«Certains organes de presse ont rapporté, vendredi, que le polisario a confirmé son intention de procéder au peuplement et à la construction d'infrastructures dans la zone du Sahara marocain à l'est du dispositif de défense, précisément à Tifariti, où de soi-disant cérémonies de pose de premières pierres aurait été organisées», indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères et de la Coopération.
A cet égard, le Royaume du Maroc réaffirme qu'il ne saurait, en aucune manière, tolérer toute rupture du statu quo ou fait accompli dans cette zone tampon. Il s'interroge sur les véritables raisons et les réelles motivations de ces actions projetées sur le terrain -nouvelles dans leur nature, dangereuses dans leur portée et accompagnées, depuis peu, par de menaces de reprise des hostilités- en particulier dans le contexte du processus de négociations engagé au sein de l'ONU, à la faveur de la présentation par le Maroc de son initiative d'autonomie, encouragée par la communauté internationale.
Pour le peuple marocain, les visées hégémoniques et géopolitiques de l'Algérie ont joué un rôle de premier plan, notamment le désir obsessionnel de ce pays de s'offrir un accès sur l'Atlantique, via la création d'un Etat fantoche et à sa botte. Aujourd'hui, et au regard de l'urgence que pose la lutte contre le terrorisme, le conflit entretenu du Sahara prend des proportions inquiétantes.
Et Rabat ne cesse de réaffirmer sa nette détermination à préserver, par tous les moyens, son intégrité territoriale sur l'ensemble de son Sahara et à sauvegarder, de manière légitime, sa sécurité nationale. Partis politiques et haut commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération ont tenu à dénoncer les actes provocateurs du «polisario», des séparatistes et des ennemis de l'intégrité territoriale du Maroc, dans la zone tampon de Tifariti au Sahara marocain. Ces actes n'affectent en rien la détermination des défenseurs de l'intégrité territoriale du pays, a indiqué le haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération, Mustapha El Ktiri, lors d'un meeting, vendredi à Smara, à l'occasion du 32e anniversaire du départ du dernier soldat étranger des provinces du Sud.
Pour le Maroc, la négociation demeure la seule voie pour parvenir à une solution politique définitive à la question du Sahara marocain. C'est ce qu'a approuvé à l'unanimité l'Assemblée générale de l'ONU en votant une résolution encourageant les parties à «créer un climat propice au dialogue et au succès» des pourparlers.
En apportant son soutien au processus de négociations en cours, auquel a appelé le Conseil de sécurité, l'Assemblée générale consacre ainsi la volonté de la communauté internationale d'insuffler une dynamique nouvelle, résolument orientée vers l'avenir.
Car, elle écarte toutes les propositions antérieures dont le caractère caduc est définitivement établi. Face à l'impasse dans laquelle se trouve le dossier et devant l'immobilisme et la rigidité de la position algérienne, le Royaume a présenté un projet d'autonomie qui permette aux habitants du Sahara de gérer leurs affaires dans le cadre de son intégrité territoriale. Le projet s'inspire de la nécessité de parvenir à un compromis politique en déléguant de larges compétences à la population concernée dans le respect des prérogatives de la souveraineté du Maroc.
A cet égard, le Royaume du Maroc réaffirme qu'il ne saurait, en aucune manière, tolérer toute rupture du statu quo ou fait accompli dans cette zone tampon. Il s'interroge sur les véritables raisons et les réelles motivations de ces actions projetées sur le terrain -nouvelles dans leur nature, dangereuses dans leur portée et accompagnées, depuis peu, par de menaces de reprise des hostilités- en particulier dans le contexte du processus de négociations engagé au sein de l'ONU, à la faveur de la présentation par le Maroc de son initiative d'autonomie, encouragée par la communauté internationale.
Pour le peuple marocain, les visées hégémoniques et géopolitiques de l'Algérie ont joué un rôle de premier plan, notamment le désir obsessionnel de ce pays de s'offrir un accès sur l'Atlantique, via la création d'un Etat fantoche et à sa botte. Aujourd'hui, et au regard de l'urgence que pose la lutte contre le terrorisme, le conflit entretenu du Sahara prend des proportions inquiétantes.
Et Rabat ne cesse de réaffirmer sa nette détermination à préserver, par tous les moyens, son intégrité territoriale sur l'ensemble de son Sahara et à sauvegarder, de manière légitime, sa sécurité nationale. Partis politiques et haut commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération ont tenu à dénoncer les actes provocateurs du «polisario», des séparatistes et des ennemis de l'intégrité territoriale du Maroc, dans la zone tampon de Tifariti au Sahara marocain. Ces actes n'affectent en rien la détermination des défenseurs de l'intégrité territoriale du pays, a indiqué le haut commissaire aux anciens résistants et anciens membres de l'armée de libération, Mustapha El Ktiri, lors d'un meeting, vendredi à Smara, à l'occasion du 32e anniversaire du départ du dernier soldat étranger des provinces du Sud.
Pour le Maroc, la négociation demeure la seule voie pour parvenir à une solution politique définitive à la question du Sahara marocain. C'est ce qu'a approuvé à l'unanimité l'Assemblée générale de l'ONU en votant une résolution encourageant les parties à «créer un climat propice au dialogue et au succès» des pourparlers.
En apportant son soutien au processus de négociations en cours, auquel a appelé le Conseil de sécurité, l'Assemblée générale consacre ainsi la volonté de la communauté internationale d'insuffler une dynamique nouvelle, résolument orientée vers l'avenir.
Car, elle écarte toutes les propositions antérieures dont le caractère caduc est définitivement établi. Face à l'impasse dans laquelle se trouve le dossier et devant l'immobilisme et la rigidité de la position algérienne, le Royaume a présenté un projet d'autonomie qui permette aux habitants du Sahara de gérer leurs affaires dans le cadre de son intégrité territoriale. Le projet s'inspire de la nécessité de parvenir à un compromis politique en déléguant de larges compétences à la population concernée dans le respect des prérogatives de la souveraineté du Maroc.
