Les recettes de grand-mères, héritées de génération en génération, ont prouvé l'efficacité de cet aliment pour soulager les rhumatismes, les nausées, le rhume et autres maux de tête. Les recherches ont également montré qu'il contient une quarantaine de composés anti-oxydants, sans oublier ses propriétés anti-inflammatoires et son potentiel anti-cancer.
Pour ceux qui en ont fait l'expérience, le gingembre est bon pour la digestion. Il en facilite le processus en stimulant la sécrétion de bile et l'activité de différents enzymes digestifs. Ce qui pour effet d'accélérer la digestion.
C'est dire que cet aliment est une mine de nutriments qui font le plus grand bien au corps et à la santé. Moulu, il est une excellente source de manganèse pour la femme et une bonne source pour l'homme. Consommé cru, il nourrit l'organisme de cuivre qui constitue une composante essentielle de plusieurs enzymes. Il est partant nécessaire pour la formation de l'hémoglobine et du collagène. Le cuivre protège également le corps contre les radicaux libres.
En traversant le temps et les contrées, le gingembre n'a pas cessé de gagner en notoriété mais a également récolté les mythes. Les histoires concernant ses vertus aphrodisiaques ont nourris les récits et l'imagination ainsi que les espoirs des hommes. Alors mythe ou réalité ? Fait-il réellement le bonheur de la gent masculine en améliorant ses performances sexuelles ?
La réponse serait oui selon les personnes qui ont testé son effet. Il serait un stimulant sexuel reconnu dans le monde entier pour ses vertus aphrodisiaques aussi bien pour l'homme que pour la femme. Pour le premier, il facilite l'érection alors que pour l'autre il augmente son désir sexuel.
Toutefois, s'il est vrai que les bienfaits du gingembre ne se comptent plus, il faut l'utiliser en observant un certain nombre de précautions. En tant que produit ayant des effets anticoagulants et hypoglycémiants, il serait sage de ne pas le consommer en association avec certains médicaments, plantes ou suppléments, en augmentant leurs effets. Il est, en effet, recommandé aux personnes prenant des médicaments pour le sang (tels l'héparine, le coumadin ou l'aspirine) ou avant une chirurgie, d'éviter de consommer de grandes quantités de gingembre afin de diminuer les risques de saignements excessifs. Dans le même sens, il est déconseillé aux cardiaques et aux diabétiques d'en prendre à grandes doses.
Il faut savoir enfin que pour conserver le gingembre, il faut l'éloigner des endroits humides pour éviter qu'il ne moisisse. Si vous optez plutôt pour le congélateur, vous pouvez sortir un morceau de rhizome et le râper sans le dégeler.
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Deux siècles plus tard, le Grec Dioscoride et le Romain Pline l'Ancien en font mention dans leurs écrits médicaux, soulignant ses propriétés carminatives et ses vertus comme antidote contre les poisons. Il était connu en France et en Allemagne au IXe siècle et en Angleterre au Xe siècle. Lors de la conquête, les Espagnols l'implantèrent aux Antilles et au Mexique de sorte que, dès le milieu du XVIe siècle, l'Espagne put importer de cette partie du globe la précieuse épice. C'était d'ailleurs la première fois que l'on cultivait avec succès une épice d'origine orientale dans le Nouveau Monde.
Pour ceux qui en ont fait l'expérience, le gingembre est bon pour la digestion. Il en facilite le processus en stimulant la sécrétion de bile et l'activité de différents enzymes digestifs. Ce qui pour effet d'accélérer la digestion.
C'est dire que cet aliment est une mine de nutriments qui font le plus grand bien au corps et à la santé. Moulu, il est une excellente source de manganèse pour la femme et une bonne source pour l'homme. Consommé cru, il nourrit l'organisme de cuivre qui constitue une composante essentielle de plusieurs enzymes. Il est partant nécessaire pour la formation de l'hémoglobine et du collagène. Le cuivre protège également le corps contre les radicaux libres.
En traversant le temps et les contrées, le gingembre n'a pas cessé de gagner en notoriété mais a également récolté les mythes. Les histoires concernant ses vertus aphrodisiaques ont nourris les récits et l'imagination ainsi que les espoirs des hommes. Alors mythe ou réalité ? Fait-il réellement le bonheur de la gent masculine en améliorant ses performances sexuelles ?
La réponse serait oui selon les personnes qui ont testé son effet. Il serait un stimulant sexuel reconnu dans le monde entier pour ses vertus aphrodisiaques aussi bien pour l'homme que pour la femme. Pour le premier, il facilite l'érection alors que pour l'autre il augmente son désir sexuel.
Toutefois, s'il est vrai que les bienfaits du gingembre ne se comptent plus, il faut l'utiliser en observant un certain nombre de précautions. En tant que produit ayant des effets anticoagulants et hypoglycémiants, il serait sage de ne pas le consommer en association avec certains médicaments, plantes ou suppléments, en augmentant leurs effets. Il est, en effet, recommandé aux personnes prenant des médicaments pour le sang (tels l'héparine, le coumadin ou l'aspirine) ou avant une chirurgie, d'éviter de consommer de grandes quantités de gingembre afin de diminuer les risques de saignements excessifs. Dans le même sens, il est déconseillé aux cardiaques et aux diabétiques d'en prendre à grandes doses.
Il faut savoir enfin que pour conserver le gingembre, il faut l'éloigner des endroits humides pour éviter qu'il ne moisisse. Si vous optez plutôt pour le congélateur, vous pouvez sortir un morceau de rhizome et le râper sans le dégeler.
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Le gingembre dans l'histoire.
On pense que le foyer du genre ''Zingiber'' se situe dans le sud de l'Inde et de la Chine où on l'emploie comme plante condimentaire, alimentaire et médicinale depuis plus de 5.000 ans, mais on n'a jamais retrouvé ses ancêtres sauvages. L'une des premières épices orientales à faire son entrée en Europe, le gingembre y fut amené par des marchands arabes environ un siècle avant notre ère.Deux siècles plus tard, le Grec Dioscoride et le Romain Pline l'Ancien en font mention dans leurs écrits médicaux, soulignant ses propriétés carminatives et ses vertus comme antidote contre les poisons. Il était connu en France et en Allemagne au IXe siècle et en Angleterre au Xe siècle. Lors de la conquête, les Espagnols l'implantèrent aux Antilles et au Mexique de sorte que, dès le milieu du XVIe siècle, l'Espagne put importer de cette partie du globe la précieuse épice. C'était d'ailleurs la première fois que l'on cultivait avec succès une épice d'origine orientale dans le Nouveau Monde.
