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La chaîne Inter de Rabat, n'a pas manqué ce rendez-vous, en concoctant une multitude de nouvelles émissions, à travers lesquelles elle compte fidéliser ses auditeurs durant ce mois sacré. «C'est une période où le taux d'audition augmente. Nous sentons cette affluence à travers les émissions téléphoniques où la participation du public est bien ressentie.
Puis, il ne faut pas oublier qu'il y a les inconditionnels de Radio pour qui elle reste un outil de proximité, accessible partout où ils se déplacent», affirme Hanane Laimani, chef de service de la programmation à Rabat Chaîne Inter. En effet, son auditoire n'aura que l'embarras du choix, car en plus des rubriques habituelles, d'autres fraîchement finalisées viennent s'ajouter. Elle a opté sur la conjugaison de l'effort intellectuel et créatif. D'où un joli bouquet en est sorti avec des programmes très raffinés et abordant différents angles.
«La Chaîne Inter se veut être un espace favorable à la restitution de la mémoire en s'arrêtant sur des noms, le temps de revenir sur un passé glorieux ou un présent prestigieux», en fixant un rendez-vous hebdomadaire, chaque vendredi de 12h à 13h, avec «Rêves de famille» de Atika Sermouh qui va à la rencontre de familles d'artistes ayant marqué la scène marocaine.En fouillant toujours dans la mémoire marocaine, mais cette fois-ci à travers le patrimoine musical marocain, Ahmed Aydoun présentera, tous les vendredi, samedi et dimanche de 11h à 12h, son émission «Transes», faisant un retour sur l'histoire, l'origine et la genèse des «tayfates» marocaines telles que Aissaoua, Hmadcha et autres.
En attendant l'heure de la rupture du jeûne, dans une ambiance de détente et de bonne humeur, le choix s'est porté sur «Fine Al Maghrib» qui est un espace de jeux dédié aux auditeurs. Tout de suite après, «Maïdat Al Iftar» prend le relais et marque le début des programmes de la soirée avec un ton particulier axant sur les rites du Ramadan, dans le but de «rapprocher les auditeurs de la religion musulmane en expliquant ses piliers, ses fondements et ses traditions», en introduisant des chroniques bien particulières comme «Le Coran et la recherche scientifique» et «Kabas mina al Coran».
«Lumières d'Islam» de Mohamed Khyat est une autre émission consacrée au Ramadan, présentée en trois volets, à savoir «Les instruments arabes» avec Ahmed Aydoun, «Les villes musulmanes» avec Adib El Machrafi et «Les pionniers de l'Islam» avec Amina Mejlal. A partir de 19h15, c'est au tour du rêve de s'installer, à travers la voix de Halima Hamdane, qui racontera chaque soir un conte pour les auditeurs, les transportant dans un autre. Pour le volet musical, différents répertoires de musique andalouse, mystique et soufie sont au rendez-vous tout le long du mois sacré. Cette période de piété que Rabat Chaîne Inter veut rendre aussi conviviale que familiale avec de l'humour, à travers des sketchs de différents humoristes de plusieurs pays, choisis par Badr El Kouay dans «Le temps de rire» tous les soirs à 20h15.
Un autre moment fort de cette programmation est une rencontre bien spéciale avec un vétéran de la Radio qui n'est autre que Ali Hassan et M. Abbadi, un spécialiste du culte dans «Ichraqat Diniya» où des échanges avec les auditeurs prennent place en direct. Ainsi, des sujets religieux, aussi diversifiés soient-ils, seront abordés du lundi au jeudi, de 23h à 1h. Mais, pour répondre aux attentes de ses auditeurs, Rabat Chaîne Inter les invite à découvrir des célébrités marocaines le temps de l'émission «Carte Blanche», permettant à l'invité d'honneur de convier des personnes de son entourage et de faire le choix de sa musique préférée.
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Le service de répression des fraudes, lors de ses rondes de contrôle, suit une procédure spéciale. Ainsi, si une Commission de contrôle doute, lors de l'une de ses visites sur le terrain, de la qualité d'un produit, elle effectue alors des prélèvements sur ce produit et bloque sa commercialisation en attendant les résultats des analyses. Dans le cas où ce doute se confirmerait et que ledit produit est jugé non conforme, le service concerné se charge alors de sa saisie et de sa destruction. Et ce n'est pas tout... Le dossier du commerçant concerné est alors transmis au tribunal.
L'action des différents services dans ce cadre n'est pas uniquement répressive. Les responsables veillent en effet à faire évoluer leur stratégie.
Ils insistent également sur l'action de sensibilisation. Par ailleurs ces services ne disposent pas de suffisamment d'effectifs pour mener leur travail.
Ils doivent en effet couvrir toutes les préfectures d'arrondissement du Grand Casablanca. Les équipes de contrôle doivent également assurer
des permanences pendant les week-ends.
Puis, il ne faut pas oublier qu'il y a les inconditionnels de Radio pour qui elle reste un outil de proximité, accessible partout où ils se déplacent», affirme Hanane Laimani, chef de service de la programmation à Rabat Chaîne Inter. En effet, son auditoire n'aura que l'embarras du choix, car en plus des rubriques habituelles, d'autres fraîchement finalisées viennent s'ajouter. Elle a opté sur la conjugaison de l'effort intellectuel et créatif. D'où un joli bouquet en est sorti avec des programmes très raffinés et abordant différents angles.
«La Chaîne Inter se veut être un espace favorable à la restitution de la mémoire en s'arrêtant sur des noms, le temps de revenir sur un passé glorieux ou un présent prestigieux», en fixant un rendez-vous hebdomadaire, chaque vendredi de 12h à 13h, avec «Rêves de famille» de Atika Sermouh qui va à la rencontre de familles d'artistes ayant marqué la scène marocaine.En fouillant toujours dans la mémoire marocaine, mais cette fois-ci à travers le patrimoine musical marocain, Ahmed Aydoun présentera, tous les vendredi, samedi et dimanche de 11h à 12h, son émission «Transes», faisant un retour sur l'histoire, l'origine et la genèse des «tayfates» marocaines telles que Aissaoua, Hmadcha et autres.
En attendant l'heure de la rupture du jeûne, dans une ambiance de détente et de bonne humeur, le choix s'est porté sur «Fine Al Maghrib» qui est un espace de jeux dédié aux auditeurs. Tout de suite après, «Maïdat Al Iftar» prend le relais et marque le début des programmes de la soirée avec un ton particulier axant sur les rites du Ramadan, dans le but de «rapprocher les auditeurs de la religion musulmane en expliquant ses piliers, ses fondements et ses traditions», en introduisant des chroniques bien particulières comme «Le Coran et la recherche scientifique» et «Kabas mina al Coran».
«Lumières d'Islam» de Mohamed Khyat est une autre émission consacrée au Ramadan, présentée en trois volets, à savoir «Les instruments arabes» avec Ahmed Aydoun, «Les villes musulmanes» avec Adib El Machrafi et «Les pionniers de l'Islam» avec Amina Mejlal. A partir de 19h15, c'est au tour du rêve de s'installer, à travers la voix de Halima Hamdane, qui racontera chaque soir un conte pour les auditeurs, les transportant dans un autre. Pour le volet musical, différents répertoires de musique andalouse, mystique et soufie sont au rendez-vous tout le long du mois sacré. Cette période de piété que Rabat Chaîne Inter veut rendre aussi conviviale que familiale avec de l'humour, à travers des sketchs de différents humoristes de plusieurs pays, choisis par Badr El Kouay dans «Le temps de rire» tous les soirs à 20h15.
Un autre moment fort de cette programmation est une rencontre bien spéciale avec un vétéran de la Radio qui n'est autre que Ali Hassan et M. Abbadi, un spécialiste du culte dans «Ichraqat Diniya» où des échanges avec les auditeurs prennent place en direct. Ainsi, des sujets religieux, aussi diversifiés soient-ils, seront abordés du lundi au jeudi, de 23h à 1h. Mais, pour répondre aux attentes de ses auditeurs, Rabat Chaîne Inter les invite à découvrir des célébrités marocaines le temps de l'émission «Carte Blanche», permettant à l'invité d'honneur de convier des personnes de son entourage et de faire le choix de sa musique préférée.
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Contrôle et inspection
Les Commissions de contrôle et d'inspection de la qualité des produits alimentaires renforcent leurs actions durant le mois du Ramadan. Elles vérifient les dates limites de consommation et prélèvent des échantillons des produits douteux qu'ils soumettent à l'analyse dans les laboratoires appropriés. Il s'agit d'un travail de surveillance qui permet d'avoir une vue d'ensemble sur la situation du marché ainsi que sur les produits qui y circulent.Le service de répression des fraudes, lors de ses rondes de contrôle, suit une procédure spéciale. Ainsi, si une Commission de contrôle doute, lors de l'une de ses visites sur le terrain, de la qualité d'un produit, elle effectue alors des prélèvements sur ce produit et bloque sa commercialisation en attendant les résultats des analyses. Dans le cas où ce doute se confirmerait et que ledit produit est jugé non conforme, le service concerné se charge alors de sa saisie et de sa destruction. Et ce n'est pas tout... Le dossier du commerçant concerné est alors transmis au tribunal.
L'action des différents services dans ce cadre n'est pas uniquement répressive. Les responsables veillent en effet à faire évoluer leur stratégie.
Ils insistent également sur l'action de sensibilisation. Par ailleurs ces services ne disposent pas de suffisamment d'effectifs pour mener leur travail.
Ils doivent en effet couvrir toutes les préfectures d'arrondissement du Grand Casablanca. Les équipes de contrôle doivent également assurer
des permanences pendant les week-ends.
