leur diversité instrumentale est souvent due à la difficulté, dans un secteur donné, de trouver l'ensemble des musiciens nécessaires à la réalisation d'un orchestre plus structuré. Il s'y ajoute parfois des instruments d'ordonnance, (clairons, cors de chasses, tambours…).
